Arsenal-PSG: la finale à Munich, un bon présage pour le titre

La tenue de la finale de la Ligue des champions le 31 mai à Munich est un bon présage pour Arsenal et le PSG, qui s’affrontent ce mardi (21h) en demi-finale aller, puisque la ville allemande a toujours accueilli un vainqueur inédit dans la compétition.

Ils n’y sont pas encore mais la perspective a de quoi être alléchante. Le vainqueur de la double confrontation entre Arsenal et le PSG, dont la demi-finale aller de la Ligue des champions se dispute ce mardi (21h) à Londres, pourra se réjouir de la programmation de la finale à Munich, le 31 mai prochain. La ville allemande a déjà accueilli la finale de la compétition à quatre reprises dans le passé avec, à chaque fois, un vainqueur inédit.

Le PSG dans les pas de l'OM?

En 1979, Nottingham Forest avait été sacré pour la première fois de son histoire en battant Malmö (1-0) au stade olympique de Munich. C’est dans la même enceinte que l’OM avait battu l’AC Milan (1-0) en 1993 pour devenir le premier (et pour l’instant le seul) club français à s’offrir la Ligue des champions. En 1997, le Borussia Dortmund s’était adjugé son premier trophée en C1 en battant la Juventus (3-1) toujours au stade olympique.

Changement de stade mais même ville et même issue en 2012 quand Chelsea avait surpris le Bayern Munich dans son Allianz Arena (1-1, 4 t.a.b. 3) pour s’offrir sa première "coupe aux grandes oreilles". En 2025, deux des quatre équipes qualifiées en demi-finales n’ont jamais remporté la compétition: Arsenal et le PSG, qui se retrouvent donc ce mardi. Le vainqueur de la double confrontation pourra, le moment venu, réviser cette statistique faisant la part belle à la nouveauté.

Arsenal a atteint la finale de l’épreuve à une reprise en 2006 mais s’était incliné face au Barça (2-1) au Stade de France. Le PSG a aussi trébuché sur la dernière marche en 2020 face au Bayern Munich (1-0). L’autre demi-finale de l'edition 2025 opposera le Barça à l’Inter (aller mercredi en Catalogne, 21h), deux multiples vainqueurs de compétition: cinq fois pour les Espagnols, trois pour les Italiens.

NC