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Nantes: "Ça veut dire qu'on est sérieux", Kita savoure la finale à venir après les critiques

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Installé dans la première partie de tableau en Ligue 1 et qualifié pour la finale de la Coupe de France, Nantes vit une saison 2021-2022 très satisfaisante. Son président, Waldemar Kita, s’est félicité de la réussite du club ce lundi dans Rothen s'enflamme sur RMC.

"C’est un accomplissement." Invité de "Rothen s’enflamme" ce lundi sur RMC, Waldemar Kita (68 ans) a pris le temps de savourer la belle saison du FC Nantes, couronnée d'une finale de Coupe de France à disputer le 7 mai prochain contre Nice (21 heures).

"Ça veut dire qu'on travaille, qu'on est sérieux, a clamé le président du dixième de Ligue 1, pas mécontent de recevoir quelques lauriers de la part des consultants de l’émission animée par Jérôme Rothen. On peut remercier aussi Antoine Kombouaré, le staff, les joueurs. On a mis tous les moyens financiers, en prolongeant les joueurs, en faisant des efforts. On a donné les moyens pour que cela marche bien et Antoine a fait un super boulot."

>> Retrouvez toutes les déclarations de Waldemar Kita dans notre direct

"Il y a des hauts et des bas, je ne vais pas vous mentir"

Antoine Kombouaré semble être la plus belle fierté du président nantais, lui qui a eu l’habitude d’entretenir des relations souvent houleuses avec ses précédents techniciens. "Je n’ai eu aucun problème humain avec aucun entraîneur, s’est défendu Kita. (...) Je ne me mêle pas de la manière dont les médias me présentent, surtout les journalistes qui sont sur Nantes. Je n’ai pas de problème avec les joueurs et les entraîneurs. Mais il y a un personnage et une histoire créés autour de moi."

Conscient d’avoir traversé de nombreuses zones de turbulences au club depuis ses prises de fonction en août 2007, le dirigeant polonais mesure l’accalmie relative vécue par les Canaris depuis quelques mois. Et assure avoir vécu des moments très difficiles. "Il y a des hauts et des bas, je ne vais pas vous mentir, il y a des moments où il y a un ras-le-bol, mais c’est comme ça dans toutes les professions. Après dans le football, les dégâts peuvent être supérieurs sur le plan mental..."

Romain Daveau Journaliste RMC Sport