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Tour de France (4e étape) – Uran n’est pas sorti indemne des pavés

Le Colombien Rigoberto Uran

Le Colombien Rigoberto Uran - AFP

Treizième de l’étape des pavés ce mardi, Rigoberto Uran a réussi à rester dans le premier groupe jusqu’au bout. Mais le grimpeur de l’équipe Etixx-Quick Step a payé le prix fort : le Colombien arbore désormais une impressionnante ampoule sur sa main droite.

Le cyclisme est un sport de souffrance. Un sport où le corps subit la répétition des efforts et ne vous laisse jamais vraiment tranquille. Mais parfois, certains bobos sont bien plus difficiles que d’autres à gérer. Quelque chose nous dit que cela va être le cas pour Roberto Uran dans les prochains jours. Pas vraiment spécialiste des pavés, et c’est un euphémisme, le grimpeur colombien de l'équipe Etixx-Quick Step a tout de même réussi à terminer la quatrième étape du Tour dans le premier groupe, prenant une belle 13e place. Mais il a payé le prix fort pour sa débauche d’énergie.

Et la guidoline, Rigoberto ?

Une photo diffusée par le coureur sur les réseaux sociaux montre ainsi une ampoule massive sur sa main droite. La conséquence, sans doute, d’un guidon serré trop fort pour amortir au mieux les chocs, les mains en bas du cintre, et peut-être aussi d’un oubli qui fera sourire les spécialistes. Avant d’affronter les pavés, ces derniers installent une double voir une triple guidoline pour éviter les ampoules. A priori, personne n’a prévenu Uran. Bizarre dans une équipe pourtant spécialisée dans les classiques…