Tour de France: le patron de la Grande Boucle réagit aux émeutes en France

Les violences qui éclatent aux quatre coins de la France depuis la mort de Nahel peuvent-elles avoir un impact sur la sécurité du Tour de France? Christian Prudhomme s'est exprimé sur le sujet à la veille du départ. 

Après le drame survenu mardi à Nanterre, avec la mort d'un jeune homme de 17 ans, Nahel, lors d'un contrôle routier, les violences urbaines se sont étendues à toute la France. De Paris à Lille en passant par Strasbourg, Marseille ou Brest, des dizaines de villes ont été touchées par des incidents ces dernières heures. Alors que les émeutes gagnent en intensité, faut-il craindre pour la sécurité et l'organisation du Tour de France ?

>>> Les dernières infos sur le Tour de France

"Nous suivons la situation avec attention"

"La réponse va être simple. Nous sommes en contact permanent avec les services de l'Etat comme chaque année. Nous suivons la situation avec attention", a réagi le directeur du Tour de France, Christian Prudhomme, ce vendredi, en marge d'une conférence de presse, à la veille du départ depuis Bilbao.

Après avoir démarré ce Tour dans le Pays basque, le peloton quittera l'Espagne et entrera en France à l'occasion de la troisième étape lundi avec un final à Bayonne. Il ne quittera plus le territoire français jusqu'à l'arrivée à Paris le 23 juillet prochain.

RR