
Chelsea: "Ce n’est pas une machine", la femme de Thiago Silva le défend face aux critiques
Un naufrage inattendu. Troisième de Premier League, Chelsea a dévissé samedi face à Brentford (4-1) après six victoires de suite toutes compétitions confondues. Un lourd revers face aux coéquipiers de Christian Eriksen avant de défier le Real Madrid mercredi en quart de finale aller de la Ligue des champions. Les Blues ont manqué l’occasion de reprendre quelques longueurs d’avance sur Arsenal et West Ham.
Titulaire en charnière centrale lors de cette défaite, Thiago Silva n’a pas été épargné par les critiques dans les médias anglais. Sans être catastrophique, le Brésilien a souffert comme rarement. Suffisant pour pousser certains consultants et supporters à réclamer sa sortie du onze de départ. Ce qui n’a pas plu à son épouse, Belle Silva.
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Depuis sa loge de Stamford Bridge, elle a dégainé son téléphone pour défendre son mari sur Instagram. "Je viens d’entendre ce qui se dit. Mais respectez Thiago ! Il est rentré vendredi après avoir joué pour le Brésil. Il est très fatigué. Il a 37 ans mais il joue comme s’il avait 20 ans. Respectez Thiago, ce n’est pas une machine ! Il a besoin de souffler, d’accord ?", a-t-elle expliqué. Ce n’est pas la première fois qu’elle fait parler d’elle sur les réseaux sociaux. En avril 2021, elle s’était emportée contre le manque de réussite des attaquants de Chelsea, et notamment de Timo Werner, lors de la demi-finale aller de la Ligue des champions entre le Real Madrid et Chelsea (1-1).
Très active sur les réseaux
"Incroyable, on aurait dû gagner ce match, avait-elle pesté. Je ne sais pas pourquoi les attaquants ne marquent pas." Très active sur Instagram où elle met en scène sa vie quotidienne et promeut des produits, Belle (son surnom) Silva en profite souvent pour donner son avis sur l’actualité ou les choix de son mari. En mai 2020, elle avait poussé pour que le défenseur reste au PSG, où il était en fin de contrat. Quelques semaines plus tôt, elle s’était retrouvée au cœur d’une polémique au moment de justifier le choix du couple de quitter la France pour rentrer au Brésil lors du premier confinement.
"La France étant le deuxième pays européen le plus touché par l’épidémie, la situation est à présent difficile et nous souhaitons nous protéger dans les meilleures conditions, avait-elle fait savoir. Dans Paris, les supermarchés se vident rapidement et chaque sortie est un risque de contamination pour moi et ma famille. Notre décision se base donc sur ces facteurs. La protection de notre famille reste notre priorité. La situation à Paris est vraiment triste."