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Parc des Princes: la mairie de Paris va "tout faire" pour trouver un terrain d'entente avec le PSG, assure l'adjoint aux sports

Invité de l'Intégrale Sport sur RMC ce dimanche, Pierre Rabadan a invité à la reprise des négociations entre le PSG et la mairie de Paris en vue d'un agrandissement du Parc des Princes. L'adjoint d'Anne Hidalgo, en charge des sports, maintient toutefois que le stade n'est pas à vendre.

"L'histoire du PSG doit continuer au Parc des Princes, c'est notre volonté": invité de RMC ce dimanche, Pierre Rabadan a répété l'envie de la mairie de Paris dans un dossier qui anime l'actualité. Adjoint à la mairie, chargé des sports, l'ancien rugbyman a maintenu la position ferme aussi d'Anne Hidalgo.

"Je crois que la maire de Paris a été claire: le Parc des Princes n'est plus à vendre, a insisté Rabadan. Il y avait des discussions depuis très longtemps, maintenant la maire a décidé. On est un partenaire du club, on doit reprendre les discussions hors médias interposés."

"On a des propositions concrètes à faire au PSG pour arriver à une situation d'agrandissement du stade"

Pierre Rabadan assure que la mairie de Paris a demandé la reprise des négociations entre les deux parties. "On a des propositions concrètes à faire au PSG pour arriver à une situation d'agrandissement du stade, qu'on partage et qui puisse satisfaire le club afin qu'il reste au Parc des Princes dans un stade qui convient à son modèle, a commenté Rabadan. Je n'ai pas la date mais une réunion devrait arriver ces prochains jours."

Plusieurs villes ont déjà été associées à la reprise du projet en vue de la construction d'un nouveau stade appartenant au PSG. "C'est extrêmement simple: on ne s'est jamais positionné contre le club. Les dirigeants du PSG ont exprimé une volonté, il y a eu des discussions et puis il y a eu des prises de position et des mots échangés par médias interposés, obligeant la mairie à dire qu'elle ne vendrait pas, a rappelé Rabadan. Mais il y a d'autres modèles qui permettent de faire des travaux d'agrandissement, d'amortir les investissements, d'avoir un outil plus en adéquation avec les besoins du PSG avec plus de places et d'hospitalisé soit les deux grands besoins."

"On a des solutions et on peut les partager. Jusqu'à maintenant, la porte de la vente est fermée. Mais on va faire tout ce qui est possible pour arriver à ce consensus", a conclu Pierre Rabadan quelques jours après la "décision ferme et définitive" d'Anne Hidalgo de ne pas céder le Parc des Princes au PSG.

GL