Jennifer Aniston, Eva Carneiro et le "gros" Rooney : les folles anecdotes de la biographie de Mourinho

José Mourinho - AFP
Chamboulé par Jennifer Aniston
José Mourinho n’est pas homme qui se laisse impressionner. Pourtant, le Portugais est resté bouche bée devant… Jennifer Aniston. Alors qu’il était dans un hall d’hôtel de Beverly Hills lors d’une tournée de pré-saison avec Chelsea, « The Special One » a vu entrer la star hollywoodienne. Fasciné par la beauté de celle qui joue le rôle de Rachel dans la série Friends, Mourinho n’a pas pipé mot, puis a lâché : « Put… Brad Pitt, quel bran… ! », en référence à la séparation entre l’acteur et Aniston. Avant de terminer en faisant rire l’assemblée par un « Jennifer Aniston un, Angelina Jolie zéro », assortie d’une imitation de la bouche pulpeuse de celle qui était devenue la nouvelle compagne de Brad Pitt.
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Secouru par Eva Carneiro
Avant de l’insulter et de la mettre à la porte, José Mourinho estimait plutôt Eva Carneiro. Il pouvait, puisque l’ancienne médecin de Chelsea l’a tiré d’un mauvais pas lors de l’été 2013. Dans l’un des hôtels où logeaient les Blues lors de leur tournée aux Etats-Unis, le Portugais a fait un malaise. Allongé sur le sol, il est alors pris en charge par Carneiro et un membre du staff. Encore un peu groggy, le « Mou » ira ensuite voir le journaliste Rob Beasley pour lui dire : « Je suis devenu tout étourdi et je suis tombé alors que je marchais jusque dans ma chambre, mais tout est ok. Je prends des pilules pour le mal de dos et j’ai commencé à perdre ma voix à force de crier. Le médecin m’a donné des médicaments pour soigner ma gorge, mais malheureusement les pilules pour mon dos et celles pour ma gorge ont réagi l’une entre l’autre et m’ont désorienté. Maintenant, je vais bien. »
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Complètement fan du « gros » Rooney
Depuis le début de saison, José Mourinho coache Wayne Rooney à Manchester United. Un vieux rêve pour celui qui avait déjà essayé de faire signer l’attaquant anglais en 2010 au Real Madrid, puis en 2013 à Chelsea, même s’il avait un surnom pas très glorieux pour le joueur. Lors d’un dîner, Mourinho s’était ainsi adressé à Joshua, le fils de l’auteur de cette biographie, en lui demandant : « Qu’est-ce que tu penses si nous essayons de faire signer le gros ? ». Face à l’incompréhension de son interlocuteur, le Portugais a précisé en riant : « Ça veut dire Rooney. Le gros, c'est Rooney ». Pas très sympa.
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