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Saint-Etienne-Reims: Horneland ravi du bon état d'esprit de ses joueurs après la victoire des Verts

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Vainqueur de son premier match en Ligue 1 face à Reims ce samedi (3-1), l'entraîneur stéphanois Eirik Horneland s'est montré satisfait de la performance de ses joueurs.

Le nouvel entraîneur de Saint-Étienne, le Norvégien Eirik Horneland, s'est félicité de l'état d'esprit affiché par ses joueurs à l'occasion de la victoire de l'ASSE sur Reims (3-1), samedi au stade Geoffroy-Guichard pour la 16e journée de Ligue 1. "Je ne savais pas quoi attendre du premier match. Cette semaine, nous avons travaillé la possession, sur l'attitude les habitudes à prendre avec l'objectif de se créer des moments positifs en surmontant des moments difficiles, également, mais au final c'est fantastique, très beau", a déclaré Horneland en conférence de presse.

"J'ai vu un bon état d'esprit d'équipe, c'est important pour moi et Saint-Étienne", a-t-il souligné. "La période était très difficile pour l'équipe avec quatre défaites de suite. Nous avons été en difficulté sur la première période car nous n'avions pas assez de contrôle au cœur du jeu, mais nous nous sommes ajustés tactiquement et les joueurs ont bien répondu", s'est réjoui le technicien norvégien.

>> Revivez Saint-Etienne-Reims (3-1)

Elsner tire "la sonnette d'alarme"

"On est très content de cette réaction. Le style de jeu est important. J'étais content de voir que les joueurs étaient détendus sur le terrain. Nous nous sommes créés pas mal de situations positives durant le match. Cela a développé de la confiance et c'est ce dont l'équipe a besoin", a-t-il ajouté.

De son côté, l'entraîneur de Reims, Luka Elsner, a tenu "à tirer la sonnette d'alarme". "Il y a eu une défaillance importante. Il est très difficile de venir jouer à Saint-Étienne et je ne comprends pas comment on ne peut pas se mettre au niveau de ces exigences-là. On a l'impression que nos vingt points sont une sécurité. Nous nous trouvons désormais très proches des équipes qui se battent en bas. Il faudra mettre d'autres arguments", a ajouté Elsner.

AFP