Jackpot pour Dominik Locqueneux !
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Jackpot pour Dominik Locqueneux ! L’événement nocturne de ce vendredi soir, le prix Charley Mills, lui a permis de prendre la tête de la Casaq Ligue pendant que dans le même temps un (très) heureux parieur faisait tomber une tirelire riche de plus de dix millions et demi d’euros ! Associé à son fidèle Striking Actions, Dominik Locqueneux poursuit sa magnifique période de forme. Il se permet même de devancer à la lutte Jean-Michel Bazire (Rachmaninov Seven). La troisième place revient à Charles Dreux (Olympe Mabon) qui marque ses premiers points. Jos Verbeeck (Lorenz Del Ronco) et Loïc Guinoiseau (Roxana de Barbray) complètent l’arrivée.
Dominik Locqueneux, nouveau leader !
L’indétrônable Eric Raffin a perdu son fauteuil de leader qu’il occupait depuis bien longtemps. La faute à un Dominik Locqueneux (Striking Actions) des grands soirs, toujours au sommet de son art. Grâce à cette septième réalisation dans ce championnat, le pilote belge prend trois points d’avance au général : « Ce soir, j’avais dans l’idée d’aller devant. Mais lorsque j’ai vu Stéphane Meunier (Récia du Closet) arriver, je n’ai pas voulu le contrer. En général, il met du rythme et puis de ce fait, nous avions un bon dos. Après cela s’est bien passé, je me suis décalé dans la ligne d’en face et, comme d’habitude, il n’a pas lâché le morceau.»
Charles Dreux ouvre son compteur
Dans la famille Dreux, je demande Charles. Fils d’André, neveu d’Yves et petit fils d’André-Louis, Charles n’est pas le plus connu de la dynastie mais son talent est incontestable. Au sulky de sa jument de cœur, Olympe Mabon, il termine troisième alors que sa chance ne paraissait pas évidente avant le coup. En dehors de Stéphane Meunier et de Récia du Closet, le nez au vent, on n’aurait pas forcément parié sur une place sur le podium, d’autant que la jument s’est usée sur le mors durant le parcours : « C’est vrai qu’elle a tiré, mais cela ne m’inquiétait pas car lorsqu’elle est comme cela, c’est qu’elle est au top ! Je voulais aller devant mais comme le rythme était déjà élevé, j’ai préféré rester à côté de Stéphane Meunier. Je pense tout simplement que si j’avais eu la corde, j’aurais gagné. »
Les regrets de Loïc Guinoiseau
Au service de Roberto Donati depuis bientôt quatre mois, Loïc Guinoiseau était au sulky de Roxana de Barbray, une jument bien connue des quintéistes. Celui qui a connu le plus haut niveau avec Orla Fun en 2008 (1er du prix de Paris, 3ème du prix d’Amérique et du prix de France, rien que ça…), n’a pas été très chanceux au moment du départ mais il termine néanmoins cinquième, de belle manière : « Un concurrent à mon extérieur a touché le flasque de mon sulky, et avec le bruit, ma jument s’est fait peur et est partie au galop. C’est bien dommage car sa fin de course me laisse des regrets. Je pense que sans cela, j’aurais lutté pour la victoire… »
Crédit photo : APRH
Dominik Locqueneux, nouveau leader !
L’indétrônable Eric Raffin a perdu son fauteuil de leader qu’il occupait depuis bien longtemps. La faute à un Dominik Locqueneux (Striking Actions) des grands soirs, toujours au sommet de son art. Grâce à cette septième réalisation dans ce championnat, le pilote belge prend trois points d’avance au général : « Ce soir, j’avais dans l’idée d’aller devant. Mais lorsque j’ai vu que Stéphane Meunier (Récia du Closet) arriver, je n’ai pas voulu le contrer. En général, il met du rythme et puis de ce fait, nous avions un bon dos. Après cela s’est bien passé, je me suis décalé dans la ligne d’en face et, comme d’habitude, il n’a pas lâché le morceau.»
Charles Dreux ouvre son compteur
Dans la famille Dreux, je demande Charles. Fils d’André, neveu d’Yves et petit fils d’André-Louis, Charles n’est pas le plu connu de la dynastie mais son talent est incontestable. Au sulky de sa jument de cœur, Olympe Mabon, il termine troisième alors que sa chance ne paraissait pas évidente avant le coup. En dehors de Stéphane Meunier et de Récia du Closet, le nez au vent, on n’aurait pas forcément parié sur une place sur le podium, d’autant que la jument s’est usée sur le mors durant le parcours : « C’est vrai qu’elle a tiré, mais cela ne m’inquiétait pas car lorsqu’elle est comme cela, c’est qu’elle est au top ! Je voulais aller devant mais comme le rythme était déjà élevé et j’ai préféré rester à côté de Stéphane Meunier. Je pense tout simplement que si j’avais eu la corde, j’aurais gagné. »
Les regrets de Loïc Guinoiseau
Au service de Roberto Donati depuis bientôt quatre mois, Loïc Guinoiseau était au sulky de Roxana de Barbray, une jument bien connue des quintéistes. Celui qui a connu le plus haut niveau avec Orla Fun en 2008 (1er du prix de Paris, 3ème du prix d’Amérique et du prix de France, rien que ça…), n’a pas été très chanceux au moment du départ mais il termine néanmoins cinquième de belle manière : « Un concurrent à mon extérieur a touché le flasque de mon sulky, et avec le bruit, ma jument s’est fait peur et est partie au galop. C’est bien dommage car sa fin de course me laisse des regrets. Je pense que sans cela, j’aurais lutté pour la victoire… »
Crédit photo : APRH
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