RMC Sport

Formule 1: Norris fracasse le trophée de Verstappen sur le podium en Hongrie

placeholder video
Deuxième du Gp de Hongrie ce dimanche, Lando Norris a bien célébré ce nouveau podium. Un peu trop même, au point de casser le trophée de Max Verstappen, le vainqueur du jour...

Max Verstappen est décidément intouchable cette saison en Formule 1. Vainqueur en Hongrie ce dimanche, le double champion du monde a remporté en Hongrie son septième Grand Prix d'affilée et offre à Red Bull une 12e victoire consécutive, un record pour une écurie. Le Néerlandais s'impose devant Lando Norris (McLaren) et son coéquipier chez Red Bull Sergio Pérez.

Au moment de célébrer les trois hommes sur le podium, le Britannique a complètement explosé le trophée du Néerlandais en ouvrant sa bouteille de champagne. La coupe s'est brisée en deux au moment de tomber du podium.

>> Revivez le GP de Hongrie et la victoire de Max Verstappen

Une journée noire pour Alpine

Parti en pole pour la première fois depuis décembre 2021, le septuple champion du monde Lewis Hamilton n'aura pas résisté longtemps à l'assaut de Verstappen, qui s'est élancé en 2e, puis aux McLaren de Norris et de l'Australien Oscar Piastri. A l'issue du premier tour, le pilote Mercedes était 4e.

Davantage performant en fin de course, le Britannique termine au pied du podium devant Piastri, 5e. La victoire de Verstappen- la neuvième en onze courses courues cette saison - permet à l'équipe autrichienne, invaincue depuis fin 2022, d'engranger une douzième victoire de suite, dépassant ainsi le record de McLaren datant de 1988. Au championnat des pilotes, le Néerlandais compte désormais une avance de 110 points sur son dauphin Pérez, seul autre pilote à s'être imposé en GP cette saison (en Arabie saoudite puis en Azerbaïdjan).

Chez Alpine, la série noire continue puisque les Français Pierre Gasly et Esteban Ocon ont été les principales victimes d'un carambolage en début de course, impliquant également l'Australien Daniel Ricciardo (AlphaTauri) et le Chinois Zhou Guanyu (Alfa Romeo), reconnu coupable de l'incident. Si les deux derniers pilotes ont pu rester en piste, ceux de l'écurie française ont dû abandonner, les monoplaces ayant été trop endommagées.

AS avec AFP