La femme de Figo, son amitié avec Zidane, son hygiène de vie… les sacrés souvenirs de Ronaldo

Invité sur la radio espagnole Onda Cero au côté de Roberto Carlos, l’ancien attaquant brésilien est revenu ce lundi sur les coulisses de sa carrière. Entre ses sorties à répétition, sa rencontre avec Zidane et ses nombreuses blessures, Ronaldo a été plutôt bavard.

A la fin des années 1990, les défenseurs redoutaient déjà d’entendre le mot « Ronaldo ». Car l’attaquant brésilien a passé plusieurs saisons à martyriser les arrières néerlandais, italiens ou encore espagnols. Par ses dribbles, ses feintes et ses nombreux buts, il récitait son football, au sommet de sa forme physique. Pourtant, « les entraînements ne [lui] manquent pas trop » de son propre aveu ce lundi dans l’émission El transistor sur la radio espagnole Onda Cero.

Plus de nuits passées avec Roberto Carlos qu’avec ses femmes

« Les dix premières années de ma carrière sportive, je me suis très mal entraîné, j’ai fait des erreurs », a avoué l’attaquant, assez porté sur les sorties nocturnes. Avant d'avouer avoir passé plus de nuits avec Roberto Carlos qu'avec ses propres femmes. Le principal intéressé, également invité de l'émission, s'est d'ailleurs montré taquin. « J’ai appris beaucoup avec Ronaldo… et pas seulement en soirée », a-t-il assuré sur le ton de la rigolade.

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La visite de Zidane à l’hôpital

Lors de l’émission, Ronaldo a également évoqué ses lourdes blessures au genou droit lors de son passage à l’Inter. Et s’est souvenu d'une visite inattendue. « Quand je me suis blessé, Zidane est venu à l’hôpital pour me voir, à Paris. C’est ce jour-là que je l’ai rencontré. »

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La femme de Figo

En 2002, Ronaldo et Zidane se retrouvent au Real Madrid. Dans la capitale espagnole, le Brésilien reçoit alors les conseils de son président Florentino Perez à propos de son rythme de vie. « Le président m’a dit de rester plus souvent chez moi, comme Figo », explique Ronaldo, qui réplique ensuite à Florentino Perez : « Si j’avais une femme comme celle de Figo, je resterais plus à la maison ». Comme pour rappeler qu’il était bien le maître de la feinte.

la rédaction