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Barça: le fils de Joan Laporta arrêté avant le Clasico

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Une heure avant le coup d'envoi du Clasico entre le Real Madrid et le FC Barcelone, le fils cadet de Joan Laporta a été arrêté par la police pour avoir agressé sa compagne dans un restaurant.

Joan Laporta a passé un bien mauvais dimanche. Non seulement le Barça a été largement battu par le Real Madrid dans le Clasico lors de la 9e journée de Liga (3-1), mais le fils cadet du président du club catalan a été arrêté par la police dans le centre de la capitale espagnole une heure avant le coup d'envoi. Comme le rapporte El Español et As, Guillem Laporta aurait menacé sa compagne dans un restaurant situé dans la rue Miguel Angel, qui se trouve à quelques stations de métro du stade Santiago Bernabeu.

Il a resisté au moment de son arrestation

Des gardes du corps d'un ministre du gouvernement espagnol, présents à une table voisine, ont alerté la police. Lorsque les officiers sont arrivés, Guillem Laporta s'est montré très agressif et a résisté lors de son arrestation. Une dose d'antidouleur lui a été administrée pour le calmer. Le fils de Joan Laporta a été transporté à l'Unité de soins aux familles et aux femmes, tandis qu'une enquête sur l'incident est en cours. Selon des sources policière, citées par El Español, Guillem Laporta est accusé d'un délit de maltraitance. Il sera présenté à la justice dans les prochaines heures.

Après la défaite des Catalans sur la pelouse de leur rival, son père Joan est descendu dans le vestiaire des arbitres pour se plaindre de la prestation du corps arbitral. Un fait noté dans le rapport de l'arbitre. La version des faits du club catalan a été expliquée à Mundo Deportivo par l'entourage du président. Selon le média catalan, le président a demandé des explications "avec le plus grand respect", selon les sources citées, à l'arbitre principal du match sur les critères appliqués lors de la révision d'une action et pas d'un autre, faisant référence à l'éventuel penalty sur Lewandowski suite à une poussette de Dani Carvajal. L'arbitre a répondu que, selon ses critères, l'action à laquelle le président faisait référence ne méritait pas d'être revue.

AS