Le débrief de Dinamo Zagreb-OL : une "finale" pour les Lyonnais dans deux semaines, ça va être chaud !

Vainqueur à Zagreb, l'OL visera la qualif' contre Séville - AFP
Rafael hyperactif
Le verrou croate a bien tenu. Jusqu’à un quart d’heure de la fin. Quand Rafael, très actif sur son couloir durant toute la partie, a fait la différence dans la surface. Avant de lever la tête et de servir intelligemment son buteur Lacazette au deuxième poteau. Grâce au travail de Rafael, l'international français n’avait plus qu’à pousser la balle au fond des filets (72e). Pour assurer la survie lyonnaise dans cette Ligue des champions.
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Le danger s’appelait Valbuena
Mathieu Valbuena a repris un peu de confiance. Miné par les blessures depuis un an, le milieu lyonnais a débuté le match comme titulaire. Sur son aile droite, il a mis à mal la défense croate. Notamment en première période, où ses incursions et ses décalages ont initié tous les mouvements dangereux des hommes de Bruno Genesio (27e, 36e, 41e). L’ancien Marseillais a ensuite continué à percuter sur le front de l’attaque lyonnaise jusqu’à l’heure de jeu, puis s’est quelque peu éteint. Après une performance très encourageante.
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L’occasion manquée de Darder qui aurait pu coûter cher
Sergi Darder aurait pu s’en vouloir. Pendant longtemps, son occasion a été la seule du match. A la demi-heure de jeu, le milieu lyonnais se retrouve à quelques mètres du but croate. En pleine surface, la balle vient de heurter la barre de Livakovic avant de revenir dans les pieds de l’Espagnol. Malheureusement, le Lyonnais se hâte. Et envoie sa frappe bien au-dessus. Transparent à Zagreb, le milieu lyonnais a ensuite quitté ses coéquipiers peu après l’heure de jeu (remplacé par Tolisso, 66e).
Une finale Lyon-Séville au Parc OL
Leonardo Bonucci a bien aidé l’OL. En crucifiant Séville à domicile à cinq minutes de la fin (avant le troisième but signé Mandzukic, 90+4e, 1-3 score final). Avec ce succès, Turin revient à hauteur de Séville en tête du groupe H et, surtout, laisse les Espagnols à portée de tir de l’OL (trois points). En cas de victoire avec deux buts d'écart (après la défaite 1-0 à Séville) le 7 décembre prochain au Parc OL, le club de Jean-Michel Aulas (qu'il le veuille ou non) verra les huitièmes de finale. Le scénario rêvé par les Gones.
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