
Rothen s'enflamme: "très heureux" au Bayern, Pavard ne se "pose pas la question" d'un éventuel transfert au PSG
La porte est close. Invité exceptionnel de l'émission Rothen s'enflamme ce jeudi sur RMC, Benjamin Pavard a fait comprendre qu'il n'était pas intéressé par un éventuel transfert au PSG, se sentant très bien au Bayern Munich, club où il joue et progresse depuis trois saisons.
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"Je ne me pose pas la question"
Interrogé sur un possible retour en France dans le club de la capitale, l'international français - ancien du Losc - a laissé peu de place au doute : "Je suis très heureux au Bayern, je suis dans l'un des meilleurs clubs du monde. Paris est un très bon club avec très bon projet, mais je ne me pose pas la question".
Le défenseur de l'équipe de France ajoute que le Paris Saint-Germain est perçu "comme un top club, un très bon club sur le plan financier et sportif" en Allemagne.
Relancé sur son avenir, il a ajouté : "Je me sens bien, il me reste deux ans de contrat au Bayern. Je suis bien là-bas. Je ne me pose pas de question ou je vais finir ma carrière, j’espère que ce sera dans longtemps. La Bundesliga, j’aime bien. J’ai gouté, je ne sais pas ce que l’avenir me réserve. Je n’ai pas gagné en France, il faut que je gagne en France. Si l’occasion se présente pourquoi pas, je suis ouvert à tout. J’ai deux ans de contrat, j’espère encore gagner des titres."
"Nagelsmann, j’apprends encore à le connaître"
Le Français en a profité pour faire des éloges au style de jeu de son actuel entraîneur Julian Nagelsmann, confirmant un peu plus qu'il se sent bien en Bavière. "Il est souvent très porté vers l’avant, si tu es éliminé tu es vite en difficulté, raconte Benjamin Pavard. Je continue d’évoluer avec lui. C’est un super coach qui met en confiance tous les joueurs. Tant que je suis sur le terrain ça me convient."
Il a aussi loué le travail d'autres techniciens ayant eu une grande importance sur sa carrière. "Ils m’ont tous apporté quelque chose. Je ne remercierais jamais assez René Girard, souligne-t-il. Il m’a lancé à 18 ans. Sinon je dirai Flick et le coach Deschamps, parce qu’il m’a pris alors que personne ne me connaissait. Il m’a donné sa confiance directement. Nagelsmann, j’apprends encore à le connaître."