Attentats de Paris: Thierry Henry sous le choc

- - AFP
Loin des yeux, près du cœur. A Dubaï vendredi soir lors des attentats perpétrés à Paris, Thierry Henry a confié combien il s’était senti impuissant, anxieux et triste, dans sa chronique publiée par le Sun ce mardi : « J’étais à Dubaï vendredi soir quand les attaques contre ma ville ont commencé et je peux vous dire que je ne me suis jamais senti aussi impuissant. Mes parents vivent dans une banlieue de Paris, mon frère travaille dans une gare de la ville et un de mes amis dans un restaurant proche du lieu des fusillades. »
En contact direct avec Evra
« Bien sûr, j’ai ressenti un immense soulagement quand j’ai appris que mes proches étaient saufs mais pour autant, ça n’a pas atténué la tristesse que j’ai alors éprouvée (…) Quand des terroristes frappent ainsi, c’est une attaque contre le monde entier. Mais quand ça arrive près de chez toi, tout devient plus concret », a ajouté l’ancien international français, qui prenait via Patrice Evra, des nouvelles des Bleus, opposés à l’Allemagne dans un Stade de France également ciblé par les terroristes.