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Ligue 1: la mise au point de Daniel Riolo après un message de Reims

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Suivez en live toutes les infos avant la 14e journée de Ligue 1 qui débutera vendredi par la rencontre Lille-Brest avant de se conclure dimanche avec Saint-Etienne-OM.

La mise au point de Daniel Riolo après un tweet de Reims

Après que l’éditorialiste RMC Sport a indiqué, mardi dans l’After Foot, que le Stade de Reims n’a pas souhaité accueillir la délégation de l’OL à l’occasion du match de Ligue 1, Reims-Lyon (1-1), le 23 novembre. Le club du président rémois, Jean-Pierre Caillot, s’est expliqué jeudi sur X: "Si nous ignorons souvent ses fausses accusations, nous ne pouvons accepter qu’on remette en cause notre sens de l’accueil, une valeur essentielle pour notre Président et notre Institution. Nous pouvons être critiqué sur des sujets, mais jamais sur l’accueil réservé aux délégations adverses. D’ailleurs, ayant déjà profité de nos invitations, Mr. Riolo est particulièrement bien placé pour apprécier la qualité de notre hospitalité."

"Ça s’est passé exactement comme je le raconte"

Un tweet auquel Daniel Riolo a répondu jeudi dans l’After: "On va raconter exactement l’histoire. La veille (du match), l’Olympique Lyonnais reçoit des personnes qui s’occupent de faire le "go between" quand les délégations doivent venir: 'Nous sommes désolés, nous n’avons pas de place en loges pour le président, Mr Laurent Prud'homme et les personnes qui l’accompagnent.' Les Lyonnais sont un peu étonnés. Leur réaction est de dire: puisque c’est comme ça on va tous aller sur le banc de touche." A part Nicollin plus personne ne fait ça depuis des années. Ils ont demandé des accréditations. Vous imaginez les images que ça aurait donné: Pierre Sage, les remplaçants, le président, un directeur… ça aurait fait mauvais effet."

Et Daniel Riolo de poursuivre: "Quand le Stade de Reims s’en est aperçu, ils ont rappelé en disant: 'C’est bon on vous a trouvé trois places.' Donc ils se sont retrouvés en loges. Ça s’est passé exactement comme je le raconte, ce qui a profondément fâché les Lyonnais."

En colère contre la direction rémoise, Daniel Riolo en voulait aussi au camp de l’OL après que Laurent Prud’homme a assuré, lui aussi, avoir été bien accueilli à Reims sur X. Le journaliste a alors convié le patron lyonnais et son homologue rémois Jean-Pierre Caillot pour s’expliquer dans l’After. L’invitation est lancée.

Un corner si le gardien gagne trop de temps, la nouvelle règle imaginée par l'IFAB

Afin de sanctionner réellement les gains de temps des gardiens, l'IFAB envisage de revoir son règlement et d'accorder un corner à l'équipe adverse. Des premières expérimentations ont eu lieu en Angleterre, dans des catégories de jeunes.

L’idée est simple: si le gardien garde le ballon pendant plus de huit secondes, l’arbitre doit lever la main et lui faire signe qu’un compte à rebours de cinq secondes vient de se déclencher. S’il ne se précipite pas pour renvoyer le ballon, un corner peut alors être accordé à l’adversaire.

>> Toutes les explications sur la règle qui pourrait mettre un terme aux gains de temps des gardiens

En Allemagne, les droits TV attribués pour plus d'un milliard d'euros par saison

Voilà qui peut rendre jaloux des dirigeants de Ligue 1. Le football professionnel allemand s'est assuré sur la période 2025-2029 un pactole de 4,484 milliards d'euros de revenus issus des droits TV pour le marché domestique. Soit 1,121 milliard d'euros par saison, a annoncé la Ligue allemande (DFL).

Il s'agit du troisième cycle consécutif de quatre saisons pour lequel la DFL obtient des droits TV supérieurs au milliard d'euros par saison.

De 2017 à 2021, ils s'élevaient à 1,16 milliard d'euros par saison (4,64 milliard d'euros au total). Pour la période suivante allant de 2021 à 2025, la mise aux enchères au printemps 2020 en pleine pandémie de Covid et avec une Bundesliga à l'arrêt, avait abouti à une légère baisse à 1,10 milliard d'euros par an.

"C'est lunaire", Haise toujours agacé par l'arbitrage du match OL-Nice

Quatre jours plus tard, Franck Haise n'a toujours pas digéré l'arbitrage de Bastien Dechepy lors de la défaite de Nice à Lyon (4-1) en Ligue 1. L'entraîneur azuréen l'a clairement fait savoir ce jeudi avant la réception du Havre en championnat.

"C’est toujours bien de reconnaître, pour tout le monde, les erreurs qu’on peut faire. Après en effet, on a parlé d’une erreur qui était pour le coup tellement évidente…puisqu’on a même eu les échanges de la VAR. C’est presque encore plus inquiétant, je ne sais pas si je peux dire ça parce que c’est lunaire", a regretté le technicien du Gym. "On jouait à Lyon mais on était sur la Lune là. Et après, ils ne sont pas revenus sur les autres erreurs."

Avant de détailler les autres erreurs des officiels identifiées par les Aiglons: "Je sais juste que, par exemple, la faute de Lacazette sur Yaël Nandjou ils ont juste checké le hors-jeu. Bon… Par contre, pour Pablo Rosario, ils n’ont pas checké juste le hors-jeu. Voilà, moi ça m’interroge, beaucoup. On aura, j’aurai un échange avec la commission vendredi et c’est une bonne chose. Mais j’ai du mal à comprendre et cinq jours après j’ai toujours du mal à comprendre."

Avant un changement au ministère des Sports, l'arrêté sur la billetterie nominative publié

Dans la nuit, un arrêté en date du 19 novembre dernier a été publié au Journal officiel. Le texte instaure des "titres d'accès sécurisés" pour plusieurs "manifestations sportives" notamment les matchs des équipes de France de football, de rugby et de la Coupe de France. Mais aussi des matchs de compétition européenne et , comme prévu, les rencontres de Ligue 1 qui concernent le PSG, l'OM et l'OL. Avec une petite particularité, cet arrêté concerne uniquement les confrontations directes de ces clubs.

Le ministre des Sports, Gil Avérous, avait pourtant promis à plusieurs interlocuteurs que cet arrêté devait être discuté lors d'une plénière de l'Instance Nationale du Supporterisme, prévue pour le 12 décembre. Mais l'arrêté a bien été publié dans la nuit.

La liste des confrontations de Ligue 1

  • PSG-OM
  • PSG-OL
  • OM-PSG
  • OM-OL
  • OL-PSG
  • OL-OM

INFO RMC SPORT. Luis Enrique joue la carte de l'apaisement

Selon nos informations, Luis Enrique a pris la parole dans le vestiaire en marge de l'entraînement pour désamorcer les tensions naissantes avec son groupe. Son intervention a été favorablement accueillie.

>> Les détails de la prise de parole du coach parisien

Le Qatar dément une volonté de vendre le PSG

Un représentant de QSI a vigoureusement démenti ce mercredi les éléments parus dans la presse française autour d'une volonté de l'émir du Qatar de vendre le Paris Saint-Germain.

>> Le vif démenti du PSG sur un possible départ du Qatar

"Fuck off": les nouvelles banderoles cinglantes des supporters du Bayern contre Al-Khelaïfi et le PSG

Les supporters bavarois ont remis ça. Sept jours après leur message offensif à l'attention du "ploutocrate Al-Khelaïfi" lors de la réception du PSG en Ligue des champions, les fans du Bayern Munich ont de nouveau déployé des banderoles cinglantes à l'encontre du président parisien, Nasser Al-Khelaïfi, mardi en marge du match de Coupe face au Bayer.

>> Toutes les infos et les banderoles à voir dans notre papier

PSG: le communiqué ferme du CUP sur le Parc des Princes

Via un communiqué publié ce mardi soir, le Collectif Ultras Paris répète qu'il ne veut pas voir le PSG quitter le Parc des Princes, et appelle le président du club Nasser Al-Khelaïfi ainsi que la maire de Paris, Anne Hidalgo, à trouver une solution autour d'un "bail emphytéotique qui permette un agrandissement du stade qui accompagnerait l'essor du club".

Autrement dit, le CUP va plutôt dans le sens de la mairie, actant que le Parc ne sera pas vendu au club, et demande donc à Al-Khelaïfi d'abandonner son projet de déménagement. Le CUP annonce de "prochaines actions" à venir.

Le communiqué :

"De récentes annonces aussi soudaines que maladroites confirment la décision du club de quitter le Parc des Princes. La situation de blocage est telle, entre les dirigeants du club et la mairie, que cette issue semble de plus en plus réaliste. Nous ne pouvons nous y résoudre mais il n'est jamais trop tard.

En tant que supporters, nous voulons rester au Parc. Ce stade est notre maison, l'endroit où nous avons tout connu, les moments de bonheur comme les désillusions. Un départ constituerait une rupture majeure avec l'ADN et l'histoire du club, une véritable déchirure.

C'est aussi, et surtout, une affaire de passion et de transmission. D'identité, aussi. Le Paris SG a la sienne, à jamais indissociable du Parc. Comment imaginer le principal club parisien évoluant hors de la capitale, même à quelques kilomètres ?

Lorsque le Paris SG gagne c'est toute la ville de Paris et sa région qui gagne, quand le Parc des Princes est le théâtre d'exploits, de passions et de victoires c'est toute la ville de Paris qui rayonne de mille feux.

Il existe des solutions sérieuses pour moderniser et agrandir le Parc, concentrons-nous là-dessus. Notre souhait est que les différentes parties renouent le dialogue sans délai dans l'optique de trouver une issue bénéfique pour tous.

Hormis la cession que la mairie a fait miroiter au club un certain temps, des pistes existent qui permettraient à la ville de rester propriétaire de ce monument du patrimoine public et au club d'assurer son développement: un bail emphytéotique de très longue durée pour un loyer modéré, le financement par la mairie de tout ou partie des travaux, la possibilité pour le Paris SG d'utiliser commercialement des espaces voisins....

Nous demandons donc au président du PSG, M. Nasser Al-Khelaifi, de considérer notre position. Nous appelons la Maire de Paris, Mme Hidalgo, et les différentes composantes du Conseil Municipal à enfin transmettre officiellement à la direction du club une proposition acceptable de bail emphytéotique qui permette un agrandissement du stade qui accompagnerait l'essor du club. Nous alertons les futurs candidats à la Mairie sur ce sujet qu'il convient dès maintenant de prendre très au sérieux.

Nous allons nous mobiliser, pacifiquement mais fermement et nous appelons tous les amoureux du Paris Saint-Germain à se joindre à nous lors de nos prochaines actions au Parc des Princes et à Paris. Nous ne serons pas la génération de supporters qui aura vu le Paris SG quitter Paris et son Parc des Princes."

La DNCG ne prend aucune mesure contre le FC Nantes

Ce mardi matin, les représentants du FC Nantes étaient convoqués devant la DNCG pour un contrôle des finances à mi-saison. Bonne nouvelle pour les Canaris: la notification d’un encadrement de la masse salariale prononcée avant l’été n’a pas été prorogée.

La DNCG, qui prend cette décision quand salaires et transferts représentent plus de la moitié du budget - estimé cette saison à 80 millions d’euros - a sans doute été convaincue par les arguments du clan Kita, qui pourrait avoir à remettre la moitié de cette somme pour combler les manques liés à la baisse des droits TV et la masse salariale toujours importante sans gros départs de joueurs pour compenser.

La venue de Sergio Conceição et son staff, qui émargeaient à quatre millions d’euros annuels à Porto et le chèque proche du même montant à payer à Kombouaré et son équipe technique n’arrangerait pas les comptes. Si à Nantes rien ne va plus, les jeux ne sont pas encore faits.

PYL

>>> Le récit de la journée agitée du FC Nantes

"On n’a économiquement pas le choix", Roussier assume la sanction contre un jeune supporter du Havre

Jean-Michel Roussier a regretté l'intransigeance de la commission de discipline de la LFP qui a, selon ses mots dans l'émission Rothen s'enflamme, poussé le club du Havre à sanctionner un jeune fan de seulement six ans.

"Ça coûte cher, quatre gobelets c’est quatre mille balles, minimum. C’est minimum et il faudrait voir ça avec la commission de discipline pour l’avenir, c’est tout", a encore expliqué le dirigeant havrais sur RMC. "Parce qu’eux ne font pas la différence avec l’âge. Qu’il ait six ans ou soixante ans, c’est le même tarif."

Et de préciser sur l’incident en lui-même et le fait de savoir si le garçon s’amusait avec un autre jeune ou s’il visait l’arbitre assistant: "Je n’en ai aucune idée. Je ne saurais pas dire. L’extrait du rapport du délégué c’est qu’il y a quatre gobelets qui ont atterri entre les panneaux et le début de l’ère de jeu à proximité de l’arbitre assistant. Après, qu’il l’ait envoyé sur un de ses potes ou pas, je ne sais pas répondre. On a juste prévenu les parents et après le dossier est clos pour nous. Il est clos et vraiment désolé mais on n’a pas beaucoup de choix. On n’a économiquement pas le choix. S’il avait eu seize ans, il aurait probablement pris une interdiction administrative donc là c’est trois matchs et ce n’est pas très cher payé."

Le président du Havre justifie l'interdiction de stade "légitime" contre un supporter de six ans

Dans une saison déjà compliquée par la faiblesse des droits TV, chaque euro compte au Havre. Invité exceptionnel ce mardi de l'émission Rothen s’enflamme sur RMC, Jean-Michel Roussier a justifié la sanction infligée à un jeune supporter normand âgé de seulement six ans et interdit de stade pour le reste de l'année 2024.

"Elle est on ne peut plus légitime cette interdiction, que les choses soient très claires. Il a (jeté des gobelets), chamaillerie ou pas chamaillerie, je n’en ai aucune idée. Vous devriez lire le rapport du délégué, vous auriez dû lire le rapport du délégué. Dedans, il y a que le délégué à la 71e minute voit un supporter du Havre se lever et balancer sur l’aire de jeu, entre le panneau publicitaire et le terrain, quatre gobelets à côté de l’arbitre assistant. Lesquels n’ont pas atteint les officiels etc.", a raconté le président du HAC pour se défendre face au tollé provoqué par cette sanction.

"À partir du moment où c’est dans le rapport, ça va en commission de discipline. Et devant la commission de discipline, le tarif minimum par gobelet c’est 1000 balles. Donc la petite plaisanterie du jeune homme, elle nous aurait coûté 4000 euros si, ça parait extraordinaire, on ne l’avait pas vu à la vidéosurveillance. Or, on l’a vu à la vidéosurveillance et on a parfaitement vu que c’était un tout jeune homme et avec un adulte qui l’accompagnait (son oncle)."

Avant de préciser sur l'absence de plainte contre le jeune garçon et son oncle: "Donc, pour nous éviter d’avoir à payer 4000 balles, on a effectivement prononcé… Le club a prononcé, mois je n’ai rien prononcé. L’interdiction commerciale c’est le club, exactement. On n’a pas porté plainte, il n’y pas d’interdiction administrative et c’est une interdiction commerciale limitée à trois matchs pour lui et l’adulte qui l’accompagnait. Ils ont trois matchs et ils en ont purgé un contre Angers, il restera Strasbourg et Lens. Ça nous a juste épargné d’avoir à payer 4000 euros en plus de tout le reste en commission de discipline."

INFO RMC SPORT - Le FC Nantes va devoir verser 730.000 euros à son ancien entraîneur Pierre Aristouy

INFO RMC SPORT - Presque un an après le départ de Pierre Aristouy du banc des Canaris, le FC Nantes a été condamné ce mardi à verser la somme de 730.000 euros à son ancien entraîneur devant les Prud’hommes, avec exécution provisoire sur la moitié du montant.

PYL

OL-Nice: la Direction de l'arbitrage le reconnaît, un penalty aurait dû être sifflé pour l'OGCN

À 3-1 pour les Lyonnais, un penalty aurait dû être sifflé pour les Niçois. C'est l'avis de la Direction de l'arbitrage de la Fédération française de football. Dans un compte-rendu de la 13e journée de Ligue 1, mis en ligne mardi 3 décembre, l'instance revient sur l'accrochage survenu à la 48e minute du match OL-Nice entre le défenseur lyonnais Duje Caleta-Car et l'attaquant niçois Evann Guessand. Malgré l'utilisation des écrans de l'assistance vidéo, l'arbitre Bastien Dechepy n'a pas sifflé faute. L'Olympique Lyonnais s'est finalement imposé 4-1.

"Les images montrent que le défenseur retient l'attaquant, avec un ceinturage clair d’un bras, puis des deux, et un désintérêt pour le ballon. La légère semelle sur le pied gauche de l'attaquant ne saurait justifier à elle seule un penalty. L'intervention du défenseur ne permet pas à l’attaquant de poursuivre son action après le contrôle du ballon, et constitue une faute au sens de la Loi 12. Un penalty était donc attendu à la suite du visionnage en bord de terrain, ainsi qu’un avertissement au fautif pour comportement antisportif", estime la Direction de l'arbitrage.

L'analyse est accompagnée de la publication d'une vidéo montrant le processus de décision du corps arbitral sur cette action. Il s'avère ainsi que Jérôme Brisard, arbitre assistant vidéo, était plutôt favorable à ce qu'un penalty soit sifflé, mais que l'arbitre central Bastien Dechepy a préféré conserver sa décision.

OL-Nice: un penalty aurait dû être sifflé contre Lyon

Dans son compte-rendu public de la 13e journée de Ligue 1, la Direction de l'arbitrage de la FFF estime qu'un penalty a été oublié en faveur de l'OGC Nice face à l'Olympique Lyonnais (victoire 4-1 de l'OL).

L'action concernée est un accrochage entre Duje Caleta-Car et Evann Guessand à la 48e minute. Le défenseur croate de l'OL retient son adversaire par les bras et le fait chuter. Mais l'arbitre Bastien Dechepy, malgré l'assistance vidéo, a choisi de ne pas siffler faute.

L'analyse de la Direction de l'arbitrage: "Les images montrent que le défenseur retient l'attaquant, avec un ceinturage clair d’un bras, puis des deux, et un désintérêt pour le ballon. La légère semelle sur le pied gauche de l'attaquant ne saurait justifier à elle seule un pénalty. L'intervention du défenseur ne permet pas à l’attaquant de poursuivre son action après le contrôle du ballon, et constitue une faute au sens de la Loi 12. Un pénalty était donc attendu à la suite du visionnage en bord de terrain, ainsi qu’un avertissement au fautif pour comportement antisportif".

Plus d'informations ici.

Montpellier: après son coup de coude sur Savanier, Cabella règle ses comptes avec ceux qui ont empêché son retour

Rémy Cabella, milieu offensif de Lille, a publié deux messages d’amour pour Montpellier, son club formateur après le nul houleux entre les deux équipes (2-2) dimanche, marqué notamment par un coup de coude sur Téji Savanier avec lequel il aurait un contentieux.

>> Tous les détails ici: après son coup de coude sur Savanier, Cabella règle ses comptes avec ceux qui ont empêché son retour à Montpellier

Lundi, le milieu offensif lillois a publié deux messages sur Instagram pour rappeler son amour à Montpellier, son club formateur. Il y a joué en pro de 2009 à 2014, a participé au titre historique de champion de France en 2012 avant d’y revenir en 2022 après son départ de Russie et de Krasnodar. Mais ce retour ne s’est pas passé comme il l’espérait. Après cinq matchs disputés en Ligue 1, Cabella avait finalement quitté le club l’été suivant, contre sa volonté, assure-t-il sur Instagram. Il avait rebondi à Lille quelques semaines plus tard.

"Sachez que j'aurais aimé que l'histoire se termine là où elle a commencé… mais pas pour certains", a-t-il écrit sur un mur d’images rappelant ses bons souvenirs au club. "Je ne serai jamais assez reconnaissant au LOSC de m'avoir fait confiance et de me faire vivre un rêve et d'être heureux aujourd'hui."

Daniel Riolo annonce des "dissensions" à venir entre Luis Enrique et Luis Campos

Dans l'After sur RMC lundi, Daniel Riolo, journaliste et éditorialiste, a donné des informations sur la relation qui s'annonce tendue dans les semaines à venir entre Luis Enrique, entraîneur du PSG, et Luis Campos, directeur sportif.

>> Tous les détails ici: Daniel Riolo annonce des "dissensions" à venir entre Luis Enrique et Luis Campos

"Luis Enrique va bientôt commencer à dire que ce n'est pas lui qui a choisi ce qu'il s'est passé cet été", poursuit Daniel Riolo. "Si, ils ont choisi ensemble et tout ce que proposait Luis Campos était validé par Luis Enrique. Osimhen, Luis Enrique n'a pas voulu. Lookman, non plus. L'équipe qu'il a est celle qu'il voulait. Il va commencer à y avoir des dissensions, certaines personnes vont dire le contraire. Ce n'est pas vrai."

"Le contrat de Luis Enrique a été prolongé avant le match contre Arsenal", insiste Daniel Riolo. "Cette prolongation à ce moment-là, c'est parfaitement incompréhensible. C'est fait dans le souci de renforcer l'entraîneur. Sauf que, quand tu renforces Luis Enrique, c'est comme si tu lui avais donné les pleins pouvoirs d'autant que, dans le même temps, tu n'as pas prolongé Luis Campos. Le patron désormais, c'est Luis Enrique. Il dit: 'tu n'as pas eu ta prolongation de contrat, donc c'est moi le patron et tu vas faire ce que je dis'. C'est pour ça que j'annonce la dissension entre les deux bientôt."

Nice: Dante va se faire opérer

L'OGC Nice indique ce lundi que son capitaine Dante, touché à un genou contre Strasbourg le 24 novembre, va subir une intervention chirurgicale. Sans se prononcer, encore, sur une durée d'indisponibilité.

"Suite à un choc reçu en fin de rencontre face à Strasbourg le 24 novembre dernier, Dante souffre d’une lésion au ménisque interne du genou droit", écrit le Gym. "Les différents examens réalisés durant la semaine démontrent la nécessité d’une intervention chirurgicale. Celle-ci sera programmée demain."

Dante, qui a fêté ses 41 ans en octobre, est en fin de contrat à Nice au 30 juin 2025. Mais le défenseur brésilien aimerait prolonger l'aventure d'une saison.

MT

Le Havre: un supporter âgé de 6 ans interdit de stade

Comme révélé par L'Équipe et confirmé par RMC Sport, un très jeune supporter du Havre a écopé d'une interdiction commerciale de stade. Le garçon âgé de 6 ans a été sanctionné pour avoir jeté des gobelets en carton et des boulettes de papier, vraisemblablement en direction de l'un de ses amis pour jouer, lors de la défaite du club normand face à Reims, début novembre en Ligue 1 (0-3). L'exploitation des caméras de surveillance du stade Océane a permis d'identifier le jeune fan du HAC, qui ne pourra plus se procurer de billet jusqu'à la fin de l'année, tout comme l'adulte qui l'accompagnait lors du match contre Reims. Ses parents, reçus par les dirigeants du Havre, ont été informés de la sanction et ne l'ont pas contestée.

PSG: le documentaire sur Luis Enrique agace le vestiaire parisien

Selon les informations de RMC Sport, le documentaire diffusé sur Movistar sur la première saison parisienne de Luis Enrique agace le vestiaire, qui goûte peu à certaines séquences où ils se font violemment sermonner.

>> Tous les détails ici: le documentaire sur Luis Enrique agace le vestiaire parisien

Comment expliquer les tribunes clairsemées du Parc des Princes

Depuis le début de l’exercice 2024-2025, le projet parisien a connu un virage important avec moins de superstars et plus de joueurs expérimentés. De quoi provoquer quelques remous dans la billetterie du club de la capitale? Éléments de réponse.

>> Tous les détails ici: hiver, nouveau projet sportif, banderole Gaza... comment expliquer les tribunes clairsemées du Parc des Princes

Le programme de la 14e journée

Vendredi 6 décembre 2024
19h: Lille - Brest (DAZN)
21h: Auxerre - PSG (DAZN)

Samedi 7 décembre 2024
17h: Monaco - Toulouse (beIN Sports)
19h: Nice - Le Havre (DAZN)
21h: ANgers - Lyon (DAZN)

Dimanche 8 décembre 2024
15h: Lens - Montpellier (DAZN)
17h: Nantes - Rennes (DAZN)
17h: Strasbourg - Reims (DAZN)
20h45: Saint-Etienne - Marseille (DAZN)

Bonjour à tous

Bienvenue dans notre live pour suivre toutes les informations avant la 14e journée de Ligue 1 qui débutera vendredi par la rencontre entre Lille et Brest. Elle se conclura dimanche par Saint-Etienne-OM.

RMC Sport