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Nice: Galtier n'exclut pas de nouveaux départs au mercato

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Deuxième en Ligue 1 derrière le PSG, l’OGC Nice a accueilli en prêt Jordan Amavi pour combler le départ d’Hassane Kamara. En conférence de presse, le technicien Christophe Galtier a été interrogé sur la suite du mercato.

Sur une bonne lancée en première partie de saison, l’OGC Nice a bien commencé l’année 2022 avec une victoire à Brest (3-0) dimanche dernier. Avec une actuelle deuxième place, les Niçois sont bien placés pour accrocher une qualification en Coupe d’Europe. Pour concrétiser cette ambition, le mercato hivernal pourrait être le moment idéal afin de renforcer l’effectif.

Pour le moment, le club dirigé par INEOS s’est contenté de remplacer son latéral gauche Hassane Kamara, parti à Watford par un ancien de la maison: Jordan Amavi. Dans une impasse à Marseille, le Français a été prêté jusqu’à la fin de la saison. Devant la presse, l’entraîneur Christophe Galtier s’est exprimé sur de possibles mouvements en janvier: "Il faut toujours du monde. Après, il ne faut pas d’embouteillage (…) Ce qu’il va se passer d’ici la fin du mercato, personne ne le sait."

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"On a compensé le départ du latéral gauche avec l’arrivée de Jordan Amavi. Si des joueurs veulent partir car ils sont malheureux, il faut être à l’écoute. On ne peut pas tout accepter, mais on peut écouter et comprendre la position des uns et des autres."

"Je n’aime pas voir les joueurs malheureux"

Afin de clarifier sa pensée sur sa volonté de ne pas empiler les joueurs, l’ancien coach de Lille a parlé de la mentalité des joueurs frustrés de ne pas suffisamment jouer: "Vous avez toujours dans vestiaire, des gens qui sont malheureux. Même ceux qui jouent 30 minutes, où démarrent et sortent le sont. Ceux qui ne jouent pas sont hyper malheureux. Moi, je n’aime pas voir les joueurs malheureux."

Mais conscient que la concurrence fait partie du football, le Français sait qu’il doit composer avec cette problématique: "C’est ça aussi le métier. C’est un métier difficile où on est confronté à la concurrence en interne et à l’adversité quand on est dans la compétition."

JO