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DIRECT. JO de Paris 2024: les détails de l'attribution des places pour la cérémonie d'ouverture (Info RMC Sport)

Un visuel de la cérémonie d'ouverture des JO 2024

Un visuel de la cérémonie d'ouverture des JO 2024 - AFP

A quatre mois et demi des Jeux olympiques, le processus de désignation des porte-drapeaux doit être révélé ce mercredi. Un point d'étape sur le plan baignade et l'assainissement de la Seine et de la Marne est également attendu.

INFO RMC SPORT. JO de Paris 2024: les détails de l'attribution des places pour la cérémonie d'ouverture

Le 26 juillet 2024, sur les bords de Seine, 222.000 personnes pourront assister à la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques totalement gratuitement. Comme annoncé par le ministre de l'Intérieur, ce système d'invitation sera géré par plusieurs "tiers de confiance" qui vont recevoir des quotas de places. RMC Sport vous dévoile tous les détails. 

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"Un petit goût d'inachevé": Agbégnénou précise sa pensée après sa sortie sur les critères "discriminants" pour être porte-drapeau

Alors que les critères de sélection pour les porte-drapeaux français des Jeux olympiques et paralympiques ont été dévoilés cette semaine, la judokate Clarisse Agbégnénou a été l'auteure d'une sortie remarquée, dénonçant des critères "discriminants". En cause: l'impossibilité pour elle de candidater de nouveau, après avoir déjà été porte-drapeau de la France aux JO 2021.

Ses propos ayant fait réagir, et certains lui reprochant une certaine forme d'égoïsme, la double championne olympique a précisé sa pensée ce dimanche matin sur les réseaux sociaux.

"Bien sûr, j'entends qu'il faut que d'autres personnes soient porte-drapeaux aussi, si elles veulent vivre ce moment magique ! Je voulais me représenter parce que ce n'a pas été facile aux JO de Tokyo, on a fait une cérémonie d'ouverture en masque, sans public, ça reste donc une chose que j'ai faite à demie. Je ressens un petit goût d'inachevé. Mais fait quand même !"

Et de poursuivre: "C'est pour cela que pour moi, ça ne donne pas le droit de nous écarter en créant de nouvelles règles. Vous savez, pour pouvoir prétendre à être porte-drapeau, c'est déjà assez complexe ! Aussi complexe qu'un concours de Miss France."

Rappelant tout le processus en question (désignation de deux candidats max par chaque fédération, puis vote de tous les athlètes olympiques), Agbégnénou assure qu'elle aurait "laissé sa place" si une autre fille de l'équipe de France de judo avait été intéressée.

Avant de conclure: "Maintenant ce n'est plus un sujet. Je vais me concentrer pleinement à mes épreuves."

Le message de Clarisse Agbégnénou le 17 mars 2024
Le message de Clarisse Agbégnénou le 17 mars 2024 © Instagram/clarisse_agbegnenou

Plus d'informations ici.

"La classe, ça ne s'achète pas", le coup de gueule de Rothen contre le Real qui bloquera ses joueurs pour les JO

Le Real Madrid a informé dans un courrier la Fédération française de football (FFF) de son intention de ne pas libérer ses joueurs français pour les Jeux olympiques de Paris (24 juillet au 9 août pour le tournoi de foot) cet été. Dans Rothen s'enflamme sur RMC, Jérôme Rothen tacle le "manque de classe" et la décision "autoritaire" du club madrilène.

>> Le coup de gueule de Jérôme Rothen

Voile: Camille Lecointre et Jérémie Mion sélectionnés en 470

La commission consultative des sélections olympiques du CNOSF a annoncé la sélection de l'équipage composée Camille Lecointre et Jérémie Mion pour les Jeux olympiques en dériveur double mixte (470). Camille Lecointre, double médaillée de bronze en 2016 (avec Hélène Defrance) et 2021 (avec Aloïse Retornaz), participera à ses quatrièmes JO. Jérémie Mion, 7e en 2021 avec Sofian Bouvet, disputera ses deuxièmes.

Aya Nakamura victime d'attaques racistes, Oudéa-Castera réclame "des sanctions" et prône "la plus grande fermeté"

La ministre des Sports, interrogée sur Franceinfo ce jeudi, a appelé à condamner avec "la plus grande fermeté" les insultes racistes dont a été victime Aya Nakamura après que son nom ait été évoqué comme celui de la chanteuse ouvrant le bal des Jeux olympiques de Paris 2024 lors de la cérémonie d'ouverture: "Il faut des sanctions (contre ceux visant Aya Nakamura avec des insultes racistes), évidemment. C'est un délit le racisme. Je redis sur ce sujet-là que ça ne devrait prêté à aucune polémique ou ambiguité, Aya Nakamura a été victime d’attaques racistes inadmissibles qui doivent être condamnées avec la plus grande fermeté. C'est Thomas Jolly (le metteur en scène de la cérémonie d'ouverture, ndlr) qui prendra la décision de la présence d'Aya Nakamura. Ça ne veut pas dire que ça sera LA chanteuse de la cérémonie d'ouverture."

Oudéa-Castera: "On aura tous à coeur de plonger dans la Seine"

Interrogée par Franceinfo ce jeudi sur la possibilité de la voir elle et Anne Hidalgo se baigner dans la Seine le jour de l'inauguration du village olympique, la ministre des Sports Amélie Oudéa-Castera a assuré: "Le président de la République l'a dit aussi, oui je pense qu'on aura tous à coeur de plonger dans la Seine. C'est un vaste projet, mené avec énormément d'énergie. Jacques Chirac l'avait promis, Emmanuel Macron nous a donné les moyens et le cadre pour y parvenir. On investit 1,4 milliard d'euros collectivement, 700 millions qui sont portés par l'Etat avec un plan d'action piloté par le préfet de la région Ile de France, donc nous serons au rendez-vous."

"Il y a un travail qui se mène encore sur les infrastructures pour les finaliser, notamment les bassins de collecte des eaux fluviales, toutes les corrections des mauvais branchements privés, le renforcement du réseau d'assainissement et toute la vigilance en terme de gouvernance et de points de contrôle."

"Je ne peux pas prédire la météo, mais nous avons des dispositifs avec des jours de contingence qui permettent d'accomoder ce type d'aléa. S'il y avait des jours de pollution, ces épreuves seraient reportées de quelques jours. Il y a un petit peu de marge de manoeuvre."

Manaudou, Karabatic, Mayer, Robert-Michon... qui pourraient être les porte-drapeaux français à la cérémonie d’ouverture?

Ils seront deux chanceux. Deux athlètes français vont porter le drapeau tricolore lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris sur la Seine le 26 juillet 2024. RMC Sport a essayé de brosser un portrait-robot des candidats parfaits.

>> Tous les athlètes qui présentent le profil idéal pour être les porte-drapeaux français à la cérémonie d’ouverture des JO sont ici

Comment va se dérouler le choix des porte-drapeaux français

Le CNOSF et le comité paralympique français ont officialisé ce mercredi les critères d’éligibilité ainsi que le processus de désignation pour les porte-drapeaux de la délégation tricolore aux Jeux olympiques et paralympiques de Paris.

>> Comment va se dérouler le choix des porte-drapeaux français, toutes les explications ici

Lappartient n'a pas voulu choisir des critères contre des athlètes

"Ce sont des questions de principes que l'on a posé. Cela peut avoir des conséquences sur des athlètes de renom mais on n'a jamais décidé contre quelqu'un. Si Kylian Mbappé peut disputer les Jeux olympiques, ce sera absolument formidable et on le souhaite de tout notre coeur. Si Teddy Riner et Clarisse Agbégnénou puissent être champions olympiques, on sera là à les encourager dans le stade et c'est ce qu'on souhaite pour eux."

Le Fur sur Mbappé qui ne pourra pas être porte-drapeau

"Sans remettre en question sa responsabilité en tant que capitaine de l'équipe de France. Le fait d'avoir vécu les Jeux c'est à part, c'est important pour mieux accompagner ses collègues de l'équipe de France. C'est important de les avoir vécu de l'intérieur."

Lappartient précise le critère éthique d'éligibilité

"On a posé les principes, il faut incarner et respecter les valeurs olympiques. Elles sont claires en termes d'éthique et de dopage. Si je force un peu, est-ce qu'un PV de stationnement doit être pris en compte? Est-ce qu'il faut tel ou tel extrait de casier judiciaire? Prend-on seulement en compte les sanctions sportives? On souhaite que les porte-drapeaux incarnent les valeurs olympiques et que l'on ne commence pas par une polémique."

Lappartient sur le fait de ne pas faire voter les Français pour les porte-drapeaux

"Il y a eu débat sur ce point. Notre souhait était d'élargir le corps électoral en mettant tous les athlètes. [...] On a considéré que c'était aux athlètes de choisir qui allait les représenter. Non pas que nous ne fassions pas confiance au public mais on voulait que les athlètes décident. Le grand public va aller vers les athlètes connus alors que les athlètes peuvent choisir d'autres profils. J'ai confiance en eux pour choisir ceux qui vont les représenter."

Lappartient justifie la date tardive de l'élection

"Le vote ne peut pas se faire avant le 8 juillet (date limite pour inscrire les athlètes auprès du CIO). La contrainte c’est que derrière ce sera juste après. Mais cela fera aussi monter l'attente et la fièvre des Jeux olympiques."

Le calendrier pour choisir et connaître les porte-drapeaux

"Règle du jeu simple, les athlètes avec le plus de voix sont élus. En cas d'égalité parfaite, le plus âgé sera élu porte-drapeau. Deux athlètes d'une même fédération ne pourront pas être porte-drapeaux ensemble. Il y a un calendrier avec une remontée des candidats par les Fédérations entre le 1er avril et le 31 mai. A J-100 on pourra annoncer la date du dévoilement. L'annonce des candidats se fera à la mi-juin. A la mi-juillet on pourra procéder au dévoilement des porte-drapeaux."

Astrid Guyart sur le système de vote

"C'est vraiment inédit de laisser les athlètes voter. C'est une élections par ses pairs du porte-drapeau. Qui est mieux placé que les athlètes pour choisir les porte-drapeaux?"

Lappartient continue sur le rôle du porte-drapeau

"Des critères seront aussi à prendre en compte. Ce n'est pas juste être sur la péniche avec le drapeau, les missions sont plus larges que ça. Il faut être disponible pour un temps d'annonce des porte-drapeaux. Il faudra répondre aux sollicitations médiatiques. Il faut aussi garder un oeil sur le calendrier sportif ou le lieu de compétition des athlètes. C'est aussi une décision à prendre en concertation avec sa fédération. Il faut respecter les critères et se mettre d'accord avec sa fédération. C'est une représentation du pays et aussi le fait de parler pour tous les athlètes de la délégation. Cela peut être chronophage."

Lappartient annonce les critères d’éligibilité des futurs porte-drapeaux

"Nous avons choisi de manière commune et de manière très majoritaire, il faudra déjà avoir été olympien et non pas champion olympique. Deuxième, on a aussi eu un début, il ne faudra pas déjà avoir été porte-drapeau. Nous considérons à cet égard qu'avoir la chance de l'être c'est unique, fabuleux et c'est quelque part associé à une olympiade. Il y a une telle richesse dans le sport français que c'est normal d'avoir d'autres athlètes qui puissent candidater. Il faut aussi respecter et incarner les valeurs éthiques de l'olympisme. Un athlète condamné pour des faits de dopage ne pourra pas être porte-drapeau, mais on précisera les critères plus dans le détail. Les porte-drapeaux (homme et femme) ne seront pas issus de la même fédération même s'ils peuvent être un homme et une femme présentés par fédération."

David Lappartient annonce que les porte-drapeaux seront élus par tous les athlètes olympiques et paralympiques

"Les candidatures ne seront pas émises à titre individuel. Les Fédérations pourront présenter un candidat homme et /ou femme. Les athlètes intéressés devront remonter leur envie à leurs fédérations qui le remonteront ensuite au CNOSF. Le deuxième élément c'est que le vote se fera par l'intégralité des athlètes sélectionnés", a estimé David Lappartient le patron du CNOSF. "C'est quelque chose de nouveau et de fort. On a souhaité que les porte-drapeaux soient ceux des athlètes."

Le Fur sur le rôle de porte-drapeau et les attentes

"Un rôle fédérateur et inspirant, c'est chargé de symbolisme. Il y a une incarnation. C'est un rôle prestigieux mais cela va demander un engament fort et c'est emprunt de responsabilité. C'est important car c'est lié à nos critères d'éligibilité. Les porte-drapeaux, ce sont les capitaines de norte équipe de France et l'incarnation de l'esprit bleu. Les quatre élus seront des mentors. On veut créer de l'unité dans cette équipe de France et ils devront transmettre cette allant pour aller chercher des médailles et des Mareillaises. Il faut aussi être un ambassadeur pour faire passer un message auprès du grand public. [...] Ces quatre porte-drapeaux devront incarner les valeurs des Jeux, les valeurs du sport."

David Lappartient assure que les critères ont fait "un large consensus"

"On a eu à voter sur les différents critères lors de notre dernière réunion. Je suis heureux de voir qu'il y a eu un large consensus sur ce que l'on vous propose ce mercredi."

David Lappartient sur l'engouement pour le rôle de porte-drapeau

"Une saine émulation de voir cette envie d'être porte-drapeau. Mais il y aura aussi d'autres missions et elles seront peut-être un peu inédites car ce sont des Jeux en France."

Le CNOSF et le CPSF organisent une conférence pour annoncer les critères d’éligibilité des futurs porte-drapeaux

En parallèle de la conférence de presse des autorités sur l’état de la Seine et les épreuves disputées dans le fleuve, le CNOSF et le CPSF organisent ce mercredi un rendez-vous médiatique pour annoncer les critères d’éligibilité des futurs porte-drapeaux des délégations tricolores lors des cérémonies d’ouverture et de clôture des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024.

David Lappartient et Marie-Amélie Le Fur sont ainsi présents devant les journalistes en compagnie d’Astrid Guyart, co-présidente de la commission des athlètes.

"Les débats, cela prouve que cette fonction de porte-drapeau intéresse", a noté David Lappartient en préambule de cette conférence de presse.

Mr Marc Guillaume, Préfet de la région Île-de-France

"Tout ce qui avait été envisagé pour permettre la tenue des épreuves dans la Seine aura été réalisé pour les infrastructures temps de pluie."

"Pas d'autres endroits prévus dans lesquels les épreuves se tiendraient"

Mr Marc Guillaume, Préfet de la région Île-de-France

"M. Estanguet a toujours indiqué qu’il n’y a pas de plan B. Des jours de contingence ont été prévus pour faire face aux pluies qui surviendraient, mais pas d’autres endroits dans lesquels les épreuves se tiendraient."

Un risque sur la tenabilité des épreuves dans la Seine, une inquiétude ?

Mr Marc Guillaume, Préfet de la région Île-de-France:

"Ce n’est pas une question d’inquiétude. Ces épreuves dans la Seine posent deux occurrences qui pourraient poser question. Depuis le début, nous savons qu’il peut pleuvoir. Il y a un très gros travail qui a été fait pour prévoir des infrastructures temps de pluie, avec des volumes absolument considérables. Tout ça permet de faire face à la très grande majorité des pluies qui peuvent survenir mais il est exact qu’il peut y avoir quelques pluies par an qui ne rentrent pas dans le traitement des bassins et canalisations qui ont été construites. Pour ces cas de figure, il a été prévu depuis le début qu’il y ait des jours de contingence pour décaler les épreuves. La deuxième occurrence c’est l’imprévu."

Mr Marc Guillaume, Préfet de la région Île-de-France

"S’agissant des analyses, on arrivera à faire les analyses 20h ou 22h plutôt que 24h, c’est le délai pour faire prélèvement et analyser la qualité de l’eau. Par rapport à l’été dernier, on va doubler les prélèvements et les laboratoires d’analyses pour être sûrs de disposer de résultats fiables."

"Sous une forme ou une autre, il n’y a pas de raison que la qualité de l’eau ne soit pas rendue publique."

"Ce qui a été prévu depuis le début, depuis le dossier de candidature, c’est qu’il y aurait des jours de contingence, que les épreuves pourraient être décalées de un ou deux jours. Il y a eu un gros travail fait par le COJO qui a cherché à améliorer la disponibilité de jours de contingence. S’il y a une très grosse pluie, les épreuves pourront être décalées de un ou deux jours pour que les eaux de cette pluie puissent ruisseler."

Quel héritage des JO pour la dépollution de la Seine et de la Marne ?

Mr Marc Guillaume, Préfet de la région Île-de-France:

"Ça concerne les communes qui auront envie d'ouvrir des sites de baignade pérennes. Elles nous déposeront des dossiers à partir de 2025. La problématique ne sera plus celle de la qualité de l’eau, mais plutôt d’arriver à organiser la sécurité de ces sites de baignade dans paris ou en amont de Paris, que chaque commune puisse décider d’ouvrir des sites de baignade pérennes."

Mr Marc Guillaume, Préfet de la région Île-de-France

"L’été prochain il nous faudra veiller à ce qu’il n'y ait pas d’incident pouvant porter atteinte à la qualité de l’eau", prévient le préfet, qui évoque la mise en place d’un "plan de résilience" visant à "réfléchir à l'ensemble des imprévus auxquels nous pourrions faire face".

Mr Marc Guillaume, Préfet de la région Île-de-France, sur la dépollution de la Seine et de la Marne

En préambule de son intervention en conférence de presse, le préfet a rappellé ce que la dépollution de la Seine et de la Marne a impliqué: "un effort financier absolument considérable." Il est depuis question du plan qui impliquait quatre série de travaux.

Porte-drapeaux: Agbégnénou dénonce des critères d'éligibilité "discriminants"

Clarisse Agbégnénou a dénoncé des critères discriminants pour le choix des porte-drapeaux de la délégation française lors des Jeux olympiques de Paris 2024. Déjà porteuse à Tokyo 2021, elle ne sera pas éligible à cet honneur une nouvelle fois.

>>> On vous explique tout ici

La Russie ne doit pas "boycotter" les JO de Paris, dit son ministre des Sports

La Russie ne doit pas "boycotter" les Jeux Olympiques 2024 de Paris, a assuré mercredi le ministre russe des Sports Oleg Matytsine, malgré les restrictions imposées pour la participation de ses athlètes en réaction à l'offensive en Ukraine.

"Nous ne devons pas nous détourner, nous fermer, boycotter ce mouvement", a déclaré le ministre lors d'une réunion, en évoquant les JO de l'été prochain, selon l'agence d'Etat Tass. "Nous devons, autant que possible, préserver la possibilité de dialoguer et de participer à des compétitions", a-t-il dit.

Le processus de désignation des porte-drapeaux révélé

C'est l'une des questions qui reste à trancher. Qui seront les porte-drapeaux de la France pour les Jeux de Paris ? A 14h30, le processus de désignation doit être révélé, en présence de David Lappartient, président du CNOSF, et de Marie-Amélie Le Fur, ancienne championne paralympique et présidente du CPSF (Comité paralympique et sportif français).

Le plan baignade et l’assainissement de la Seine et de la Marne

Ce mercredi, un point d'étape sur le plan baignade et sur l'assainissement de la Seine et de la Marne doit être fait à 14h. Il sera forcément question des épreuves d'eau libre, pour lesquelles les athlètes devront en théorie nager dans la Seine.

Bonjour à tous

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