Quand la France ne craint pas l’Afrique du Sud

Shannon Izar - -
A chaque fois qu’ils croisent leurs regards sur le pré, les joueurs du XV de France s’attendent à souffrir. Et pas qu’un peu. L’histoire des confrontations face à l’Afrique du Sud est d’ailleurs émaillée de quelques claques mémorables pour les Bleus. Mais pour les hommes seulement. Car chez les filles, c’est tout le contraire. Aussi surprenant que cela puisse paraître, les Springboks ne font pas partie des meilleures nations dans le paysage du rugby féminin. Loin de là. Les Bleues s’attendent donc à un match relativement facile ce mardi à Marcoussis, pour leur deuxième sortie dans cette Coupe du monde. A chaque fois qu’ils croisent leurs regards sur le pré, les joueurs du XV de France s’attendent à souffrir. Et pas qu’un peu. L’histoire des confrontations face à l’Afrique du Sud est d’ailleurs émaillée de quelques claques mémorables pour les Bleus. Mais pour les hommes seulement. Car chez les filles, c’est tout le contraire. Aussi surprenant que cela puisse paraître, les Springboks ne font pas partie des meilleures nations dans le paysage du rugby féminin. Loin de là. Les Bleues s’attendent donc à un match relativement facile ce mardi à Marcoussis, pour leur deuxième sortie dans cette Coupe du monde.
Une confiance renforcée en grande partie en stage de préparation le mois dernier, avec notamment une correction infligée… aux Sud-Africaines (46-8) ! Assa Koita, la deuxième ligne de Bobigny, confirme : « On va se préparer, faire des analyses vidéos, on les a déjà joué en préparation donc on sait à peu près ce que ça donne, ça c’était bien passé. Il y a eu quelques changements au niveau de l’équipe sud-africaine mais ça va le faire ». Presque une formalité. A tel point que le staff a décidé de procéder à dix changements par rapport au match contre le Pays de Galles. Un chamboulement rare à ce niveau. Une confiance renforcée en grande partie en stage de préparation le mois dernier, avec notamment une correction infligée… aux Sud-Africaines (46-8) ! Assa Koita, la deuxième ligne de Bobigny, confirme : « On va se préparer, faire des analyses vidéos, on les a déjà joué en préparation donc on sait à peu près ce que ça donne, ça c’était bien passé. Il y a eu quelques changements au niveau de l’équipe sud-africaine mais ça va le faire ». Presque une formalité. A tel point que le staff a décidé de procéder à dix changements par rapport au match contre le Pays de Galles. Un chamboulement rare à ce niveau.
Le titre dans le viseur
A demi-mots, les Bleues voient même plus loin que la phase de poules et ambitionnent le titre suprême. La talonneuse Laetitia Salles, qui sera titulaire face à l’Afrique du Sud, l’admet : « On le peut, je pense qu’on a les moyens de le faire mais rien n’est acquis et on ne peut pas dire ce qu’il va se passer. Ce serait un titre énorme, ce serait génial ». Mais avant de rêver du Graal, c’est l’heure de venger les garçons. Et de savourer ce jour où la France accueille l’Afrique du Sud avec un grand sourire… A demi-mots, les Bleues voient même plus loin que la phase de poules et ambitionnent le titre suprême. La talonneuse Laetitia Salles, qui sera titulaire face à l’Afrique du Sud, l’admet : « On le peut, je pense qu’on a les moyens de le faire mais rien n’est acquis et on ne peut pas dire ce qu’il va se passer. Ce serait un titre énorme, ce serait génial ». Mais avant de rêver du Graal, c’est l’heure de venger les garçons. Et de savourer ce jour où la France accueille l’Afrique du Sud avec un grand sourire…
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