
Monaco-OM: pour Quiniou,"on ne peut pas reprocher à l'arbitre de siffler penalty"

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La faute paraissait légère. Pourtant, Ruddy Buquet n'a pas hésité une seule seconde au moment de porter le sifflet à sa bouche et d'indiquer le point de penalty. On joue la 19e minute du choc entre l'AS Monaco et l'Olympique de Marseille, ce dimanche au stade Louis-II, en clôture de la 4e journée de Ligue 1 et Jordan Amavi, coupable d'une faute sur Fabinho dans la surface, vient de concéder un penalty en faveur des Monégasques, transformé quelques instants plus tard par Radamel Falcao (2-0).
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Sévère or "not sévère"? Au ralenti, le penalty semble moins évident, avec l'impression que Fabinho joue bien le coup, en allant un peu chercher le contact avec Jordan Amavi. "Sur cette action, Amavi tend la jambe. Alors forcément, Fabinho vient la percuter. Amavi, il est imprudent dans son geste", estime le consultant RMC Sport et ancien arbitre international, Joël Quiniou.
"On peut trouver ça sévère mais..."
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"Même si Fabinho joue bien le coup, on ne peut pas non plus reprocher à l'arbitre de siffler ce contact-là. Qui commet cette faute d'imprudence au départ? C'est Amavi, qui va enrayer l'action de Fabinho. L'arbitre est bien placé, il n'a pas hésité une seule seconde. On peut trouver ça sévère mais malgré tout, le contact est justifiable d'un penalty sur cette action." Et sa conséquence est d'ores et déjà lourde pour l'OM.
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