OM: Mitroglou "victime du contexte" selon Garcia

Après les vœux d'usage pour la première conférence de presse de l'année 2018, Rudi Garcia a vite replongé dans son quotidien d'entraîneur de l'OM. Comme à chaque fois ou presque depuis le début de saison, Konstantinos Mitroglou a été au cœur des débats. A juste titre, puisque le Grec, acheté 15 millions d'euros le 31 août dernier, n'a mis que deux buts depuis son arrivée. Mais comme souvent en 2017, Garcia s'est montré clément avec son avant-centre.
"Mitroglou est victime du contexte, a expliqué l'entraîneur marseillais. Tout attaquant qui serait arrivé dans les derniers jours, et qu'on déterminerait comme un 'panic buy', serait dans la ligne de mire des observateurs et n'aurait pas toute la confiance dont un attaquant a besoin. Moi j'ai confiance en Kostas, comme en Valère et en Clinton."
L'arrière gauche n'est pas une priorité
Même s'il a indiqué dans son entrée dans la salle de presse qu'il ne parlerait pas du mercato, renvoyant avec le sourire vers le directeur sportif Andoni Zubizarreta, Garcia a un peu lâché du lest au fil des questions. "On y réfléchit, on en a parlé avec les dirigeants, ils savent ce que j'attends", a-t-il confié, après avoir souligné que son effectif pourrait être "exposé à de gros pépins" lors de la seconde partie de saison.
Au poste d'arrière gauche, le recrutement d'un joueur ne semble pas une priorité, puisque Garcia a déclaré qu'il aimerait bien "que Rocchia reste" dans l'optique "de le convaincre". Ce qui sous-entend aussi que le recrutement d'un milieu de terrain, voire d'un attaquant, n'est pas totalement à exclure. Même si Mitroglou a des circonstances atténuantes…
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