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Toulalan : « A nous d’être performants »

Jérémy Toulalan célèbre la victoire à Glasgow avec ses coéquipiers

Jérémy Toulalan célèbre la victoire à Glasgow avec ses coéquipiers - -

La qualification pour les 8es de finale de la Ligue des Champions est à peine digérée que Lyon doit déjà se tourner vers la L1 et le match face à Nice.

Alain Perrin : « Ce n’est pas un problème de motivation. Après la défaite à Caen, je pense que les joueurs seront motivés. Mais ça ne fonctionne pas comme une voiture. Il ne suffit pas d’appuyer sur un bouton pour que ça reparte. Chez les joueurs, il y a d’autres mécanismes à prendre en compte. Dès fois, l’envie n’est pas suffisante. Encore aujourd’hui, nous savourons la grosse performance de mercredi. C’est vraiment super pour le club et l’équipe. C’est un exploit de s’être qualifié là-bas. On récupère mieux avec la qualification au bout. Aujourd’hui, il y a plusieurs éléments à prendre en compte concernant le mercato. Il y a par exemple des sollicitations de certains clubs envers nos joueurs. Il ne faut pas s’affaiblir avec des départs. Je n’ai pas une demande particulière pour renforcer le groupe. Les renforts vont arriver avec les retours de Coupet et de Cris. Il n’y a que l’absence de Patrick Muller qui fait réfléchir. C’est le seul problème que nous avons à l’heure actuelle. »

Jérémy Toulalan : « On préfère jouer que s’entraîner. Ce n’est donc pas gênant d’enchaîner les matchs. Ce sera à nous d’être performants. Encore une fois, il n’y aura aucune excuse. L’année dernière, nous avions concédé le match nul face à Nice (1-1) sur une erreur de ma part. Cette année, ça ne sera pas facile non plus. Il y a des joueurs de talent comme Laslandes et Bakari Kone. C’est une bonne équipe. Le titre de champion d’automne n’est pas le plus important. C’est à la fin de l’année qu’il faut être premier. Forcément, nous avons envie de gagner les deux prochains matchs avant de partir en vacances. Il faudra en tout cas être très concentré. Nous adversaires sont toujours très motivés face à nous. »

La rédaction - Edward Jay