PSG: comment la presse espagnole réagit à la "bombe" de Leonardo sur Neymar

L'absence de Neymar dans le groupe du PSG pour affronter Nîmes ce dimanche, conjuguée aux déclarations de Leonardo sur une avancée des "discussions" pour le départ de l'attaquant, a mis la presse espagnole en alerte. A la limite des éditions spéciales.

La sortie médiatique remarquée de Leonardo fait logiquement la une des sites des journaux sportifs espagnols. Le directeur sportif du PSG a annoncé, ce samedi à la presse, l'absence de Neymar pour le match de clôture de la première journée de Ligue 1 prévu dimanche contre Nîmes. Le dirigeant a aussi dévoilé l'existence de discussions "plus avancées qu'avant" concernant un possible départ de l'attaquant vedette.

La presse espagnole, qui relate quotidiennement les plans du Real Madrid et du FC Barcelone pour attirer le footballeur du PSG, met l'accent sur l'avancée des discussions. La populaire émission de télévision El Chiringuito a ainsi live-tweeté la situation, avec une certaine emphase.

"La bombe du PSG"

AS, qui a traité cette information comme une breaking news, écrit que "Leonardo a évoqué ce qui était déjà un secret de Polichinelle". Bien que le directeur sportif parisien n'ait cité aucun nom de club, le journal revient par ailleurs sur de précédentes déclarations de Zinedine Zidane, l'entraîneur du Real Madrid, qui disait apprécier les qualités de Neymar. "Prémonitoire?", s'interroge ainsi le quotidien madrilène.

Du côté de la Cadena SER, il est également souligné que Leonardo "ne cache plus" les tractations et le fait que le joueur était "sur le point de partir". "La bombe du PSG", titre de son côté Marca, assurant quelques heures plus tôt que "Neymar commence à se voir en blanc" au Santiago-Bernabéu.

La une de Marca © Capture d'écran Marca

La presse catalane n'est pas en reste. En revenant sur les propos de Leonardo, le Mundo Deportivo souligne que la "destination prioritaire" de Neymar reste le FC Barcelone. Il serait toutefois enclin à signer chez le rival si les Catalans ne passent pas à l'offensive d'ici le 20 août.