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FFR: Laporte ne démissionnera "jamais" et dénonce une instrumentalisation

Bernard Laporte réagit avec force aux accusations de favoritisme.

Bernard Laporte réagit avec force aux accusations de favoritisme. - AFP

Accusé de favoritisme vis-à-vis du président du MHR Mohed Altrad, Bernard Laporte s’est confié au Parisien pour réagir à cette affaire. Le président de la FFR le promet, il ne démissionnera pas.

Bernard Laporte a déjà pris ses dispositions. Accusé de favoritisme auprès de la société de Mohed Altrad, le président de la FFR a finalement annulé son contrat passé avec l’entreprise du président du MHR. Mais l’ancien coach de Toulon se sent tout de même obligé de se justifier. Et accuse.

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Laporte sait "d'où tout cela vient"

"J’ai compris, je sais d’où tout cela vient, a asséné Laporte dans un entretien accordé au Parisien. Des gens qui ne supportent pas de me voir à ce poste. J’ambitionne de réformer le rugby français au profit du rugby amateur et de l’équipe de France, ce qui dérange." Alors le président ne démissionnera "jamais".

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Un doigt accusateur pointé vers la Ligue

Surtout, l’élu enchaîne les attaques. Selon le JDD, Laporte serait intervenu personnellement pour qu’en appel, la commission de discipline réduise des sanctions envers Montpellier. "Dans la réunion de la commission en question, trois personnes sont présentes ce jour-là. Une seule a démissionné, celle qui est le représentant de la Ligue", s'interroge le président.

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"Il est instrumentalisé"

Puis Laporte dénonce. "Cela peut poser des questions. Pourquoi ce monsieur ne démissionne-t-il que maintenant, deux mois après les faits? Pourquoi attend-il un article pour parler, au mépris des règles et du droit de réserve?" Avant de conclure sèchement. "Parce qu’il est instrumentalisé, c’est évident." Ambiance.

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Fl.P.