RMC Sport

"C'est un rêve, j'ai hâte": le message très clair de Zidane sur son envie de devenir sélectionneur des Bleus

placeholder video
Favori à la succession de Didier Deschamps à la tête de l'équipe de France en 2026, Zinédine Zidane a confié, dans un évènement organisé par Adidas, qu'il avait "hâte" d'être le prochain sélectionneur des Bleus et de réaliser son "rêve".

Didier Deschamps tire bientôt sa révérence à la tête de l'équipe de France. Et pour lui succéder, le candidat naturel s'appelle Zinédine Zidane. L'ancien entraineur du Real Madrid est le favori pour devenir le futur sélectionneur après le Mondial 2026 et il s'est exprimé sur ce sujet lors d'un évènement promotionnel organisé par son équipementier Adidas, lundi.

"Je me sens légitime en équipe de France, où j'ai joué et passé pratiquement 12, 13 ou 14 ans comme joueur. Bien sûr, c'est un rêve, j'ai hâte", a déclaré le champion du monde 1998 selon des propos relayés puis supprimés par Foot Mercato, avant d'être repris ce mardi soir par L'Equipe qui affirme que l'entourage de l'équipementier confirme leur véracité.

Une carrière entre parenthèses

Zinédine Zidane n'a pas été sur un banc depuis le mois de juin 2021. L'ancien entraineur du Real Madrid se fait habituellement très discret et n'a toujours pas publiquement révélé son intérêt pour l'équipe de France. Pour autant, l'ancien numéro 10 des Bleus ne met pas la charrue avant les bœufs et s'accorde à dire qu'il attendra sagement la fin du mandat de Didier Deschamps qui prendra fin après la Coupe du monde.

"Il y a un entraîneur aux commandes, il y a une équipe, et il faut respecter tout ça, et c'est ce qu'on fait. J'ai toujours respecté le football et les gens, donc ce n'est pas vraiment le bon moment. Mais le moment venu, ce sera un grand plaisir si l'occasion se présente", a rappelé "Zizou" avant d'ajouter: "J'ai mis ma carrière entre parenthèses un moment, mais je me sens pleinement entraîneur."

Les spéculations autour de Zinédine Zidane ont fait bon train depuis son départ du club espagnol. La Belgique, l'Algérie, le PSG... Entre sélections et clubs, beaucoup auraient tenté de s'attacher les services de l'ex-international français qui n'attendrait donc que l'appel du président de la Fédération française de football.

VN