Mercato: le Real Madrid intensifie les discussions avec Camavinga

Le Real Madrid accentue ses discussions avec Eduardo Camavinga, selon les informations de RMC Sport. Une offre pourrait être transmise dans les semaines à venir au Stade Rennais, qui n'a cependant aucune envie de se séparer du joueur dès cet été. La famille Pinault souhaite voir le grand espoir français disputer la Ligue des champions avec le club breton.

Il sera l’une des attractions de l’été dans le football européen. Le futur d'Eduardo Camavinga au Stade Rennais s’écrit en pointillés. Selon nos informations, les discussions se sont accélérées entre le joueur de 17 ans et le Real Madrid. Le club espagnol a fait de lui sa priorité au milieu de terrain.

Joint par RMC Sport, une source proche de l'équipe espagnole confie: "C’est la future star au milieu de terrain en Europe. On le veut pour le garder dix ans au club. C’est notre priorité. C’est mieux de l’acheter cet été que la saison prochaine, où il aura disputé la Ligue des champions et vaudra deux fois plus".

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Zidane emballé

Le Real Madrid le supervise depuis plusieurs mois et les discussions se sont intensifiées ces dernières semaines avec son entourage et lui-même. Son profil plaît à l'ensemble du staff technique madrilène, dont l'entraîneur Zinedine Zidane.

Le Real Madrid dispose de tous les atouts, en cas de départ de l'intéressé du Stade Rennais. Une offre espagnole devrait être transmise dans les prochaines semaines aux dirigeants français.

La famille Pinault veut garder son joyau

Problème pour le club madrilène: le Stade Rennais ne veut pas le lâcher cet été. Une source proche du club de Ligue 1 confie que le joueur n’a pas de bon de sortie. En privé, la famille Pinault confie que Camavinga doit rester pour découvrir la Ligue des champions au Roazhon Park avant de s’envoler.

Une offre XXL du Real Madrid avoisinant 60 ou 70 millions d’euros permettrait-elle de faire craquer les dirigeants bretons? Au club, on raconte que l’actionnaire du club, l’une des plus grandes fortunes françaises, ne regardera pas le montant de l’offre. À si cela se concrétise quand elle tombera sur le bureau des dirigeants bretons.

Mohamed Bouhafsi