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OM: pourquoi Sampaoli n’a pas reconduit le système de jeu du festival contre Angers

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Présent en conférence de presse ce vendredi à deux jours du choc contre Monaco, Jorge Sampaoli a expliqué pourquoi l’OM n’avait plus rejoué en 4-4-2 losange depuis la spectaculaire victoire contre Angers.

Ces dernières semaines, la question est revenue sur la table à chacune des mauvaises performances de l’OM: pourquoi Jorge Sampaoli ne revient-il pas à son 4-4-2 losange, qui avait fait si mal à Angers le 4 février dernier ? Lors de cette 23e journée, les Marseillais avaient en effet offert un festival offensif (5-2) au public du Vélodrome, avec notamment un triplé d’Arek Milik, dont l’association avec Cedric Bakambu en pointe était prometteuse.

>> Revivez la conférence de presse de Sampaoli et de Lirola

Depuis, l’OM, qui reste sur deux contre-performances d’affilée en Ligue 1 (défaite contre Clermont, nul à Troyes) n’a plus réutilisé ce système sur la totalité d’un match. "On a essayé de jouer dans ce système contre Qarabag, avec Payet qui joue dans la partie haute du losange et des ailiers qui repiquent vers le centre", a précisé Jorge Sampaoli en conférence de presse ce vendredi. Avant de justifier ses choix de système lors des derniers matchs.

"Contre Angers, ça aurait pu être le pire match à domicile"

“Contre Clermont, de la 18e à la 85e minute on a eu une bonne présence dans le camp adverse, il nous a seulement manqué de la précision. Après, c'est toujours pareil, si on ne prend pas le but contre Troyes à la fin du match... C'est à nous de trouver la meilleure version de l'OM, il faut aussi être meilleurs défensivement”, a détaillé le coach argentin devant les journalistes.

Jorge Sampaoli a également tenu à rappeler que, contre Angers, le résultat aurait pu être tout autre. "Contre Angers, on était menés 2-0, ça aurait pu être le pire match de l'OM à domicile mais on a finalement profité des mauvais moments de l'adversaire. Le positionnement des joueurs sur le terrain dépend d'une stratégie, parfois ça marche, parfois ça ne marche pas."

Félix Gabory