XV de France: les échos "commando" du 21 juillet

- - AFP
17h37 - Un trek pour boucler la journée
Après un pique-nique bien mérité, les Bleus ont rallié la station de Tignes en VTT, soit 15 km avant de prendre la télécabine de Fovière pour monter à 2700 mètres. Là, le trek a débuté. Les Bleus ont rallié le Pano, leur destination finale de la journée groupés et solidaires bien que les traits sont un peu tirés… Le trek a été extrêmement exigeant comme point d’orgue de la journée : 5 kilomètres avec 700 mètres de dénivelé positif réalisé en trois heures par les meilleurs. L’orage de montagne n’a épargné personne et l’arrivée au panorama a été vécu comme une délivrance par tous. Au programme de la soirée, un bon repas et une bonne nuit dans un gîte d'altitude puisqu'il est interdit de bivouaquer à la belle étoile ou en tente à 3000m d'altitude, comme le précisent les services de sécurité. Demain, réveil à l'aube. Puis ils se rendront sur le glacier de la Grande Motte pour y refaire du wattbike et découvrir une dernière partie de stage de cohésion au secret encore bien gardé…
13h15 - Comme un p'tit air de Tour de France...
Sous un soleil de plomb, les Bleus se sont attaqués à l'ascension du col de l'Iseran (2800 mètres) soit 18 km à leur rythme, le seul but étant rallier le sommet chacun à son rythme. Quelques problèmes techniques (dérailleurs, casses, bris de chaîne...) ont retardé Kayser, Chiocci ou encore Bastareaud. Même si l'activité éminemment exigeante ne donnait lieu à aucun classement, il faut souligner les performances de Kockott, Chouly Szarzewski ou encore Lamerat devant ou encore l'aisance étonnante des Debaty et Guirado ! Dans la voiture balai (avec un vrai balai scotché à la portière !), Philippe Saint- André et le docteur Grisoli n'étaient pas inquiets sur les capacités de tous à rallier le sommet. Les joueurs se reposent et déjeunent au sommet avant de se rendre aux télécabines de Toviere à Tignes pour une nouvelle activité dite de cohésion !
11h47 – Pas de répit pour les Bleus
Après l'impressionnante voie ferrata avalée (littéralement « sacrée vertigineuse escalade »), les Bleus ont eu droit à 5 km de VTT sur route en peloton pour rejoindre la base du col de l'Iseran. Là, les 13 km d'ascension sous le soleil pour des rugbymen aux physiques à l'opposé des grimpeurs a sacrément mis à épreuve les organismes ! Et ce n'est que le début de deux journées dites de cohésion de groupe...
9H47 – Tillous-Borde ménagé
Touché au genou lors de l'entraînement public, Sébastien Tillous-Borde a été ménagé pour le début des deux jours de crapahutage en montagne.
9h32 – Contrôle antidopage pour 8 Bleus
Huit Bleus sont arrivés en retard à Val d'Isère pour la première difficulté des 48 heures de crapahutage pour la cohésion du groupe en raison d’un contrôle antidopage inopiné. Huget, Kockott, Nyanga, Tillous-Borde, Debaty, Kayser, Dusautoir et Bastareaud ont rejoint leurs camarades avec une demi-heure de retard.
9h20 – La première difficulté avalée
La première difficulté de la journée était de taille, surtout pour ceux qui sont sujets au vertige : escalade, certes encordée et encadrée par des moniteurs de l'impressionnante via ferrata à Val d'Isère. Joueurs et staff participent ensemble à cette mise en train "robuste".