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"Il s'agit clairement d'une tentative de chantage": vive réaction après le témoignage d'une ancienne assistante de Nasser Al-Khelaïfi

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Alors que Le Parisien a publié ce samedi le témoignage d'une femme présentée comme une ancienne assistante de Nasser Al-Khelaïfi (et salariée de beIN Sports) décrivant son burnout et son licenciement récent, une source proche de la chaîne réagit fermement auprès de RMC Sport.

Voilà un récit qui ne passe pas. Alors que Le Parisien a publié ce samedi le témoignage d'une femme présentée comme une ancienne assistante de Nasser Al-Khelaïfi (et salariée de beIN Sports) décrivant son burnout lié à des conditions de travail difficiles et son licenciement récent, une source proche de la chaîne, dont "NAK" est toujours le président, réagit fermement auprès de RMC Sport.

"Il s'agit clairement d'une tentative de chantage, explique cette source. L'employée se présente comme une confidente de Nasser Al-Khelaïfi, au cœur du PSG, alors qu'elle était l'assistante d'autres personnes. C'était une employée de beIN et elle a passé les deux dernières années à essayer ouvertement de faire chanter l'entreprise et sa direction. Après s'être vu offrir des congés illimités pendant de nombreuses années, de nouveaux et meilleurs postes, et tout le soutien nécessaire en tant qu'employée, elle a pensé qu'elle pouvait extorquer des millions à l'entreprise."

"Nous serons heureux de la voir au tribunal"

Selon Le Parisien, une audience doit se tenir en décembre devant le conseil de prud'hommes, saisi par l'ancienne assistante pour "licenciement sans cause réelle ou sérieuse".

"Maintenant que le procès contre elle approche, ayant échoué dans son extorsion et son chantage, elle essaie d'embarrasser l'entreprise via les médias, poursuit la source. Rien de tout cela ne fonctionnera. La cour de justice n'écoute pas les manipulations médiatiques, et se prononce très clairement sur les questions de chantage. Elle (l'assistante, ndlr) a exigé un million d'euros ou a menacé d'aller dans les médias. Nous lui avons dit: 'On se verra au tribunal'. La semaine dernière, elle a essayé de trouver un accord, puis a exigé 120.000 euros. C'est drôle comme sa demande a baissé. Nous avons dit non à nouveau, et nous serons heureux de la voir au tribunal."

LB