"C’est sûr que c’est risqué, mais j’ai envie": Salahdine Parnasse raconte son excitation avant ses grands débuts en boxe anglaise

Plus qu’une semaine à patienter. Le samedi 4 octobre, Salahdine Parnasse fera ses grands débuts en boxe anglaise, dans le décor de l'Adidas Arena, à Paris (en exclusivité sur RMC Sport). Le Français de 27 ans, double champion du KSW et considéré comme l'un des plus grands combattants français de MMA, affrontera l'ex-champion de France Franck Petitjean (37 ans), sorti de sa retraite pour l’occasion.
"C’est un rêve, j’ai toujours admiré et kiffé la boxe anglaise", nous a confié Parnasse ce vendredi dans le Super Moscato Show sur RMC. "Quand je me motive pour aller aux entraînements de MMA, je m’inspire toujours de la boxe anglaise. Mes plus grandes difficultés en sparring ont été en boxe anglaise, donc j’ai beaucoup d’admiration pour la boxe. J’en ai toujours fait pour être plus stable sur mes appuis et améliorer ma panoplie. J’ai toujours voulu être fort partout et en MMA il faut savoir être bon dans toutes les disciplines", a-t-il étayé.
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Pas question d'arrêter le MMA
Initialement, le natif d'Aubervilliers devait défier Cédric Vitu, mais son forfait a poussé Parnasse à finalement affronter Petitjean, ex-champion d'Europe des super-légers. "J’ai toujours été motivé par la boxe anglaise. J’ai commencé par le MMA mais j’ai toujours fait beaucoup d’entraînements en boxe anglaise. C’est sûr que c’est risqué, mais j’ai envie. C’est un trou noir pour moi mais c’est ce qui me motive le plus. J’ai été inspiré par les boxeurs comme Canelo, Tyson, Ali, Pacquiao, Devin Haney… Moi je veux performer en MMA et en boxe anglaise. Je reste à fond dans le MMA, ça me manque de mettre des frappes au sol", a-t-il souri dans le Super Moscato Show.
Et alors quid de l’UFC ? Actuellement sous contrat avec le KSW jusqu'à la fin de l'année 2026, Parnasse pourrait-il enfin se laisser tenter par la plus grande organisation de MMA ? "Tout va dépendre des opportunités", a-t-il simplement répondu. "Rien n’est impossible. On verra la suite. Ils m’ont déjà approché."