Lakafia : « A chaque fois, on se fait peur »

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Raphaël Lakafia, les conditions de jeu n’étaient pas idéales, aujourd’hui…
C’est vrai qu’il faisait chaud ! Mais il vaut mieux jouer quand il fait chaud que quand il pleut. On était tous cuits. C’est une longue série de matches qui s’achève pour pas mal de joueurs. Et sans nos internationaux, c’était un peu compliqué.
Justement, quel impact a l’absence des internationaux sur le rendement de l’équipe ?
Sans eux, c’est plus difficile. Mais j’avais déjà dit la semaine dernière, après le match de La Rochelle (victoire 32-30), que ça pouvait aussi nous amener ce surplus de solidarité. Je pense que ce mauvais match à La Rochelle et l’absence des internationaux nous a tous rapprochés. Au final, on réussit à sortir une petite performance aujourd’hui.
Mais encore une fois, le Biarritz Olympique a dû attendre les dernières secondes pour s’imposer…
Je crois que malheureusement on aime bien se faire peur et faire peur à tout le monde. Mais il va falloir qu’on arrête de jouer avec le feu, parce qu’un jour, ça va se retourner contre nous. Il faut vraiment faire très attention.