Objectif Pékin

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« C’est incroyable, mais pour que ça se réalise à un moment donné, il faut y croire. Il faut y aller, il faut essayer. C’est ce que j’ai fait depuis des années : j’essaie, j’essaie, je pars… j’ai souvent mal à la fin, mais quand ça passe, c’est génial. J’y ai cru mais quand j’ai vu aux 75m que je prenais encore plus d’avance sur les autres, je me suis dit qu’ils devaient nager assez vite. Déjà aux 50m, j’ai entendu un brouhaha autour de la piscine, et je me suis dit « Oh là, je suis peut-être parti un peu vite… », mais finalement, j’avais de bonnes sensations et je suis allé jusqu’au bout. Je sens qu’on s’approche du but et je me languis d’y être. »