PSG-Chelsea: doublé de Palmer, piqué subtil de Pedro... Le naufrage parisien en première période face aux Blues

Le PSG est passé totalement à côté de son premier acte face à Chelsea ce dimanche en finale de la Coupe du monde des clubs. Menés 3-0, les hommes de Luis Enrique subissent la loi de Cole Palmer et du club anglais. Un scénario que peu d'observateurs avaient imaginé au coup d'envoi...

Paris vit un véritable cauchemar ce dimanche soir au Metlife Stadium de New York. Menés 3-0 à la pause par Chelsea en finale de la Coupe du monde des clubs, on peine à reconnaître les champions d'Europe qui écrasent tout depuis plusieurs mois et semblaient, avant le coup d'envoi, insubmersibles pour bon nombre d'observateurs.

Pas assez adroits en phase offensive, bien bloqués par le bon pressing des Blues au milieu de terrain et foudroyés par trois superbes buts signés Palmer (x2) et Pedro, les Parisiens ont subi la loi des hommes d'Enzo Maresca dans ces 45 premières minutes.

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Palmer climatise les espoirs de titre mondial du PSG... pour l'instant

Sur un contre parti de la relance du portier des Blues, Malo Gusto, bien aidé par l'intervention manquée de Nuno Mendes, déboulait dans son couloir droit avant d'être contré par Beraldo à l'entrée de la surface du PSG. Le latéral droit des Bleus pouvait tout de même servir Cole Palmer à l'entrée de la surface, qui venait loger une frappe enveloppée parfaite du gauche à ras de terre dans le petit filet de Donnarumma (1-0, 22e).

Moins de 10 minutes plus tard, le même Palmer inscrivait peu ou prou le même but, après avoir été servi sur la droite avant de repiquer, sans opposition, dans l'axe de la défense parisienne. Il ajustait le portier italien avec la même précision pour faire souffler un vent de révolution à New York (2-0, 30e).

Et alors que cet avantage logique ne faisait pas réagir plus que cela les champions de France, c'est Joao Pedro qui en profitait pour inscrire le but du 3-0 avant la pause. Aux 25 mètres, Palmer, encore lui, lançait idéalement le Brésilien dans le dos de la défense, lequel piquait parfaitement le ballon devant Donnarumma (3-0, 42e).

Comme le relevait Opta quelques instants après cette nouvelle réalisation, ce n'est que la troisième fois que le PSG concède trois buts ou plus en 43 minutes de jeu sous l'ère QSI. Mais un faisceau d'espoir existe puisque, les deux fois précédentes, Paris avait évité la défaite (4-4 contre l'OL en 2012 et Amiens en 2020). De quoi annoncer une deuxième période en feu d'artifice ?

CMP