Le top 10 des déclarations fracassantes de Mino Raiola

Mino Raiola - AFP
« Qu’est-ce que je dirais aux Suédois qui pensent que c’est une régression pour Ibra de quitter l’Italie pour jouer en France ? Quelque chose comme… qu’ils aillent se faire foutre. »
En 2012
« Le Ballon d’Or n’a d’importance que si Zlatan le gagne. S’il ne le remporte pas, cela confortera l’impression que ce prix est politiquement corrompu. La FIFA et l’UEFA, c’est la même merde. Quelque part, elles peuvent se comparer à des organisations mafieuses. »
A Sport-Expressen en 2012
« Platini n’a jamais fait quelque chose d’important pour le football. Seulement des choses utiles à lui-même. S’il avait eu suffisamment de courage, il aurait essayé de changer les choses. Alors mon dernier message au patron de la mafia sera : arrêtez de critiquer mes joueurs et allez au diable. »
A Sport-Expressen en 2012
« Je n’attends pas une décision, je la crée. Je n’attends pas le mercato, je le crée. Mon travail, c’est comme vendre des Bibles ou des aspirateurs. (…) Quand je veux placer un joueur quelque part, je casse les couilles aux dirigeants. Ils me disent non, je continue jusqu’à ce qu’ils me disent oui. »
A France Football en 2013
« Je lui ai dit (à Ibra) après ce match (contre Nantes) : "S’il te plaît, arrête de marquer des buts comme ça. Parce que sinon les gens vont penser que c’est vraiment facile, que le football français, c’est facile, que tu joues avec des enfants.’’ »
A France Football en 2014
« Mon rêve quand j’étais enfant ? Je jouais au foot dans les équipes de jeunes d’Haarlem (aux Pays-Bas). Je voulais devenir un grand joueur. J’étais un champion mais j’avais besoin d’un agent comme Raiola... »
En 2014
« Pogba est comme un Van Gogh : qui sait ce qu'il vaut ? Son prix est celui que l'on est prêt à mettre pour l'obtenir. » (Raiola avait aussi comparé Zlatan à la Joconde en 2012)
Dans la Gazzetta dello Sport en 2015
« Pep Guardiola est une merde. »
Dans la Gazzetta dello Sport en 2015
« J’ai dit à Mario Balotelli : ‘‘Tu as un contrat de quatre ans et je ne te ferai pas partir. Ou tu quittes Liverpool pour 60-70 millions d'euros, et j'ai gagné mon pari, ou tu meurs ici’’. C'est la première fois que je fais un discours comme ça à un joueur. »
Dans la Gazzetta dello Sport en 2015
« C’est un connard ! Quelqu’un qui dit quelque chose comme ça, c’est un connard. » (à propos d’Hubert Fournier) Dans Téléfoot le 8 février 2015