Cavani létal, Ménez fantôme, Motta retrouvé… les notes de PSG-Bordeaux

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PSG :
Alphonse Areola : 6,5
Thomas Meunier : 5,5
Thiago Silva : 6
Marquinhos : 6
Layvin Kurzawa : 7
Marco Verratti : 7
Thiago Motta : 7
Blaise Matuidi : 6
Angel Di Maria : 7
Lucas : 7
Edinson Cavani : 7,5
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Cavani
Il a été critiqué. Critiqué. Et encore critiqué. Mais les statistiques commencent à être suffisamment impressionnantes pour calmer ses éternels détracteurs, prêts à fondre sur la moindre maladresse. La confiance, l’efficacité, les buts et la manière sont revenus comme par magie, et Cavani enquille désormais tranquillement à la pointe de l’attaque parisienne, avec un déchet quasi-nul. Face à Bordeaux, l’Urugayen a été chirurgical, avec deux jolis buts qui ont mis un PSG ultra-dominateur sur orbite. Huit buts en sept matches de L1 pour lui.
Thiago Motta
Hors du coup depuis le début de la saison et particulièrement lors de ses deux dernières sorties, Motta a retrouvé de son lustre face à Bordeaux. Dans un fauteuil au milieu de terrain, certes aidé par la passivité bordelaise, il a retrouvé son rôle d’aiguilleur en chef, fluidificateur de particule comme à ses plus belles heures parisiennes.
Angel Di Maria
Ombre de lui-même depuis la reprise, il a lui aussi profité de la promenade du jour pour signer une prestation enfin satisfaisante. Il n’est pas encore au sommet, mais il a été l’un des principaux créateurs d’occasions côté parisien, avec notamment un centre téléguidé dès la 3e minute pour l’ouverture du score. Il est même passé tout proche d’inscrire son premier but depuis cinq mois, finalement annulé par l’arbitre assistant, pour un léger hors-jeu.
Bordeaux
Cédric Carrasso : 5
Diego Contento : 4
Nicolas Pallois : 4
Igor Lewczuk : 3,5
Youssouf Sabaly : 4
Jaroslav Plasil 4
Jérémy Touloulan : 5
Grégory Sertic : 4
Jérémy Ménez : 3,5
Diego Rolan : 3,5
Malcom : 3,5
Jérémy Ménez
Etre en pointe dans une équipe à ce point dominée n’avait rien d’un cadeau pour Jérémy Ménez. Mais l’ex-Parisien n’a clairement pas trouvé la solution pour exister, ne serait-ce qu’un petit peu. Il a certes fait trembler les filets sur un des vingt ballons qu’il a eu à négocier, mais le hors-jeu était flagrant.
Igor Lewczuk
Il ne mérite pas le titre de mauvais élève bordelais, tant le naufrage a été collectif, mais le Polonais n'a clairement pas aidé les siens avec son marquage très lâche sur l’ouverture du score de Cavani. Il est également pris par la passe de Kurzawa sur le deuxième but. Le navire girondin était percé de toutes parts ce samedi, et Lewczuk l’a en partie sabordé.
Jérémy Toulalan
Il a fait tout ce qu’il a pu. Grattant une petite quinzaine de ballons alors que les vagues parisiennes revenaient sans relâche. Timide phare dans le naufrage girondin. Beaucoup trop seul pour combler les brèches, il aura tout de même été l’un des meilleurs bordelais sur la pelouse ce samedi.
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