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"C'est pas Gijon, c'est pas Valladolid...", Stéphane Guy revient sur sa fameuse expression lors de la remontada

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RMC Sport proposait jeudi un documentaire Transversales exceptionnel consacré au temps additionnel, ce court laps de temps dans un match qui peut anéantir ou propulser une carrière dans d'autres sphères. C'est dans le mauvais camp que s'est rangé le PSG après la fameuse remontada de 2017 contre le Barcelone au Camp Nou. Un épisode qui a aussi mis en lumière le commentateur du match de l'époque, Stéphane Guy.

Le PSG collectionne les désillusions. Si celle concédée au début du mois de mars face au Real Madrid cette saison a fait très mal, que dire de la fameuse remontada du Barça en 2017. Après avoir gagné le match aller 4-0 au Parc des Princes, l’équipe alors entraînée par Unai Emery s’était liquéfiée lors d’une fin de match apocalyptique (6-1). Mais avant cela, Cavani, buteur au Camp Nou avait, croyait-on, envoyé le PSG en quart en marquant le fameux but à l’extérieur à l’heure de jeu. Au micro de Canal+, diffuseur de la rencontre, Stéphane Guy, confiant comme tous les fans parisiens, avait alors lâché cette phrase restée dans toutes les mémoires : "En face, c’est pas Gijon, c’est pas Valladolid, c’est le Paris Saint-Germain."

"On me chambre avec ça"

Cinq ans après, le journaliste RMC Sport n’a rien oublié : "Je l’ai dit à la 83eme minute d’un match où l’adversaire du PSG doit encore marquer trois buts pour se qualifier, rappelle-t-il dans 90+, un documentaire exceptionnel diffusé dans Transversales, sur RMC Sport. Si j’avais à recommenter ce match-là peut-être que je pourrais ressortir ce genre de sornette à cette minute-là. On me chambre avec ça. C’est le jeu, on fait un métier public. Il faut en admettre les conséquences."

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