OL-Hoffenheim: Aulas critique les médias après le match nul décevant

Fragilisés les Lyonnais? Oui, répond Aulas, mais le problème ne vient pas de l’intérieur du club selon le président de l’OL, rejoint en fin de match (2-2) par une équipe d'Hoffenheim pourtant réduite à dix, alors qu’il menait 2-0. Les médias seraient à l’origine, du moins en partie, de ces carences mentales constatées.
"Des critiques parfois un peu sévères"
"On est dans un contexte avec des critiques parfois un peu sévères dans les médias, a lancé Aulas à la fin du match. Je pense qu'il y a un manque de confiance. Les choses peuvent se dérégler très vite. Il faut parfois très peu de choses." Et ce peu de choses s’explique aussi parce que ses joueurs ont levé le pied en supériorité numérique, et reculé après le deuxième but. Aulas l’a d’ailleurs reconnu, mais à demi-mot seulement. Car ce soir, il avait ciblé le responsable de ses maux.
"Cela participe activement à cette psychose"
"Parfois, c’est l’entraîneur qui est mis en cause, mais je veux souligner qu’il avait trouvé le système parfait puisqu’on mène 2-0, on a des occasions à 11 contre 10 (...) L’entraîneur n’a rien à voir là-dedans, ni le président, estime encore le président de l'OL. Il faut aussi pondérer. A ceux qui critiquent, si l’objectif est de faire en sorte qu’on déjoue, cela participe activement à cette psychose qui fait que même quand on est en position favorable, on a des doutes."