Fenerbahçe-Galatasaray: le nouveau chambrage de Mauro Icardi après la giga embrouille Mourinho-Buruk

Le chambrage continue après la séquence folle. Galatasary a remporté ce mercredi soir son quart de finale de coupe de Turquie contre les ennemis jurés de Fenerbahçe (2-1). Une rencontre tendue qui a dégénéré au coup de sifflet final quand José Mourinho, fou de rage, a attrapé le nez de son homologue Okan Buruk.
L'accrochage a beaucoup fait parler dans la presse et les réseaux sociaux, d'autant qu'il est devenu encore plus cocasse quand le technicien turc s'est écroulé sur la pelouse de façon très théâtrale.
Quelques minutes plus tard, l'attaquant argentin Mauro Icardi - dont la saison à Galatasaray a été brutalement stoppée par une rupture du ligament croisé en novembre - en est allé de ses petits commentaires sur l'incident. "Il ne font pas juste du foot, mais aussi de la boxe", s'est-il d'abord amusé sur son compte Instagram.
"Le seul et unique"
Mais l'ancien interiste, comme le "Mou", en a rajouté une couche en soutenant ouvertement son coach Okan Buruk. En dessous d'une photo montrant les deux entraîneurs, il a écrit: "The one and only, Okan Buruk" ("le seul et l'unique", en français). Une référence implicite, mais évidente, au surnom de l'ancien coach de Chelsea, "The Special one".
Mauro Icardi avait déjà piqué le Portugais mi-février en le qualifiant de "pleureur". "Icardi est un GOAT et je refuse de commenter les mots d'un GOAT", avait rétorqué José Mourinho, jouant sur l'ambiguité du mot "goat" (chèvre, en anglais) et de l'accronyme "GOAT" (plus grand de tous les temps, en anglais).
Ce jeudi, le principal intéressé n'a pas encore réagi à son geste d'humeur. Fin février, il avait écopé de quatre matches de suspension et d'une amende pour des propos tenus à l'issue d'un match de championnat face, encore, à Galatasaray. Il avait notamment affirmé que le banc de Galatasaray avait "sauté comme des singes" en réaction à une décision arbitrale.
Ces déclarations lui avaient valu des accusations de racisme de la part de Galatasaray, ce qu'il réfute.