Jeux paralympiques de Pékin en direct: les Bleus 4e du classement des médailles
12 médailles dont 7 en or pour les Bleus
Avec les deux dernières médailles décrochées cette nuit par Arthur Bauchet et par le duo Daviet-Chalençon, l'équipe de France termine les Jeux paralympiques avec sept titres et douze breloques. Cela place les Bleus à la 4e place du classement des médailles, très loin de la Chine (61 médailles dont 18 en or), l'Ukraine (29 médailles dont 11 en or) et le Canada (25 médailles dont 8 en or). Il y a quatre ans en Corée du Sud, la France occupait déjà la 4e place du tableau.
3e médaille d'or pour Arthur Bauchet
Le skieur français Arthur Bauchet, 21 ans, a remporté dimanche sa troisième médaille d'or aux paralympiques de Pékin, sur le slalom (catégorie debout), après ses deux titres en descente et en super combiné. Arthur Bauchet avait également décroché le bronze lors du slalom géant. Il sera le porte drapeau de la délégation française lors de la cérémonie de clôture de ces Jeux paralympiques.
MM
Ski de fond: les Bleus décrochent l'argent en relais
Les fondeurs français Benjamin Daviet et Anthony Chalençon ont remporté dimanche l'argent dans le relais de ski de fond des Jeux paralympiques. Les deux hommes, titrés à Pyeonchang en 2018, ont été devancés par l'équipe ukrainienne. Il s'agit de la quatrième médaille à Pékin pour Benjamin Daviet. Le Haut-Savoyard de 32 ans avait déjà obtenu l'or en ski de fond (sprint) et biathlon (individuel), ainsi que l'argent en fond distance moyenne.
Pas de médaille pour Marie Bochet pour sa dernière course aux Jeux
Pour sa dernière course paralympique, Marie Bochet a chuté sur la deuxième manche du slalom. Pas de médaille pour la Française. Elle n'arrête pas sa carrière, mais a disputé ses derniers Jeux. Son palmarès reste immense : 9 médailles paralympiques (8 en or, 1 en argent cette année), 22 titres Mondiaux, 9 gros Globes du classement général de la Coupe du monde et plus de 100 victoires en Coupe du monde.
Anthony Chalençon, lui, termine 4e de l'épreuve de ski de fond distance moyenne 12,5 km catégorie déficient visuel.
VJ
Benjamin Daviet remporte la médaille d'argent !
Le Français Benjamin Daviet a remporté samedi l'argent en ski de fond distance moyenne (catégorie debout) aux Jeux paralympiques d'hiver de Pékin, décrochant une nouvelle médaille sur ces Jeux. Porte-drapeau lors de la cérémonie d'ouverture, il avait déjà décroché les titres paralympiques en ski de fond sprint et en individuel de biathlon. Il s'agit de la neuvième médaille paralympique de sa carrière, la dixième pour la France sur ces Jeux.
VJ
Deux nouvelles médailles d'or pour les Bleus!
Le porte drapeau Benjamin Daviet a été sacré champion paralympique sur l'individuel en biathlon catégorie debout, ce vendredi. C'est son second titre sur ces Jeux, le cinquième en carrière.
Quelques instants plus tard, Maxime Montaggioni a, lui, remporté l'or sur le banked slalom en snowboard! Son premier titre paralympique. Belle histoire pour lui qui, il y a quatre ans, quelques jours avant les Jeux de Pyeongchang, s'était blessé au genou et avait dû déclarer forfait. Il a aussi été éliminé pour deux centièmes sur l'épreuve précédente en quarts! La France compte maintenant neuf médailles dont six en or.
La souffrance d'Arthur Bauchet pour décrocher sa médaille de bronze
Il a passé la ligne, le visage déformé par la douleur, puis s’est écroulé. Les jambes ne tenaient plus et Arthur Bauchet a participé à la cérémonie des fleurs en fauteuil roulant. Avant de s’effondrer à nouveau, allongé au sol et entouré du clan français. Une souffrance pendant vingt minutes, perclus de crampes et tremblant des jambes, mais pas que. « Je suis vraiment allé dans mes derniers retranchements, disait-il face aux journalistes après s’être rassis dans son fauteuil. Je me suis dit ‘donne tout ce que t’as physiquement’, après la tête prendra le relais et en passant la ligne c’était vraiment dur. Elle a un goût d’or cette médaille, je suis remonté de tellement loin physiquement… »
En bas du géant, il avait poussé un cri comme il fait souvent, pour « passer outre la douleur ». Car la paraparésie spastique qui le touche l’affecte énormément au fil de courses. Cette maladie de la moëlle épinière affaiblit ses jambes, entraîne des tremblements et des crampes qui s’accentuent au fil des efforts. « Là c’était vraiment long et j’ai les abdos qui ont pris le relais, ça me coupait la respiration, c’était vraiment galère. J’ai fait la séance de sport la plus dure de ma vie. » Le jeune homme de 21 ans prend un lourd traitement, doit faire des injections de botox pour canaliser les effets de ce handicap « invisible ».
Le désormais septuple médaillé paralympique lutte mais sait que cette maladie va évoluer, et en mal. Alors ses performances et sa souffrance aussi touchent toute l’équipe. « Il veut toujours faire bien, se donner à 100%, mais sa maladie fait que c’est difficile pour lui. Et le voir aller chercher cette médaille de bronze quand on voit dans quel état il finit, c’est touchant, c’est beaucoup d’émotion, disait Benjamin Ruer, entraîneur en chef de l’équipe de France de para-ski alpin. C’est bête à dire mais ça me toucherait presque plus que les médailles d’or qu’il a eu avant. Je suis ému parce que c beaucoup de boulot qu’on fait avec lui, beaucoup de souffrance qu’il a et malgré tout ça, il reste Arthur. Malheureusement, on voit ça un peu plus régulièrement qu’avant. On voit qu’il a une fatigue assez marquée et plus rapide. Ca nous affecte, ça nous touche, on le voit, on l’observe mais on se sent un peu impuissant face à ça. »
Valentin Jamin en Chine
Des épreuves reprogrammées à cause... de la chaleur
Les premières manches du slalom en para-ski alpin ont notamment été avancées à cause des températures "élevées". Il fait trop chaud aux Jeux d'Hiver. Après avoir été critiquée pour ne pas être un pays de sport blanc et pour avoir inventé des sites de compétition avec 100% de neige artificielle, la Chine est rattrapée par Dame Nature. "A cause des températures élevées, du 10 au 13 mars, chaque première manche du slalom aura lieu à 8h30", au lieu de 9h30 initalement. L'épreuve de banked slalom en snowboard, initialement prévue samedi, a elle été avancée à vendredi pour les mêmes raisons. Il faut dire qu'en effet le mercure grimpe, même en altitude, dans les montagnes sèches de l'arrière pays pékinois. Ce jeudi, par exempe il devrait faire plus de 20° dans l'après-midi.
"Il faisait super chaud là haut", nous confiait lundi déjà Arthur Bauchet, double champion paralympique, après le slalom du Super combiné. C'est le grand-ecart avec ce qu'ont pu connaître les athlètes olympiques il y a quelques semaines : les temperatures ressenties sur les sites allaient régulièrement approcher les -20/-30°. La neige du site des épreuves de vitesse de para-ski alpin, elle, commençait à souffrir et même fondre (pas forcément sur la piste) a certains endroits. Heureusement, ces épreuves sont finies. Pour le reste il faut tenir encore un peu : les courses se terminent dimanche.
VJ
Le porte drapeau Benjamin Daviet en or !
Benjamin Daviet a été sacré champion paralympique en ski nordique, sur l'épreuve du KO sprint en catégorie debout, ce mercredi! Le triple champion paralympique et porte drapeau des Bleus était jusqu'ici déçu après ses résultats moyens en biathlon. Il offre la sixième médaille pour la France, la 4e en or.
ARTHUR BAUCHET EN OR !
Quelle performance d'Arthur Bauchet ! Le skieur de 21 ans a remporté ce lundi le super combiné en ski alpin. Vainqueur du Super G, il a confirmé sur le slalom pour s'offrir sa deuxième médaille d'or dans ces Jeux paralympiques, après la descente !
Encore une déception pour le clan Français
Grosse déception pour Hyacinthe Deleplace. Premier à l'issue du Super G, il a fait une grosse faute lors du slalom, guidé par Maxime Jourdan. Il finit 5e du Super combiné catégorie deficient visuel.
L'émotion de Cécile Hernandez après son titre
Grosse déception pour Marie Bochet !
3e après le Super G, Marie Bochet a commis une faute sur le slalom alors qu'elle arrivait vite. Pas de médaille pour la Française, qui termine 5e. Le titre est revenu à la Suédoise Ebba Aarsjoe.
La suite du programme des Français, en course pour des médailles
En para-ski alpin, dans le super combiné, plusieurs Français sont bien placés :
Marie Bochet est 3e après le Super G, catégorie debout
Arthur Bauchet est premier après le Super G catégorie debout
Hyacinthe Deleplace est premier après le Super G, catégorie déficient visuel
Le slalom, deuxième partie du super combiné, va débuter dans quelques instants.
Cécile Hernandez championne paralympique !
La snowboardeuse de 47 ans a décroché ce lundi sa première médaille d'or paralympique en snowboardcross. Une belle histoire pour celle qui a appris il y a sept jours qu'elle participait aux Jeux paralympiques. Favorite avant le départ, la Française a tenu son rang. Il s'agit de la deuxième médaille d'or pour le clan tricolore après celle d'Arthur Bauchet sur la descente.
Tony Estanguet a "bien accueilli" la décision de l'IPC d'exclure les athlètes russes
Présent à Pékin à l’occasion des Jeux Paralympiques d’Hiver, la président de Paris 2024, Tony Estanguet en profite pour discuter avec les membres de comités et délégations, notamment sur l’organisation des Jeux. L’ancien champion olympique de canoë a aussi assisté au Super-G ce dimanche et entre deux réunions, il a salué les décisions prises par le monde du sport face à la guerre en Ukraine. Dont celle d’exclure les Russes et Biélorusses des Jeux : "Je l’ai plutôt bien accueilli, j’étais plutôt fier de voir comment le monde du sport international réagit face à cette situation, avoue-t-il. On se sent un peu démunis et c’est vrai qu’on déteste le fait de voir des athlètes un peu « sacrifiés » dans une situation telle qu’elle est aujourd’hui. C’est compliqué car on est quand même dans une situation extrême et les décisions dans ce genre de situations sont forcément des décisions d’urgence. Mais on comprend qu’aujourd’hui tout le monde doit contribuer à mettre de la pression, contribuer à ce que les choses évoluent et avancent."
Le Français a surtout aimé l’unité du monde sportif: "Je trouve ça bien que les comités internationaux olympiques et paralympiques et des fédérations internationales il y ait quand même une volonté unanime de contribuer à ce que la guerre s’arrête. Nous on se bat au quotidien pour d’autres valeurs." Présent sur le site du para-biathlon la veille, il s’est dit "très ému de voir la présence de l’Ukraine et la réaction des athlètes ukrainiens", desquels il a salué "l’impressionnante force mentale."
Valentin Jamin en Chine
Bauchet: "Je vais rebondir"
Quatrième du Super-G, Arthur Bauchet était frustré par sa course: "J’adore le chocolat mais en médaille je ne suis pas fan. Je préférerais être sur la boîte avec du vrai métal. Je fais une erreur, ça arrive, je suis frustré. C’était un peu de la colère contre moi-même d’avoir fait ça mais je vais rebondir. Soit j’en ai trop mis, soit je n’ai pas assez réfléchi, ce qui est fort probable aussi ! Hier après mon titre les émotions étaient au max, c’était fou, aujourd’hui elles sont au max dans l’autre sens. Le titre d’hier, j’ai commencé à réaliser petit à petit, quand j’étais sur le podium, avec les drapeaux qui commencent à monter au milieu ça fait quelque chose de fou avec la Marseillaise en fond."
Valentin Jamin en Chine
Bochet: "Elle a un petit goût d’or celle-là !"
Médaillée d'argent en Super-G, Marie Bochet a savouré sa première breloque en Chine : "Elle a un petit goût d’or celle-là ! J’ai passé la troisième porte et je me suis dit ‘c’est bon, on peut jouer aujourd’hui’", sourit-elle en référence à la descente d’hier, où la française, qui a "laissé sortir tout ce qu’il fallait sortir", avait perdu un ski très tôt dans la course. "Je suis contente parce que j’ai skié cette piste que j’affectionne particulièrement…. Je me sentais bien au départ, peut-être une petite anxiété intérieure, mais j’avais tellement envie de m’amuser ! N’importe qu’elle médaille je la prends et je la savoure. Tout le monde me disait de rebondir, donc j’avais un peu la pression de rebondir, mais j’en avais envie aussi et aujourd’hui je n’ai aucun regret donc je suis contente."
Valentin Jamin en Chine
Le bilan de la nuit pour les Français
Marie Bochet (catégorie debout) a donc remporté la 9e médaille paralympique de sa carrière, la première en argent (8 en or jusqu'ici) et la première de ces Jeux lors du Super G. Grosse satisfaction car samedi elle était en larmes après avoir perdu un ski lors de la descente.
C'est l'inverse pour Arthur Bauchet (catégorie debout), 4e du Super G après son titre en descente. Hyacinthe Deleplace, guidé par Valentin Giraud-Moine, a lui aussi terminé 4e du Super G catégorie déficient visuel.
En snowboardcross, les 4 Français Maxime Montaggioni, Cécile Hernandez, Mathias Menendez et Laurent Vaglica sont qualifiés pour les finales la nuit prochaine.
VJ
Super-G: la star française Marie Bochet décroche l'argent
La skieuse Marie Bochet, principale star française des épreuves d'hiver, a remporté dimanche l'argent lors du Super-G (catégorie debout) des Jeux paralympiques de Pékin, débloquant ainsi son compteur dans cette compétition.
Âgée de 28 ans, la native de Chambéry, qui avait chuté la veille lors de la descente après avoir perdu un ski, a terminé derrière la surprenante Chinoise Zhang Mengqiu. "Elle a un petit goût d'or (cette médaille)!", a réagi Marie Bochet après la course car "la Chinoise était difficile à aller chercher".
"Il fallait que je rebondisse après hier, j'avais un peu de pression (...) Aujourd'hui, j'ai la médaille d'argent, je suis contente."
Surnommée "la Reine des neiges", Marie Bochet, multi-médaillée d'or en championnat du monde, Coupe du monde et aux Jeux Paralympiques, est née avec une malformation de l'avant-bras gauche.
La France compte désormais trois médailles lors de ces Jeux paralympiques (4-13 mars): une d'or, une d'argent et une de bronze.
(avec AFP)
La joie d'Arthur Bauchet après sa médaille d'or
Les larmes de Marie Bochet après son échec en descente
Sa course a duré à peine dix secondes. Pour sa première épreuve aux Jeux paralympiques de Pékin, Marie Bochet (catégorie debout), huit fois championne paralympique, a perdu son ski gauche après seulement deux portes. "Il n’y a pas vraiment d’explication… Il y avait un petit trou, j’ai mis le pied dedans. Le ski est fait pour déchausser s’il est "choqué", ça arrive. Sauf qu’on préfère quand ça arrive aux entraînement, par lors de la descente des Jeux", explique-t-elle les yeux embués. "Les techniciens ont fait leur job, on avait vérifié les serrages trois secondes avant dans la cabane de départ", ajoute la Tricolore.
Avant de laisser couler quelques larmes : "Certains diront que j’avais la pression… Mais en fait absolument pas. J’étais vraiment bien au départ, dans un état vraiment chouette, dit-elle la voix tremblante. J’avais l’impression que plus j’allais vers le départ plus j’étais sereine. J’avais fait de supers entraînements."
VJ
Incroyable triplé ukrainien en para biathlon, catégorie déficient visuel
Les Ukrainiens Vitali Lukianenko, Oleksandr Kazik et Dmytro Suiarko occupent les trois premières places du podium en para biathlon, catégorie déficient visuel.
La réaction de Hyacinthe Deleplace, en bronze sur la descente, pour RMC Sport
"On va la prendre (cette médaille), on ne va pas la laisser aux autres. On aurait voulu faire mieux, seulement j'y ai pas mis tous les ingrédients et ça se ressent. Les autres sont là et prennent ce qu'il y a à prendre. Il m'a manqué peut-être un peu de relachement. Il faut s'en servir pour aller chercher d'autres médailles sur les prochaines courses."
VJ
La réaction d'Arthur Bauchet, premier médaillé d'or français, pour RMC Sport
"Je savais mes derniers temps ici, il fallait que je sois sous mes temps d'hier. Quand j'ai levé la tête et que j'ai vu 1'14, j'ai dit ça c'est bon. Mais après, c'était horrible d'attendre le résultat et de vibrer à chaque personne qui coupe la ligne. C'est fou. Entendre la Marseillaise, tout le monde vient pour ça. C'est une grande fierté d'offrir cette première médaille d'or à la France. Quand on a fait ça, on sait que quoi qu'il arrive derrière, on a réussi nos Jeux. Ca va me libérer pour la suite, parce que je suis attendu sur les épreuves techniques."
VJ
Déjà des premières médailles pour la France, avec de l'or !
Compteur débloqué pour le clan tricolore ! Détenteur du gros globe en Coupe du monde en catégorie déficient visuel, triple de champion du monde, Hyacinthe Deleplace a apporté à la France sa première médaille lors de ces Jeux paralympiques 2022. Accompagné par son guide Valentin Giraud-Moine, le skieur de 32 ans a pris le bronze sur la descente (catégorie déficient visuel).
La première médaille d'or pour la France a ensuite été décrochée par Arthur Bauchet. Il s'était déjà fait un prénom il y a quatre ans à Sotchi en décrochant quatre médailles d’argent sur cinq courses. En Chine, celui qui a raflé quatre gros globes de cristal de Coupe du monde consécutifs s'est offert le graal. A 21 ans, le voilà en or sur la descente (catégorie debout).
Le patron de l'IPC appelle à la paix
Le président du comité international paralympique s'est exprimé à l'occasion de la cérémonie d'ouverture des Jeux Paralympiques.
Andrew Parsons, président du comité international paralympique: "Avant toute chose, je dois commencer par un message de paix. En tant que porte-parole d’une organisation qui a la l’inclusion dans son cœur, je suis horrifié par ce qui se passe dans le monde aujourd’hui. Le 21è siècle est une époque de dialogue, de diplomatie et paix, pas de haine et de guerre.
La trêve olympique doit être respectée et observée. En aucun cas violée. Le comité aspire à vivre dans un monde meilleur, plus inclusif, sans discrimination, sans haine, sans conflit. Ici, les athlètes vont concourir les uns avec les autres, pas contre les autres. A travers le sport, ils vont montrer le meilleur de l’humanité. Et montrer qu’en étant unis, on peut faire beaucoup plus. Ce soir le mouvement para appelle les autorités du monde, comme le font les athlètes, à s’unir pour promouvoir la paix et pas la guerre. Le monde doit être une place pour le partage, pas la division."
Valentin Jamin à Pékin
Les Jeux paralympiques sont ouverts
Les Jeux paralympiques de Pékin ont officiellement été ouverts vendredi au Stade olympique, sur fond de conflit entre la Russie et l'Ukraine.
Sous les yeux de la délégation ukrainienne, mais sans les Russes et Bélarusses bannis jeudi par le Comité international olympique alors qu'ils avaient été au départ acceptés sous bannière neutre, le président chinois Xi Jinping a déclaré ouverte la 13e édition des Jeux paralympiques, qui se dérouleront pendant neuf jours.
Les athlètes ukrainiens en résistance pendant la cérémonie d'ouverture
La délégation ukrainienne a défilé ce vendredi lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux paralympiques à Pékin. Pendant leur passage, certains sportifs ont levé le poing en signe de résistance face à l'invasion de leur pays par la Russie.
Avec Valentin Jamin à Pékin
Le porte-drapeau français impatient de lancer les Jeux
Benjamin Daviet est arrivé au stade où se déroulera la cérémonie d'ouverture des Jeux paralympiques de Pékin. Le skieur français est impatient de débuter ses troisième Jeux et de porter haut les couleurs de la France.
"C'est vraiment incroyable de voir le Nid d'oiseau en vrai, c'est merveilleux. Je n'ai pu le voir qu'à la télévision avant, s'est entousiasmé le porte-drapeau de la délégation tricolore ce vendredi à Pékin. C'est vrai qu'il est vraiment immense, il est magnifique. J'ai hâte de rentrer dedans. On voit qu'avec les autres nations cela commence à se chauffer et qu'il commence à y avoir de l'ambiance un peu partout à l'extérieur. On est tous très heureux et on a vraiment envie de faire le show et de rentrer dans le stade. Je suis très fier."
Valentin Jamin à Pékin
Les Français présents à la cérémonie d'ouverture des Jeux paralympiques
La France sera représentée par neuf athlètes (dont trois guides) lors de la cérémonie d'ouverture ce vendredi en Chine (dès 13h, heure de Paris):
Benjamin Daviet (para-biathlon et ski de fond, porte drapeau), Mathias Menendez (snowboard), Laurent Vaglica (snowboard), Brice Otonello et Alex Pouye (guides ski nordiques), Jules Segers (ski alpin), Lou Braz-Dagand (ski alpin), Manoel Bourdenx (ski alpin), Maxime Jourdan (guide ski alpin).
Avec Valentin Jamin en Chine
Daviet, un porte-drapeau très ambitieux
Engagé sur ses troisièmes Jeux paralympiques, le Français Benjamin Daviet a été choisi pour être le porte-drapeau de la délégation tricolore. RMC Sport vous présente ce skieur jamais rassasié et toujours ambitieux.
Les cinq Français à suivre à Pékin
Si vous n'êtes pas familiers avec les sport paralympiques et les stars tricolores, l'envoyé spécial de RMC Sport lors des Jeux de Pékin vous fait les présentations des cinq Français à suivre.
Russie et Biélorussie exclues de Jeux paralympiques
D'abord autorisés en Chine sous bannière neutre, les athlètes russes et biélorusses ont finalement été interdits de concourir lors des Jeux paralympiques 2022.
Une décision prise par le comité international paralympique (IPC) en raison de l'invasion de l'Ukraine par la Russie et son allié. Un choix acté à la veille de l'ouverture des JP 2022 de Pékin, en raison notamment d'une très vive mobilisation de nombreuses délégations internationales.
Bonjour à tous
Dès ce vendredi et pendant une semaine, suivez en direct commenté les dernières infos sur les Jeux paralympiques 2022 à Pékin en Chine.
Un rendez-vous planétaire auquel parcitiperont plusieurs athlètes français entre le 4 et le 13 mars. Et cela commence dès vendredi avec la cérémonie d'ouverture.
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