Paris-Roubaix: Van Avermaet sacré !

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[18h10]
Van Avermaet : « Mon premier monument »
« Pour moi, c’est un vraiment bon jour. Gagner ici mon premier monument après dix années… Ce n’était pas facile pour moi de gagner une grande course. Je suis vraiment content de ma condition physique. C’est le meilleur printemps de ma carrière. L’équipe a fait un bon travail pour me permettre de revenir aujourd’hui. Le sprint n’était pas facile. Après une telle course, j’ai fait un bon sprint. Ce n’était pas facile. Paris-Roubaix est la plus belle des courses monument même si je rêve toujours de gagner le Tour des Flandres. Je ne suis pas le nouveau Boonen. Je suis un autre coureur. Tom est un sprinteur. C’est le meilleur coureur belge des dix dernières années. Lors de mon premier Paris-Roubaix, j’ai pensé que je ne pourrais jamais gagner ici. J’étais mort à cent kilomètres de l’arrivée. Après dix ans à travailler à l’entrainement, je reviens ici. Et c’est devenu possible. »
[17h47]
Prudhomme : « Van Avermaet a eu des nerfs jusqu’au bout »
« Ça a été un final haletant. Van Avermaet a surgi. Le champion olympique qui rêvait de décrocher enfin un monument gagne le plus belle des classiques. Au terme d’un final qui a donné des frissons. C’est un coureur extraordinairement élégant sur le vélo, apprécie Christian Prudhomme, directeur de Paris-Roubaix. Il a été maillot jaune du Tour de France. Il a gagné toute une série de course, juste en dessous des monuments. Il était déjà très fort au Tour des Flandres. Il concrétise en ayant eu des nerfs jusqu’au bout. J’ai même cru qu’il ne reviendrait pas. Stybar avait fait un écart. Il triomphe, bravo. Il avait encore de la ressource. On a eu un Paris-Roubaix classique. Tout peut se passer. »
[17h35]
Edition record
[17h33]
Pierre-Luc Périchon (Fortuneo-Vital) : « Le podium, un rêve inaccessible »
« C’était des conditions particulières. On a eu très beau, on a eu vent de dos. Ça roulait très vite. Limite, vent de face, ç’aurait été plus facile pour nous. Il y a un beau podium cette année. Ça reste un rêve, je pense inaccessible. On peut faire un top 10, peut-être même un top 5. Top 3 ou jouer la gagne, je pense que c’est inaccessible. Je n’ai pas cette ambition ni cette prétention. »
[17h24]
Guimard : "Van Avermaet a été à plus de 50 secondes du groupe Boonen"
« On a dit pendant la course qu’il avait perdu Paris-Roubaix. Il était effectivement très loin. Il a subi cette chute. Il a été dépanné longtemps après. Il est revenu dans le peloton après une longue poursuite. Il a été à plus de 50 secondes du groupe Boonen. Après c’est vrai, il s’est un peu caché. Il avait Daniel Oss qui faisait un numéro devant et qui l’a protégé. »
[17h17]
Adrien Petit : « Van Avermaet ? C’est un mec sacrément complet »
« Je suis resté concentré, je savais que j’allais pouvoir accrocher une placette. C’était dur. J’avais des crampes. Une place de mieux que l’an dernier. J’ai tenu ma parole. Je suis satisfait. J’étais avec les cadors, c’était hyper bien. C’est une super journée pour Direct Energie. Sagan a des hauts et des bas. Je pense que ça a lâché dans la tête plus qu’autre chose. Van Avermaet ? C’est un mec sacrément complet. »
[17h02]
Van Avermaet sacré !
Incroyable final ! Dans le Vélodrome de Roubaix, le trio de tête a d'abord attendu, au point de se faire rejoindre par deux poursuivants. Avant que Stybar ne lance le sprint, superbement contré par Van Avermaet. A 31 ans, le Belge signe le plus beau succès de sa carrière.
[17h00]
Ca va se jouer au sprint !
[16h57]
Moins de 4km à parcourir et le trio de tête est toujours uni.
[16h55]
Déjà fait, le podium ?
[16h54]
L’écart se stabilise autour des quarante secondes
Moins de huit km de l’arrivée et le trio de tête stabilise l’écart avec leurs deux poursuivants.
[16h47]
Un nouveau trio de tête
Ils sont donc trio à imprimer un train d'enfer, à 12km de l'arrivée : Van Avermaet, Langeveld et Stybar comptent désormais une quarantaine de secondes d'avance sur leurs premiers poursuivants. Selon Cyrille Guimard, cette échappée devrait aller au bout.
[16h44]
Sagan décroché
Il semblerait que l'un des favoris ne soit plus en mesure de jouer la victoire finale, Peter Sagan.
[16h42]
Guimard : "Van Avermaet"
« Van Avermaet favori ? Sur le papier oui, n’oublions pas qu’il a fait beaucoup d’efforts dans la première partie. Aura t’il récupéré ? »
[16h40]
Van Avermaet énorme dans le carrefour de l'arbre !
[16h30]
Sept hommes devant
[16h26]
La tête, puis deux groupes
A 26 km de l’arrivée, un homme en tête, Oss, suivi de six hommes dont son leader Greg van Avermaet à 25’’. Puis le groupe Boonen, Sagan, qui s’est à nouveau étoffé, à une minute.
[16h23]
Quel phénomène...
[16h19]
Encore une tuile pour Sagan !
Problème mécanique pour Sagan. Le champion du monde a recollé en quelques instants sur Tom Boonen.
[16h16]
Oss toujours en tête
[16h12]
« Quel final on va avoir »
« L’écrémage a été absolument extraordinaire, apprécie Guimard. Il n’y a pas eu véritablement d’échappée. Ça s’est fait par l’arrière. Il ne reste que 15 coureurs et tous les autres ont été lâchés à la pédale. Quel final on va avoir ! »
[16h06]
Encore une dizaine de secteurs pavés à affronter
[16h04]
Mons a écrémé
Le peloton des favoris a fondu dans le passage de Mons-en-Pévèle pour passer d’une trentaine à une dizaine de coureurs, notamment sous l'impulsion de Peter Sagan. Un, groupe dans lequel figure toujours Sylvain Chavanel.
[15h59]
« Sagan fait mal »
« Sagan n’avait pas bougé depuis une dizaine de km. On arrive sur un passage délicat, technique, il repasse à l’action. Et il fait mal », estime Peter Sagan.
[15h55]
Entrée dans Mons-en-Pévèle
Mons-en-Pévèle, secteur classé 5 étoiles. Un site utilisé sur Paris-Roubaix depuis 1978. Qui va peser un peu plus sur les jambes. Mons-en-Pévèle marque le début de la grande explication des 40 derniers km.
[15h51]
Souvenirs...
[15h49]
Le conseil d’un spécialiste des classiques (mais pas de Paris-Roubaix)
[15h45]
Guimard : "Sagan me fait la plus forte impression"
« Peter Sagan me fait la plus forte impression. Il faut noter que van Avermaet est bien présent. Ce qu’il a réalisé depuis le départ montre qu’il avait les chevaux pour s’imposer. A l’arrivée, les masseurs auront beaucoup de travail à faire. »
[15h40]
Deux hommes en tête
A moins de 60km de l’arrivée, deux hommes en tête, Stuyven et Oss avec une vingtaine de secondes d’avance sur un groupe d’une grosse vingtaine de coureurs.
[15h36]
Deux respirations et c’est reparti
Après une (courte) accalmie, la valse des attaques a repris. Arnaud Démare a ainsi tenté le coup, comptant quelques longueurs d’avance pendant une poignée de secondes.
[15h27]
Finalement, les favoris sont tous là
Les attaques partent dans tous les sens, et l’écrémage est fait. « On s’aperçoit qu’en fait sur les accélérations, il y peu de coureurs qui peuvent accompagner, observe Cyrille Guimard. Il n’y a plus que 15 coureurs qui peuvent jouer la première place. » Parmi eux, le Français Arnaud Démare.
[15h17]
Sagan a crevé !
Nouveau coup de théâtre ! Peter Sagan, à l'attaque il y a quelques minutes, vient de crever. Son coéquipier l'attend. Deux hommes en tête. Sagan a néanmoins pu repartir devant le peloton.
[15h12]
Sagan s'y met, Boonen largué
75km à parcourir, Peter Sagan a mis une accélération à son tour. Le champion du monde disloque définitivement le peloton. Ils sont désormais quatre en tête de course emmenés par Sagan avec 25'' d'avance. Boonen est derrière.
[15h10]
Van Poppel met le feu
Accélération du Néerlandais Boy Van Poppel qui fait mal au sein du groupe de favoris. Des écarts se creusent.
[15h07]
Chavanel attend Wallays
Wallays a évité une spectaculaire sortie de route. Chavanel, qui a compté jusqu'à 45'' d'avance, l'a attendu. Les deux hommes de tête comptent toujours 30'' sur le groupe Boonen.
[15h05]
Van Avermaet a réussi à rentrer
En grosse difficulté après une chute, Greg Van Avermaet, l'un des grands favoris du jour, vient de recoller sur le peloton. Il reste 80 km à parcourir.
[15h00]
Attaque de Sylvain Chavanel
Le Français de 36 ans a rejoint Wallays en tête de course. Les deux hommes comptent 20’’ d’avance sur leur poursuivants. "C’est pas mal ce qu’il fait. Il est sorti en rat", commente Cyrille Guimard.
[14h54]
25'' d'avance pour le duo de tête
Vandenbergh et Wallays ont quitté la trouée en tête avec 25’’ d’avance sur un peloton d’une petite trentaine de coureurs.
[14h51]
Tous ensemble
[14h47]
C’est parti pour la trouée
La Trouée d’Arenberg, cauchemar par temps de pluie, plus sympathique sous le soleil… Un secteur classé, noté 5 étoiles, l’échelle maximale de la difficulté. Tony Martin guide les favoris dans la trouée, sur une route d’environ 3 mètres de large.
[14h41]
Boonen à l'attaque !
A l'approche de la trouée d'Arenberg, Tom Boonen accélère. Tony Martin, Peter Sagan, ne sont pas loin, tout comme Arnaud Démare. En revanche, Van Avermaet est relégué à une cinquantaine de secondes du groupe des favoris.
[14h40]
Van Avermaet en difficulté
Parmi les trois grands favoris, Greg Van Avermaet est peut-être en train de perdre la course. Victime d’une chute, le leader de la BMC est derrière les motos pour tenter de raccrocher le peloton.
[14h36]
On attaque les choses sérieuses
102 km à parcourir, les coureurs attaquant le secteur 20, celui qui précède la trouée d’Arenberg, le passage le plus difficile de Paris-Roubaix. Ça va se durcir.
[14h35]
Un Anglais sacré chez les juniors
[14h34]
Abandon de Terpstra
Victime d’une chute à 128km de l’arrivée, Niki Terpstra, coéquipier de Tom Boonen, jette l’éponge.
[14h27]
Les Quick-Step en difficulté
Epouvantail de la compétition, l’équipe Quick-Step, celle de Tom Boonen connait des difficultés. Deux de ses coureurs ont ainsi chuté et pourraient manquer à Boonen quand ce dernier en aura besoin. « Sur Paris-Roubaix, le rôle des équipiers est très important », rappelle Cyrille Guimard, membre de la Dream Team RMC Sport.
[14h24]
Un peu de répit avant la trouée…
Période de calme relatif dans les haut-de-France. Mais on approche de la mythique trouée d’Arenbert… Les hommes de tête en ont profité pour porter leur avance à 50 secondes.
[14h20]
Les gros se placent
Quelques uns des favoris, dont Peter Sagan et Tom Boonen se sont rapprochés de l'avant du peloton.
[14h16]
Les coureurs ont déjà rattrapé l’horaire
Au vu des conditions météo optimales, la direction de course avait décidé de reculer le départ d’un quart d’heure. Lancés à 44 km/h de moyenne depuis le début, les coureurs ont déjà rattrapé l’horaire, alors qu’il reste 116 km à parcourir.
[14h15]
Et Boonen ?
Le Belge est tranquillement installé au cœur du peloton, sans avoir eu à trop puiser dans ses ressources.
[14h12]
Démare y croit
[14h07]
Un trio devant
Ils sont désormais trois devant, à préceder le peloton d'une quinzaine de secondes. Wallays et Delage, qui résistent depuis une vingtaine de km, ont été rejoints par Stijn Vandenbergh.
[14h03]
Stannard crève et perd du temps
Troisième de l'édition 2016, Ian Stannard a été victime d'une crevaison.
[13h57]
Deux détachés
A 130km de l’arrivée, deux hommes Wallays et Delage, occupent la tête de course avec quelques secondes d’avance sur le peloton.
[13h48]
Grosse chute
A 151 km de l'arrivée, sur une route relativement étroite, le peloton a vécu sa première grosse chute du jour. Parmi les coureurs impliqués, le Belge Oliver Naesen, leader de la formation AG2R la mondiale, reconnait avoir le genou "un peu raide".
[13h42]
Premier secteur pavé
Les coureurs l'ont attaqué peu après 13h30. Auparavant, enveloppés d'un climat estival, le peloton avait filé lors des deux premières heures de course.
[13h30]
Bonjour...
... et bienvenue pour suivre en notre compagnie la 115e édition de l'"enfer du nord", Paris-Roubaix. Avec "une" grande question, pour sa der, Tom Boonen va-t-il le faire et devenir l'unique recordman du nombre de victoires sur la mythique classique du nord (il est à 4) ?