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Ligue 1: l’OM capable de gagner le titre cette saison ? La réponse de Tudor

Avec sa victoire sur la pelouse du FC Nantes ce mercredi soir (2-0), l’OM a mis la pression sur le PSG en tête de la Ligue 1. Pourtant, Igor Tudor a refusé de s’enflammer après la rencontre.

Un rythme de champion. En retrouvant le chemin de la victoire ce mercredi soir sur la pelouse du FC Nantes (2-0), quatre jours après avoir fait match nul contre l’AS Monaco (1-1), l’OM a engrangé son septième succès sur les huit dernières rencontres de Ligue 1. Depuis leur match nul contre Strasbourg le 29 octobre dernier, les Phocéens ont pris 22 points sur 24 possibles.

Pourtant, comme il l’a confié à l’issue du match contre les Canaris, Igor Tudor refuse pour l’instant de s’enflammer. [Marseille capable de gagner le titre cette saison ?] On ne doit pas penser à ça, comme je l’ai déjà dit plusieurs fois, a tranché le technicien croate au micro de Prime Video. Les supporters peuvent rêver tout le temps. On sait que, dans ce championnat, il y a Paris qui dépense de grosses sommes pour les joueurs. Il ne faut pas penser à ça. Il faut penser à battre Nice (dimanche soir à 20h45, ndlr) et avoir de la continuité."

Après les rencontres Montpellier-PSG (1-3) et Lens-Nice (0-1), l'OM a repris la deuxième place du classement, toujours à cinq points de Paris.

Tout sourit à l'OM

Les Marseillais se frottaient pourtant à une autre formation en forme, les Canaris n’ayant plus connu le goût de la défaite en match officiel depuis le 6 novembre dernier (4 victoires, 4 nuls) avant de croiser leur route. Mais, en ce moment, tout sourit aux Olympiens, comme en témoigne ce but inscrit par Azzedine Ounahi dans les ultimes secondes ce mercredi soir pour sa grande première avec le maillot de l’OM.

L'Olympique de Marseille a désormais rendez-vous avec l'OGC Nice ce dimanche au Vélodrome en clôture de la 22e journée de Ligue 1 (20h45), avant de recevoir le PSG mercredi prochain en 8e de finale de Coupe de France. D'ici là, la pression sera peut-être encore plus grande sur les épaules des Parisiens.

F.Ga