Zverev dénonce des accusations "mensongères" et "infondées" d'une ex-compagne

Accusé de violences conjugales par Olga Sharypova, son ex-compagne, Alexander Zverev a répliqué dans un communiqué.

S’il connaît une période faste sur les courts de tennis, avec deux triomphes coup sur coup à Cologne ces dernières semaines, Alexander Zverev traverse une période bien plus sombre dans sa vie privée. Deux de ses ex-petites amies l’ont confronté dans la presse. La première, Brenda Patea, mannequin, annonçant publiquement dans les colonnes de Bild qu’elle était enceinte de lui. "Je suis enceinte de vingt semaines et j'attends un enfant d'Alex", a-t-elle déclaré, ajoutant qu’une garde partagée n’était pas envisagée.

Zverev s’étonne de ces accusations

"Même si Brenda et moi ne sommes plus ensemble, nous avons une bonne relation, et je vivrai pour assumer mes responsabilités de père", s’est réjoui Alexander Zverev, qui a en revanche nié en bloc les accusations émanant de son autre ancienne conquête, la Russe Olga Sharypova.

Cette dernière a évoqué sur Instagram les violences conjugales dont elle aurait été victime, avec un récit détaillé d’une soirée qui aurait vu le joueur lui cogner la tête contre le mur en marge de l’US Open 2019, alors qu’elle accompagnait l’Allemand. Si Zverev n’était pas nommément accusé dans ce post sur les réseaux sociaux, la jeune femme a levé le doute dans une interview à Championat, dressant le portrait d’un homme instable.

"En août de l'année dernière, je suis sortie de l'hôtel en courant pieds nus, battue. Je me tenais dans une rue de New York et je ne savais pas où aller ni quoi faire, a-t-elle détaillé sur Instagram. Il a essayé de m'étrangler avec un oreiller, de me cogner la tête contre le mur, de me tordre les bras et à ce moment-là, j'avais vraiment peur pour ma vie."

Alexander Zverev s’est défendu de tout acte de violence et a dénoncé des accusations "mensongères" et "infondées" qui le rendent "vraiment triste". "Je ne sais pas pourquoi elles portent ces accusations à mon encontre", s’est-il étonné. "J’espère simplement que nous trouverons une solution pour régler nos différends d’une façon raisonnable et respectueuse", a-t-il conclu. 

QM