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Arsenal - Quand Donald Trump fracassait Arsène Wenger

Arsène Wenger

Arsène Wenger - AFP

Le nouveau président des Etats-Unis, Donald Trump, est un grand supporter d’Arsenal. Il aime beaucoup moins son entraîneur, Arsène Wenger, qu’il a dézingué en mars dernier lorsqu’il briguait encore la Maison Blanche.

On a tout dit depuis deux jours sur Donald Trump. Ce qu’on sait moins, c’est que le nouveau président des USA aime le soccer et notamment un club, Arsenal. « Je suis le supporter numéro un d’Arsenal et, en tant que vrai Gunner, j’attends qu’on humilie les clubs mineurs », confiait-il à Politica en mars dernier en pleine campagne présidentielle.

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« Wenger est un clown »

Si Donald Trump est fou du club londonien, on ne peut pas en dire autant d’Arsène Wenger. « Il a blessé tellement d’âmes dans le monde, dont la mienne, souffle le milliardaire. Cet homme conduit le club comme s’il lui appartenait et il fait ce qu’il veut avec. C’est un clown, une mascarade ! Arsenal est maintenant devenu un sac de frappe pour toutes les équipes. (…) Arsenal doit être remanié. Et si le club manque d’argent, je suis prêt à payer un nouvel entraîneur pour 50 ans si Wenger part et laisse Arsenal en paix. » Des volontaires ? 

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