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VIDEO. Toulouse: "J’ai fait beaucoup plus de bien que de mal au Téfécé", assure Dupraz

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EXCLU RMC SPORT. Trois mois après son départ de Toulouse, Pascal Dupraz s’est confié à notre micro sur ce qu’il a apporté au club, et sur ses ambitions pour les prochaines saisons. Pour le Savoyard, être à la tête d’un club concurrent du Téfécé la saison prochaine ne serait pas un problème.

Pascal Dupraz a quitté le club Toulouse le 22 janvier dernier après une série de mauvais résultats, une 19e place au classement général de Ligue 1 ainsi que des problèmes de santé. Trois mois après ce passage difficile de sa carrière, l’ancien meneur d’hommes d’Evian Thonon Gaillard s’est confié sur son apport à Toulouse et sur son avenir dans un entretien à RMC Sport, que vous pouvez retrouver en intégralité dans la vidéo ci-dessus.

"Sans ma venue en 2016, Toulouse aurait déjà goûté à la Ligue 2"

Malgré la mauvaise passe que traversait le club aquitain à la mi saison au moment de son départ, Pascal Dupraz a assuré avoir fait "beaucoup plus de bien que de mal" à son équipe: "Aujourd’hui le club est encore en Ligue 1. Et je dois dire que sans ma venue en 2016, je pense que le Téfécé aurait déjà goûté à la Ligue 2".

L’ex-coach avait en effet pris les rênes du club lors de la fin de saison 2015-2016, et avait empêché in-extremis la descente de Toulouse en Ligue 2 lors de la dernière journée. Pour haranguer ses hommes, Pascal Dupraz avait prononcé un vibrant discours, qui a eu beaucoup d'échos sur les réseaux sociaux. 

"Si je dois être le concurrent du Téfécé, je le serai"

L’entraîneur savoyard pense maintenant à son avenir. S’il reconnait avoir été approché au moment de son départ, ce dernier a refusé l’offre pour ne pas entrer en concurrence direct avec son ancienne équipe. "Déontologiquement, c’était impossible. Et sentimentalement ce n’était pas non plus possible" a-t-il assuré avant d’ajouter en souriant que les compteurs pourraient être remis à zéro la saison prochaine: "Par contre dès la saison prochaine, si je dois être le concurrent de Toulouse je le serai, mais je ne le serai que deux fois dans l’année".

AC