EN DIRECT - Coupe du monde de rugby: vers un XV français avec Moefana contre les All Blacks
La "fierté" de Falatea pour son neveu Moefana, probable titulaire vendredi
En conférence de presse avec le XV de France, Sipili Falatea s'est réjoui de la forte probabilité de voir son neveu Yoram Moefana être titulaire pour le match d'ouverture du Mondial de rugby contre la Nouvelle-Zélande.
>>> Son intervention à lire ici
Comment Toulon a accueilli les Springboks
Les joueurs sud-africains ont pris leurs marques dans le Var et au bord de la Méditerranée. Une cérémonie d’accueil à Toulon, quelques baignades à la Seyne-sur-Mer sur la plage des Sablettes, et ce mardi une séance studieuse sur le Campus du RCT. L’aventure est lancée pour les champions du monde. Et conserver ce titre sera un défi relevé. Duane Vermeulen, ancien troisième ligne du RCT, parle même de "la Coupe du monde la plus ouverte de l’histoire".
La compo probable des Bleus contre le XV de France
Voilà l'équipe qui devrait démarrer contre les All Blacks vendredi, selon les derniers éléments après l'entraînement du jour.
Jonathan Danty a commencé la séance en se faisant manipuler par un membre du staff médical. C'est donc Yoram Moefana qui se dirige vers une titularisation contre la Nouvelle-Zélande, au coté de Gaël Fickou.
Le XV de départ probable pour vendredi soir :
1. Wardi
2. Marchand
3. Atonio
4. Woki
5. Flament
6. Cros
7. Ollivon
8. Aldritt
9. Dupont
10. Jalibert
11. Villiere
12. Moefana
13. Fickou
14. Penaud
15. Ramos
JL
Quand trois joueurs des All Blacks font le bonheur d'un restaurateur à Lyon
À trois jours de leur entrée en lice face au XV de France lors de la Coupe du monde de rugby, les All Blacks sont à Lyon pour se préparer. Trois joueurs ont profité de l'occasion pour partager un repas gargantuesque, pour le plus grand bonheur des restaurateurs, à commencer par Hugo Boissin. Le patron du Piquin, un restaurant mexicain situé à la Part-Dieu, a reçu la visite de Dalton Papali'i, Luke Jacobson et Ethan de Groot vendredi soir. Les trois joueurs se sont d'ailleurs régalés.
"Ils ont mangé pour douze, ils se sont éclatés, explique Hugo Boissin auprès d'Actu Lyon. Ils ont pris des tacos et beaucoup de quesadillas, guacamole et nachos. Quand on fait plus de 100 kg de muscles, c’est logique. Je pense que c’était leur dernière sortie avant de se concentrer à fond. On a l’habitude d’avoir des rugbymen avec ceux du Lou qui sont souvent là, mais eux sont venus au débotté. C’est leur hôtel ou le service de sécurité qui leur a conseillé."
Les Bleus devraient toucher 200.000 euros de prime en cas de sacre
Florian Grill, président de la Fédération française de rugby (FFR), a expliqué avoir tardivement mené des discussions avec les joueurs de l’équipe de France autour des primes pour la Coupe du monde. Selon L’Equipe, chaque membre de l’équipe touchera 200.000 euros en cas de sacre. Un montant non confirmé par le dirigeant qui allume l’ancienne présidence de l’instance, dont Serge Simon, vice-président de la FFR.
"Elles (les primes) n'avaient pas été budgétées, assure-t-il dans L’Equipe. Serge Simon avait topé dans la main des joueurs, mais si les choses avaient perduré, on aurait explosé le budget de l'ordre de 3 millions d’euros. Quand je dîne avec Fabien Galthié (sélectionneur) la première fois, je lui demande s'il était invité dans ces réunions au sujet des primes. Réponse: non. Raphaël Ibañez (manager) non plus. Simon passait en direct avec les joueurs. Avec Jean-Marc Lhermet (vice-président en charge des équipes de France), on a demandé si Fabien souhaitait être impliqué. Il le souhaitait, donc on a fait une réunion avec Fabien, Raphaël, Mathieu Brauge (team manager) et les représentants des joueurs (Dupont, Fickou, Marchand, Ollivon, Alldritt).
On leur a dit qu'on était désolé de venir parler de ça à deux mois de la Coupe du monde, pendant le stage à Monaco. On leur a dit que les comptes de la Fédé étaient affreux. Que ce qu'on pouvait faire, c'est leur donner l'équivalent de cent pour cent des primes partenaires versées à la FFR si on est champion ou vice-champion. Si on donnait plus, on bouffait sur le rugby amateurs. Ils ont été nickel. Et Fabien a été aidant." Il explique avoir accordé une autre faveur aux Bleus: six invitations et dix places payantes par match.
Comment le peuple néo-zélandais appréhende-t-il le choc ?
Arrivé en France il y a quelques jours, Oliver Ritchie, journaliste néo-zélandais pour la chaîne de télévision Discovery, va suivre tout le long de la compétition son équipe nationale. Avant le match d'ouverture face à la France (vendredi, 21h15), il revient sur l'état de forme des All Blacks et surtout sur les chances des Bleus de s'imposer à la maison.
Les All Blacks mettent la pression sur les Bleus
Nouvelle journée à Lyon, ce lundi pour les All Blacks. Entraînement sous la chaleur lyonnaise et conférence de presse au programme. Scott McLeod, l'entraîneur de la défense néo-zélandaise, David Havili et Finlay Christie se sont exprimés à quelques jours de leur match face à l'équipe de France.
C'en est fini des questions autour de Chalureau, ému aux larmes au terme de sa prise de parole
Labit sur la difficulté de ne pas laisser la polémique envahir le groupe
"Prioriser la discussion? C'est le fonctionnement que l'on a depuis quatre ans et demi, depuis que Fabien (Galthié) a pris cette mission. Lors de tous les temps de travail que l'on a avant et après les compétitions, on envisage toutes les solutions, tout ce qu'il peut se passer et qui pourrait contrarier notre travail ou les joueurs. On en a eu des épisodes que l'on a traversés, et je crois plutôt bien gérés. Parce qu'on accompagne nos joueurs, on discute avec eux. C'est la grande force de notre méthode."
Laurent Labit parle de la polémique Chalureau
"Nous (le staff), on discute avec lui, on s'est entretenu avec lui. Il vous l'a dit: il réfute tous les propos (racistes). On connait les valeurs qu'on véhicule et qui sont importantes pour nous. Pour l'instant, ce qui nous intéresse c'est la prépa pour vendredi. On est concentrés, focus."
Revivez l'intervention de Chalureau face aux médias
Lucu sur l'impact sur le groupe France
"On est focalisés. Le match de vendredi, on l'attend depuis un moment. On ne parle pas de ce qui se passe hors rugby. Sportivement, on a déjà énormément à travailler et à donner pour l'équipe de France. On n'a pas du tout de problème avec ce qu'il se passe en dehors."
Lucu sur l'appropriation politique de l'affaire Chalureau
"Je n'ai pas trop de poids, mais à quatre jours du début de la Coupe du monde, on est focus sur le sportif et la Coupe du monde. On laisse faire les instances. On essaie de pas écouter ce qui se dit, concentrés sur vendredi."
Maxime Lucu prend sa suite, il parle de Chalureau
"Bastien, on connaissait l'histoire. Ca s'est passé il y a deux ans. Il a toujours été exemplaire avec nous et il n'y a jamais eu de problème avec ça. C'est ce qu'on lui a dit, de rester comme il est depuis un an avec nous. Pas de problème particulier."
Chalureau quitte la salle de presse
Le joueur du XV de France ne peut plus continuer et remercie l'audience avant de se lever et de quitter la salle.
Au bord des larmes, Chalureau assure être très touché par l'impact sur lui et sa famille
"On a discuté avec le staff des Bleus. Ils le savaient depuis le début. La procédure est ancienne et connue. J'ai voulu m'exprimer devant vous pour m'adresser à tous mes coéquipiers, ma famille... (pris par l'émotion, il s'interrompt) Ca ne touche pas que moi, ça touche aussi ma famille. C'est pour ça que j'ai voulu parler. Pour totalement clarifier la situation. Je ne suis pas un raciste, je suis un fédérateur, le rugby est un sport avec l'union de beaucoup de communautés. C'est ce qui fait la beauté de ce sport avec des caractères différents, des physiques différents... (il ne parvient plus à s'exprimer ensuite)"
Chalureau sur son évolution personnelle depuis les faits de 2020
"Il y a eu une remise en question, j'ai eu des erreurs de parcours. Après mon altercation sur Toulouse, je suis passé devant le juge, j'ai été condmané pour violences. J'ai payé, j'ai accepté ma sanction. Je l'ai avoué dès le premier jour et j'ai réfuté la partie sur le racisme. Après je me suis remis en question d'un point de vue rugby. J'ai changé de club, il fallait que je gagne ma place."
Chalureau le martèle, il n'est "pas raciste"
"Je ne suis pas raciste. Je le nie depuis le premier jour. J'ai réfuté ces accusations. Je ne suis pas raciste, c'est tout."
Chalureau sur un impact sur son perso
"Je suis joueur de rugby pro. La justice fait sa procédure. Je m'y réfère et je me concentre sur le terrain. Avec le match de vendredi, il y a que ça à faire."
Chalureau sur son état d'esprit et un éventuel impact sur le groupe France
"Je suis arrivé dans le groupe sur la blessure d'un coéquipier et ami (Paul Willemse). Je suis désolé pour lui. Dans ce groupe, je suis revenu avec une envie d'amener mon énergie et d'aller chercher le Graal tous ensemble. Il y a une polémique autour de mon nom mais dans le groupe, ça n'affecte personne. Le groupe a été créé il y a qautre ans. On se connaît tous depuis très longtemps. Ce n'est pas un feu de plus qui va nous séparer."
Chalureau nie tout propos raciste
"Ce que je peux vous dire, c'est que depuis le premier jour, j'ai avoué mes erreurs, j'ai payé mes dettes concernant la violence. J'ai nié tout propos raciste. Je ne fais pas partie de ces valeurs-là."
Chalureau sur un éventuel rôle de Macron dans sa prise de parole
"Pas du tout. Sur la polémique, ça fait plusieurs années, et je réfute totalement les accusations depuis le premier jour. C'est moi qui ai choisi de m'exprimer devant vous, pour clarifier la situation."
On patiente encore pour Chalureau
Les journalistes sont présents dans la salle mais le rugbyman se fait attendre. 20 minutes de retard sur le créneau initial.
Bastien Chalureau ne devrait plus tarder
Le deuxième ligne des Bleus est attendu face aux médias à partir de 18 heures.
Danty s’est entraîné avec le numéro 12 cet après-midi
Voici les joueurs qui portaient les chasubles blanches à l'entraînement des Bleus ce lundi après-midi. Incertain pour le match d'ouverture, Jonathan Danty en faisait bien partie.
1. Reda Wardi
2. Julien Marchand
3. Uini Atonio
4. Cameron Woki
5. Thibaud Flament
6. François Cros
7. Charles Ollivon
8. Grégory Alldritt
9. Antoine Dupont (c)
10. Matthieu Jalibert
11. Gabin Villière
12. Jonathan Danty
13. Gaël Fickou
14. Damian Penaud
15. Thomas Ramos
Winny Claret
Les Bleus joueront en blanc contre les All Blacks
Le Coq Sportif, équimentier du XV de France, a dévoilé la couleur du maillot que les Bleus vont arborer face à la Nouvelle-Zélande, en ouverture de la Coupe du monde de rugby (8 septembre-28 octobre), ce vendredi.
Nouvelle-Zélande : Lomax forfait, Jordie Barrett en soin
La France ne sera pas la seule équipe amoindrie par les blessures (Ntamack, Baille, Willemse) lors du match d’ouverture de la Coupe du monde 2023. La Nouvelle-Zélande ne présente pas également une infirmerie vide. Le pilier Tyler Lomax, qui avait dû recevoir 30 points de suture après une blessure à la jambe lors d’un match de préparation face à l’Afrique du Sud, est forfait. Le polyvalent arrière, Jordie Barrett, est lui touché au genou et suit des soins. Mais son état n’est pas inquiétant pour le moment, selon le staff des Blacks.
Avec Léna Marjak, à Lyon
Bastien Chalureau s'exprimera ce lundi à 18h en conférence de presse
Comme évoqué par Fabien Galthié lors d'un échange avec Emmanuel Macron en marge de la visite du président au XV de France, Bastien Chalureau s'exprimera bien ce lundi à 18h en conférence de presse, selon les informations recueillies par RMC Sport.
Le deuxième ligne des Bleus tentera de calmer la polémique lancée ce week-end par des députés LFI au sujet de sa sélection pour la Coupe du monde, alors qu'il a été condamné en première instance à six mois de prison avec sursis pour des faits de violence à caractère raciste en 2020. Contestant formellement l'aspect raciste de cette agression, le joueur a fait appel de cette condamnation et est en attente de son procès en appel.
EXCLU RMC SPORT - Macron : "Nous avons tous envie qu'à la maison ils gagnent"
Présent aux cotés du XV de France, à Reuil-Malmaison, ce lundi, Emmanuel Macron a confié, en exclusivité à RMC Sport, la seule Radio Officielle en France de la Coupe du monde de Rugby 2023, le discours qu’il a tenu aux Bleus : "Le message que je leur ai délivré, c'est d'abord un message de soutien de la nation tout entière. Ensuite, c'est de leur dire qu'à mes yeux, ils sont prêts. L'équipe, le staff technique se prépare depuis maintenant quatre ans à plein. C'est un vrai collectif. Et de rappeler qu'au-delà des talents individuels qu'on connaît, qui sont réels et qu'on admire, c'est un tout organique et une équipe qui va gagner à quinze et parce qu'elle sera un XV uni totalement, parce qu'on sait qu'on a aussi beaucoup de talents chez les autres. (…) Nous avons tous envie qu'à la maison ils gagnent, évidemment. J'ai eu la chance à Nouméa de pouvoir voir le trophée et on a tous envie de l'emporter. On est passé pas si loin à quelques reprises dans notre histoire, on s'en souvient. Après, ce n'est pas à moi de leur mettre la pression. Ils l'ont déjà parce que ce sont des des grands sportifs et ils savent où ils sont et ce pour quoi ils se sont préparés. Donc je suis là pour les soutenir et avoir ce message de collectif qui est d'ailleurs celui des valeurs du rugby."
Propos recueillis par Wilfried Templier, à Reuil-Malmaison
EXCLU RMC SPORT - Macron : "C’est important que Bastien (Chalureau) s’exprime, qu’il dise sa vérité"
En exclusivité au micro de RMC, la seule Radio Officielle en France de la Coupe du monde de Rugby 2023, Emmanuel Macron a commenté, en marge de sa rencontre avec le XV de France, la polémique Chalureau : "C’est le sélectionneur, le coach qui choisit ses joueurs et c’est d’ailleurs très bien comme ça donc je ne vais pas commenter ses choix. Il les fait en conscience, en responsabilité. Ce sont par définition les bons. La deuxième chose, ce n’est jamais bon, et moi le premier, de commenter une procédure judiciaire quand elle est en cours donc je ne ferai aucun commentaire. La troisième chose, je pense que c’est important, je sais que Bastien va le faire, qu’il s’exprime là aussi avec son cœur, qu’il dise sa vérité. En aucun cas, ça ne doit venir troubler la préparation et le déroulé. C’est une équipe, il faut lui laisser son unité. Je veux qu’ils ne pensent pas qu’à une chose : le rugby, le jeu et la gagne."
Propos recueillis par Wilfried Templier, à Reuil-Malmaison
Chalureau devrait parler ce lundi soir
Après son discours, au moment d'échanger avec Emmanuel Macron, Fabien Galthié a abordé brièvement le cas de Bastien Chalureau: "On est sorti hier, lui va sortir ce soir. Qu’il soit lui-même. S’il doit pleurer, il doit pleurer. Il doit dire les choses." Le deuxième ligne devrait donc prendre la parole, lui qui est sous le coup d'une polémique. Le manager du XV de France ignorait manifestement que les perches micros étaient encore présentes. Les deux hommes se sont ensuite isolés pour discuter.
Ce week-end, des élus de La France Insoumise ont dénoncé la présence du joueur, condamné en 2020 à six mois de prison avec sursis pour des "faits de violence avec la circonstance que ces derniers ont été commis en raison de la race ou de l’ethnie de la victime." L'intéressé a fait appel du caractère raciste et la justice ne s'est pas encore exprimée.
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Macron s'entretient avec Fabien Galthié
Après son discours, Emmanuel Macron prend un moment pour échanger avec Fabien Galthié. Les joueurs sont eux partis en direction du déjeuner, où ils mangeront en compagnie du Président de la République.
"Vous êtes la meilleure équipe du monde", le discours de Macron aux Bleus
Entouré des joueurs du XV de France, Emmanuel Macron prononce un discours: "Merci beaucoup de m'accueillir parmi vous, ça me touche et m'honore. Je n'oublie pas le moment qu'on a passé il y a quelques mois. Je voulais être avec vous, je ne suis pas là pour vous mettre la pression, vous n'avez besoin de personne pour ça. Vous avez tout le monde derrière vous ici à la maison. C'est une chance inouïe pour une génération de jouer un Mondial à domicile, un privilège mais aussi des devoirs. Il y a 67 millions de Français derrière vous. Vous êtes l'équipe la mieux préparée au monde. Il n'y a pas de doute à avoir. Rentrez dans cette Coupe du monde avec détermination. Quelque chose me dit que ça va commencer fort et continuer ainsi après vendredi, où ça sera de la première à la dernière minute, il faut tout donner. Vous êtes de grands champions, il y en a dans toutes les équipes en face de vous. Je suis sûr d'une chose: vous êtes la plus grande équipe. Ce sera très dur mais il va falloir vous aimer, être des frères d'armes qui vont se battre de la première à la dernière seconde, sous les conseils du coach, vous allez gagner ! On est passé quelque fois à deux doigts, n'oubliez pas, c'est l'équipe qui est plus grande que tout. Rendez-nous fiers et heureux, soyez vous."
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Emmanuel Macron est arrivé
Emmanuel Macron est arrivé au centre d'entraînement du XV de France. Le chef de l'Etat salue un par un les joueurs et les mebres du staff. L'échange est plus appuyé avec Antoine Dupont, où il prend des nouvelles.
World Rugby estime que "le racisme n'a pas sa place dans le rugby"
"Le racisme n'a pas sa place dans le rugby", a prévenu lundi le directeur général de World Rugby, Alan Gilpin, à propos de la polémique consécutive à la sélection de Bastien Chalureau en équipe de France pour la Coupe du monde.
"En France, il existe un principe judiciaire, qui est celui de la présomption d'innocence, que nous devons respecter", a ajouté le dirigeant, insistant sur les "valeurs d'inclusion" portées par le rugby à quatre jours de l'ouverture du Mondial.
Convoqué pour remplacer Paul Willemse, blessé, le deuxième ligne de Montpellier a été condamné en 2020 par le tribunal correctionnel de Toulouse à six mois de prison avec sursis pour des "faits de violence avec la circonstance que ces derniers ont été commis en raison de la race ou de l'ethnie de la victime". Bastien Chalureau, 31 ans, six sélections, conteste avoir proféré des insultes à caractère raciste.
Plus d'informations ici.
Comment les organisateurs veulent minimiser l'impact écologique de la compétition
A quatre jours du coup d’envoi de la Coupe du monde de rugby, la ministre des Sports, Amélie Oudéa-Castera, et Jacques Rivoal, patron du comité d’organisation, ont dévoilé leur plan pour réduire au maximum l’impact de la compétition sur l’environnement.
>> Le plan des organisateurs pour réduire l'impact écologique de la Coupe du monde
"Il faut laisser faire la justice", Grill et Oudéa-Castéra commentent à nouveau la polémique Chalureau
A quatre jours du début de la Coupe du monde de rugby, une conférence de presse de présentation a été organisée ce lundi pour lancer l'événement. Florian Grill (président de la FFR), Amélie Oudéa-Castéra (ministre des Sports) et Alan Gilpin (patron de World Rugby) sont revenus sur la polémique autour de Bastien Chalureau, qui a fait appel pour contester le caractère raciste de sa condamnation en 2020 pour des faits de violences.
Macron présent ce lundi avec le XV de France
Emmanuel Macron sera présent ce lundi au camp d'entraînement du XV de France, à Rueil-Malmaison, pour "apporter son soutien et celui de tout le pays aux joueurs et au staff de l’équipe de France". Pour rappel, le tournoi débutera ce vendredi au Stade de France par un choc entre la France et la Nouvelle-Zélande.
C'est fini pour ce point presse
Encore cinq jours à passer, et on retrouve donc les Bleus vendredi soir au Stade de France.
Ollivon sur les Blacks qui veulent se servir de la ferveur pro-française pour se motiver
"Je peux comprendre qu'ils aient envie de se nourrir de tout, ils sortent d'une grosse contre-performance... Peut-être qu'ils vont se servir de plein de leviers de motivation, du public, de la presse néo-zélandaise, mais je n'ai rien à leur répondre."
Alldritt ne veut pas s'appuyer sur la défaite des Blacks contre l'Afrique du Sud
"Ca ne dit pas grand chose, ça serait réducteur de résumer le paquet d'avants des Blacks à ce match-là. Ca arrive à tout le monde de passer au travers. J'ai un peu lu la presse néo-zélandaise, à leur place j'imagine le match qu'ils ont envie de faire face à nous vendredi soir..."
Alldritt sur la gestion de la pression pour le match d'ouverture
"On en parle, il ne faut pas se cacher ou se mentir à soi-même. Il nous faut de la pression aussi, mais il faut savoir la doser, savoir ce qu'il va se passer. On est mis au courant de beaucoup de choses, sur le show d'ouverture, sur le fait que notre échauffement va être raccourci... On évacue ces détails pour avoir la tête focalisée sur le rugby."
Est-ce vraiment possible de préparer ce match comme un match classique ?
"En fait il n'y a pas grand chose qui change dans notre quotidien, même si on est conscients qu'il se passe quelque chose autour de nous, et d'ailleurs on aime ça."
Ollivon sur l'état physique et mental des troupes
"On se sent très bien. Les matchs de prépa c'était justement fait pour reprendre du rythme. On a passé la prépa comme il fallait, tout a été calculé. On est sur notre route. Le petit retour à la maison a fait du bien aussi, on est frais mentalement. (...) Tout le monde est bien, tout le monde est frais et a envie d'y être."
Alldritt sur le fait d'être arrivé dans un hôtel à Rueil
"C'est la stratégie du staff, ils ne laissent rien au hasard. On a gagné le Grand Chelem dans cet hôtel, on y a de bons souvenirs, on a aussi la chance d'avoir des installations géniales à Rueil. On est chouchoutés là-bas, c'est génial."
Ollivon sur le calendrier chargé des joueurs français
"Les saisons sont longues pour nous, les joueurs français. Au coeur de la saison notre rythme est plus élevé que certaines autres nations, après quantifier les conséquences c'est difficile."
Ollivon sur sa présence après ses blessures des dernières années
"Chaque joueur de rugby, on passe par des blessures plus ou moins importantes, on revient... Ce n'est pas toujours facile. On a une grosse pensée pour ceux qui ne sont pas là. Le fait d'être là, en bonne santé, c'est beaucoup, il faut en profiter, prendre ce qu'il y a à prendre, et se jeter dedans avec la banane."
Ollivon sur le choc contre les Blacks
"Tout le monde y pense, on travaille pour depuis quatre ans ou plus. C'est la plus grosse compétition qu'on peut jouer, c'est le Graal. Ca dure deux mois mais ça va vite aussi. C'est la phase de poules et trois matchs derrière. Le quart sera plus déterminant que ce premier match, mais cette première rencontre sera dans l'Histoire. Ce sont de très bons moments, il faut en profiter et se rendre compte de notre chance d'être là."
Alldritt sur le match d'ouverture
"C'est surtout un match d'ouverture avec un stade qui s'annonce bouillant, une cérémonie d'avant-match avec la patrouille de France, ça sera un show exceptionnel. On a juste hâte d'y être. C'est le premier match d'une longue série j'espère. On veut jouer pour gagner, on fera le maximum pour s'imposer vendredi soir."
On passe à Charles Ollivon et Grégory Alldritt
Deux derniers joueurs dans cette conf.
Marchand sur sa joie d'être là après son absence en 2019
"Je suis très heureux de pouvoir participer à ça, maitnenant on va tout faire pour que cette Coupe du monde soit la plus belle possible. En 2019 j'étais déçu, mais les blessures ça arrive, on l'a encore vu là."
Fickou sur la possible absence de Danty
"On connait tous les qualités de Jo, c'est un gratteur hors-pair. Après il y a des joueurs qui peuvent aussi pallier son absence, avec des qualités différentes car Jo est assez unique dans son profil. Mais je suis persuadé que les remplaçants peuvent apporter autant que lui."
Fickou sur le match de novembre 2021
"On se sert de tout pour préparer le match. Surtout qu'en face ce sont les mêmes joueurs depuis des années. Après, bien sûr qu'ils peaufinent leur jeu. On a analysé tous leurs matchs des six derniers mois. Mais il y a toujours des nouveautés sur un match, on se prépare à ça."
Fickou sur sa troisième Coupe du monde et son ressenti
"Je l'aborde comme un jeune joueur qui va faire sa première Coupe du monde. Parce que c'est en France, et parce que c'est tellement rare dans une carrière... Ce n'est pas comme un VI Nations qui revient tous les ans. Ca a une saveur particulière. J'espère que la troisième sera la bonne (pour le titre)."
Fickou sur les difficultés défensives des Bleus en prépa
"Il y avait forcément des réglages à apporter, mais ça a été de mieux en mieux sur les derniers matchs. A nous de nous améliorer et de réduire au max le nombre d'essais encaissés, mais sur les deux derniers matchs c'était bien mieux. On est sur la bonne voie. Face à la NZ on va affronter ce qu'il se fait de mieux offensivement, ce sera un très gros défi."
Marchand sur le forfait de Baille pour le début du tournoi
"Ca fait un petit moment qu'on travaille avec tous les piliers à l'entraînement, on a une rotation, on tourne. Bien évidemment qu'on travaille dur et avec tout le monde. Ce sont des petits détails qu'on a déjà réglés."
Marchand sur les conseils des anciens
"Raphaël (Ibanez) nous a expliqué comment ça c'était passé pour lui, maintenant à nous de créer notre Coupe du monde à nous."
Quel favori pour le match d'ouverture ?
Fickou: "Je pense qu'il n'y a pas de favori, il a deux grandes équipes qui performent ces dernières années. Ca va être un très gros match, tout simplement."
Marchand sur l'engouement populaire
"Bien sûr qu'on a conscience de cet engouement, on le voit tous les jours depuis deux mois. On voit tous ces supporters derrière nous, en vrai ou sur les réseaux sociaux."
Fickou sur le match d'ouverture
"C'est un match qu'on prépare depuis un moment, on a hâte d'y être, ça monte crescendo. On est prêts, on sait que ça va être un très gros match."
On passe maintenant à Gaël Fickou et Julien Marchand
Deux nouveaux joueurs devant la presse.
Dupont sur ce qu'il faut attendre des All Blacks
"Les All Blacks ça reste la plus grande équipe du monde, surtout sur cette compétition. Ils connaissent ce genre de moments, ces grands matchs, ils seront prêts vendredi soir à jouer leur meilleur rugby."
Galthié sur d'éventuels regrets durant la préparation
"C'est une bonne question, mais ce n'est peut-être pas le moment de faire le bilan d'une préparation. (...) Nous avons essayé de tout quantifier, de tout mesurer, de ne rien laisser au hasard. C'est difficile aujourd'hui d'avancer des pistes d'amélioration. Certes on est tristes pour les joueurs qui se sont blessés, mais on s'était préparé à ça."
Galthié sur le programme à partir de lundi
"Depuis que le tirage au sort a été fait, il y a trois ans, on savait que cette semaine allait être merveilleuse pour nous. Nous les Français on adore les All Blacks, c'est une équipe qui inspire, c'est un mirador qui nous signale le début de la compétition. (...) On ne va pas changer pour autant les habitudes acquises depuis quatre ans. La semaine de préparation est donc classique. Lundi et mardi ce sont des entraînements rugby, mardi soir la composition sera annoncée au groupe, mercredi elle sera rendue publique, et puis ensuite on roulera vers le rendez-vous de manière classique, pour un match qui lui ne l'est pas."
Dupont sur le choc à venir contre les Blacks
"C'est dur de ne pas y penser, on se prépare pour ça depuis quatre ans, c'est le match d'ouverture de notre Coupe du monde, en France... On y pense beaucoup, malgré ça il faut arriver à avoir un peu de détachement, de recul, pour garder la fraicheur et le naturel qui nous caractérisent depuis plusieurs saisons maintenant."
Dupont sur les numéros 9 néo-zélandais
"Smith est un joueur très expérimenté, champion du monde, que je regardais à la télé plus jeune. C'était la référence mondiale à son poste. Malgré son âge il a toujours cette capacité à mettre de la vitesse au jeu, avec sa qualité de passe exceptionnelle."
Galthié sur Danty
"Ça va, il suit un protocole adapté à son alerte. Il a participé à tous les entraînements aujourd'hui, sachant que c'était des séances à allure modérée. On prendra une décision pour la composition d'équipe mardi, qu'on annoncera mercredi. (...) Pour l'heure il n'est pas annoncé forfait. Il a un problème musculaire identifié, il suit un protocole adapté."
Dupont sur les jours de "repos" en début de semaine
"L'idée c'était aussi de retrouver de la fraicheur mentale, de passer du temps avec nos proches. Passer quelques jours en coupant un peu psychologiquement, c'est important pour engranger un max de fraicheur avant le premier match."
Dupont sur les cadences pour les joueurs français, et le risque de blessure
"On sait que la cadence des joueurs français est un problème. Si on regarde le nombre de matchs, le nombre de minutes, on joue beaucoup plus que nos adversaires. Je ne pense pas que ce soit le sujet sur les blessures actuelles, mais oui c'est un problème, et le calendrier des joueurs français est trop chargé. Je ne sais pas comment ça pourra s'améliorer."
Dupont sur l'engouement médiatique et populaire autour des Bleus
"L'engouement médiatique on le sent monter depuis un bon mois, depuis le début de la préparation et des matchs. Et l'engouement des gens on y a été confronté lors d'entraînements ouverts au public à Capbreton. On essaye de prendre l'énergie positive, ce que ça peut nous apporter comme supplément d'âme. On sait qu'on en aura besoin."
Galthié sur la même question Chalureau que Dupont
"Je peux recommencer à dire la même chose si vous voulez... Vous savez, le moral des troupes... La Coupe du monde, ce n'est pas pour les mauviettes. Il faut être costaud."
Dupont sur les conséquences de la polémique Chalureau dans le groupe
"Nous on n'a pas été affectés par ça. Comme l'a dit Fabien on était déjà au courant de cette affaire qui est toujours, je crois, en instruction. Avec Bastien, ça se passe très bien. Depuis qu'il est arrivé avec nous il a toujours eu une attitude exemplaire. Que ce soit sur le terrain ou en dehors. Et pour nous c'est ça le principal aujourd'hui. Le plus important c'est le terrain, la performance, et Bastien remplit son rôle."
Galthié sur la blessure de Willemse
"On est très déçu pour Paul, qui a fait des efforts énormes pour se préparer. Depuis quatre ans il a été victime de plusieurs problèmes musculaires sur le plan moteur. On a tout fait pour l'accompagner, mais il s'est blessé alors qu'il suivait un programme individuel. On a préféré prendre une décision et de le mettre dans les joueurs en attente. (...) Chaque blessure, chaque forfait, c'est dur pour le joueur d'abord, mais aussi pour toute la délégation, le staff, les autres joueurs. Mais on s'est préparé à ça."
Galthié encore questionné sur Chalureau
"Ca fait maintenant un an qu'il vient régulièrement avec nous. Avant de sélectionner un joueur on essaye de mieux le connaitre, de le rencontrer, de partager avec lui notre façon de vivre et de jouer au rugby."
Galthié répond à la polémique Chalureau
Fabien Galthié sur le dossier Chalureau: "Ce que j'ai envie de dire aux politiques? Tout ce qu'on a dit depuis quatre ans qu'on porte cette mission avec coeur et engagement. On veut fédérer et partager avec tous les Français. Depuis quatre ans, le racisme n'a pas sa place dans notre équipe, il n'a pas sa place dans le rugby. L'intégrité est une valeur fondamentale de notre équipe et de notre sport. Bastien nous a informés de cette affaire, il nie fermement et formellement les faits. Une procédure est en cours."
Conférence de presse du XV de France à venir
En présence du sélectionneur Fabien Galthié et du capitaine Antoine Dupont.
La position du ministère des Sports sur l’affaire Chalureau
La ministre des Sports Amélie Oudéa-Castéra a pu s’entretenir avec Florian Grill, président de la fédération française de rugby, et avec Raphaël Ibanez, manager général des Bleus, qui lui a confirmé qu’un échange avait pu avoir lieu sur le sujet (de la condamnation pour violences à caractère raciste) entre Bastien Chalureau et le staff du XV de France.
La ministre a pu s’assurer à cette occasion que le joueur, qui a fait appel de sa condamnation en première instance, maintient sa version des faits et nie toujours formellement avoir tenu des propos racistes, raison pour laquelle il a procédé à cet appel.
Dans l’attente de la décision de justice définitive dans ce dossier, la ministre fait savoir que "chacun doit laisser la justice faire sereinement son travail, dans le respect de la présomption d’innocence".
Amélie Oudéa-Castéra "tient à réaffirmer qu’être sélectionné en équipe de France, c'est représenter les valeurs républicaines d'égalité et de fraternité, donc se comporter en conséquence et notamment combattre toutes les formes de violences et de discriminations". Et la ministre "sait l’attachement du sélectionneur, des joueurs et de la fédération à ces principes".
NP
Florian Grill, président de la FFR, réagit à la polémique Chalureau
La présence au sein du XV de France de Bastien Chalureau, appelé pour remplacer Paul Willemse au poste de 2eme ligne pour la Coupe du monde de rugby, suscite de vives réactions chez certains élus LFI, qui dénoncent des propos racistes présumés survenus lors d’une bagarre à Toulouse et réclament son expulsion du groupe de Fabien Galthié. "Bastien Chalureau reconnaît les faits (la bagarre) mais nie les propos racistes", a réagi Florian Grill, le président de la FFR, interrogé dimanche matin par RMC Sport.
Le patron du rugby français rappelle que le joueur de Montpellier (31 ans) a fait appel après avoir été condamné à six mois de prison avec sursis en novembre 2020 pour des "faits de violence avec la circonstance que ces derniers ont été commis en raison de la race ou de l’ethnie de la victime". Et de conclure : "Je pense que les propos racistes sont bien sûr inacceptables s’ils ont été tenus mais il convient de laisser faire la justice."
Avec WT
Plus d'informations ici.
XV de France: un député LFI réclame l'exclusion de Chalureau et interpelle la ministre des Sports
Dans La Matinale Week-End sur RMC ce dimanche, le député LFI, Thomas Portes, annonce qu'il compte interpeller la ministre des Sports dès lundi "pour qu'elle demande à l'équipe de France de ne pas sélectionner" Bastien Chalureau, récemment appelé pour disputer le Mondial, et condamné en 2020 pour des "faits de violence avec la circonstance que ces derniers ont été commis en raison de la race ou de l’ethnie de la victime".
>> Thomas Portes demande l'exclusion de Bastien Chalureau du XV de France
"Il n’y a pas que LFI, il y a un certain nombre de supporters qui se sont émus de la convocation de Bastien Chalureau en équipe de France, a-t-il déclaré. Il y a eu une condamnation pour une bagarre à la sortie d’une soirée, et ce n’est pas une bagarre anodine. Il a dit des mots racistes, deux témoignages ont confirmé ses propos. Il a été condamné à de la prison avec sursis. Dans les motifs de la condamnation, il est dit que ces violences ont été commises en raison de l’ethnie ou de la race. On ne peut pas accepter aujourd’hui d’avoir un joueur de rugby en équipe de France qui a été condamné pour des faits racistes."
"La première des choses, c’est qu’il aurait fallu que Fabien Galthié ne l’appelle pas, a poursuivi Thomas Portes. Avec mon collègue député François Piquemal, nous allons saisir dès lundi la ministre des Sports (Amélie Oudéa-Castera) pour qu’elle intervienne et qu’elle demande à l’équipe de France de ne pas le sélectionner. Cette violence raciste n’est pas anodine. On est un an et demi après l’assassinat d’un autre rugbyman, Federico Martín Aramburú, en plein Paris, par des militants d’extrême-droite parce qu’il s’était opposé à une agression raciste. Il y a un phénomène qui est en train de grandir dans le rugby, il y a de plus en plus d’événements racistes. Regardez ce qui se passe dans les divisions inférieures... Envoyer un signal en disant qu’on peut représenter l’équipe de France, alors qu’on a été condamné pour des propos racistes, c’est absolument inacceptable."
"On est en mission": les Blacks montrent les muscles avant de défier les Bleus
A moins d’une semaine du match d’ouverture de la Coupe du monde de rugby France-Nouvelle-Zélande, vendredi 8 septembre au Stade de France, le capitaine des All Blacks Sam Cane a affiché de très hautes ambitions pour les triples champions du monde.
Les Bleus au complet à leur camp de base
Ça y est l’équipe de France est au complet à l’hôtel de Rueil-Malmaison. Gael Fickou est arrivé en voiture suivi de quelques minutes par un grand bus en provenance de l’aéroport d’Orly avec notamment les Toulousains, Montpelliérains et Toulonnais à son bord. Cameron Woki, joueur du Racing, et Sekou Macaclou, joueur du Stade français, ont été les derniers sélectionnés à rejoindre la résidence du XV de France.
JL
Les Bleus commencent à arriver à leur hôtel de Rueil-Malmaison
A six jours du match d’ouverture contre la Nouvelle-Zelande, l’équipe de France prend ses quartiers aujourd’hui dans son hôtel 4 étoiles de l’ouest parisien à Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine).
Fabien Galthié, le sélectionneur, est le premier à être arrivé sur place vers 9h30, suivi de Karim Ghezzal, co-entraîneur en charge de la conquête. A 10h15, le premier joueur Maxime Lucu est arrivé, accompagné du manager Raphaël Ibanez et du directeur de la performance Thibault Giroud.
Les Bleus ont rendez-vous cet après midi au parc de Bois-Préau pour la cérémonie d’accueil commune à toutes les équipes du Mondial, où de nombreux spectateurs sont attendus.
JL
Les All Blacks accueillis en grande pompe à Lyon
L'équipe et le staff néo-zélandais ont pris leur quartier dans un hôtel de Gerland ce vendredi. Ils ont ensuite participé à une cérémonie protocolaire à l'hôtel de ville.
Une nouvelle tuile pour les Bleus
Le deuxième ligne du MHR, Paul Willemse, souffre d’une nouvelle blessure musculaire à la cuisse. Un énième coup dur pour le numéro 5 des Bleus, remplacé dans le groupe des 33 par Bastien Chalureau.
J-6 avant le début des hostilités
Bonjour à tous ! La Coupe du monde de rugby 2023 débute dans quelques jours avec le choc inaugural entre les Bleus et les All Blacks au Stade de France (8 septembre). Suivez d'ici là les dernières informations sur le Mondial dans le direct commenté de RMC Sport.
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