
JO 2016 : pour aller à Rio, les Russes devront...

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En plaçant la patate chaude du dopage russe entre les mains des Fédérations Internationales, le CIO a décidé de ne pas décider. Beaucoup, comme le patron de la Fédération française d'athlétisme Bernard Amsalem, s'en sont émus. « La décision du CIO est dramatique pour le sport », a ainsi regretté Amsalem. L'instance olympique a néanmoins fixé un cap en imposant un certain nombre de critères intangibles à respecter pour pouvoir participer aux Jeux.
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>> Ne jamais avoir été sanctionné pour dopage, quand bien même il aurait purgé sa peine. C'est ce qui vaut par exemple à la lanceuse d'alerte russe Ioulia Stepanova de ne pas être sélectionnée. Justin Gatlin par exemple peut se réjouir d'être né à New York plutôt qu'à Moscou.
>> Ne pas avoir son nom cité dans les derniers rapports d'enquête de l'AMA.
>> Avoir été contrôlé par un laboratoire situé en dehors de la Russie, reconnue par le CIO et l'agence mondiale antidopage.
>> Les athlètes devront être en adéquation avec les règles particulières de chacune des fédérations internationales.
>> Un programme de contrôles supplémentaires va être mis en place, mené à la fois par l'AMA et les fédérations internationales. Si un athlète zappe ces programmes, il ne sera pas accepté aux Jeux.