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PSG: directeur technique du centre de formation, Cabaye félicite Simons et Michut

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Directeur technique du centre de formation du PSG depuis l’été dernier, Yohan Cabaye participe pleinement à l’évolution des jeunes du club de la capitale. Dans une interview pour Le Parisien, l’ancien milieu de terrain est revenu sur les situations délicates de Xavi Simons et Edouard Michut.

Joueur du PSG pendant un an et demi, Yohan Cabaye n’avait pas réussi à se faire une place dans l’entrejeu entre l’hiver 2014 et l’été 2015. Aujourd’hui à la retraite, l’ancien milieu de terrain est revenu l’été dernier dans la capitale en tant que directeur technique du centre de formation.

Dans un entretien accordé au Parisien, l'ancien international français a abordé les cas Xavi Simons (18 ans) et Edouard Michut (18 ans). Souvent présents aux entraînements avec le groupe professionnel la saison dernière, les deux milieux de terrains ont de moins en moins cette chance. Une situation délicate, d’autant que le premier nommé arrive en fin de contrat en juin 2022 et ignore encore quelle suite donner à son avenir.

Si Cabaye a refusé de donner son avis sur l'avenir de ces jeunes, l’ancien lillois les a tout de même encensé: "Ce n’est pas à moi de le dire. Je mettrais simplement en avant leur comportement exemplaire quand ils sont sur le terrain. Je les félicite pour leur investissement. Ce sont des bonnes personnes et ils le montrent tous les jours."

"On n’empêchera pas les clubs étrangers de venir vérifier ce qu’on fait ici"

Entre Kingsley Coman, Presnel Kimpembe et notamment Adrien Rabiot, le centre de formation du PSG a souvent sorti des joueurs qui ont su confirmer leur talent au haut niveau.

Cependant, le leader du championnat français a souvent tendance à voir ses pépites s’envoler vers d’autres cieux. Un phénomène sur lequel le dirigeant de 35 ans est revenu: "On se focalise sur la progression des joueurs. Le cœur du projet, c’est le joueur. Si on peut le faire grandir chez nous… On n’empêchera pas les clubs étrangers de venir vérifier ce qu’on fait ici".

JO