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UFC: Tom Aspinall claque un KO en 70 secondes, le Français Ziam enchaine

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Pour son grand retour dans l’octogone, le Britannique Tom Aspinall s’est offert une victoire express face au Polonais Marcin Tybura, battu par TKO après à peine un peu plus d’une minute de combat au 1er round, samedi lors de l’UFC Londres. Le combattant français Farès Ziam a signé un nouveau succès dans la prestigieuse ligue de MMA en battant Jai Herbert sur décision unanime.

Tom Aspinall n’a pas trainé. Après un an loin de la cage en raison d’une grave blessure au genou survenue après 15’’ lors de son combat contre Curtis Blaydes, Tom Aspinall avait faim. Très faim. Un appétit qui a coûté cher à Marcin Tybura. A l’occasion du main event de l’UFC Londres samedi dans la capitale anglaise, le Britannique, poussé par ses fans, n’a mis que 70 secondes pour éteindre son adversaire.

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"Je serai le 2 septembre au premier rang pour prendre le vainqueur du combat Gane-Spivac"

Agressif d’entrée, il l’a mis TKO alors qu’on venait à peine d'entamer le paquet de pop corn. "Je suis revenu à 100%, a commenté à chaud Tom Spinall. Marcin est dans le top 10 (il est 10e), ce n'est pas rien. J'ai beaucoup de respect pour lui." La suite, l’ambitieux Britannique ne s’en cache pas : il rêve de la ceinture des poids lourds, propriété de Jon Jones. "Je serai le 2 septembre au premier rang (à l'UFC Paris) pour prendre le vainqueur du combat Gane-Spivac, prévient-il. Et ensuite pour battre Jon Jones."

Ziam vainqueur mais pas satisfait

Avant son triomphe express, un combattant français a brillé à l’O2 Arena de Londres. Après sa victoire à Paris, Farès Ziam (26 ans) a signé un nouveau succès en battant un autre Britannique, Jai Herbert sur décision unanime. Une victoire qui entretient l’espoir d’un nouveau combat à l’UFC Paris à la rentrée même si l’intéressé n’était pas du tout satisfait de sa sortie dans la cage.

"Je n'étais pas trop fier de ma performance, je l'ai trop respecté. J'aimerais bien finir mes combats, j'étais hésitant. Le fait de vouloir jouer à Paris a peut-être joué dans mon esprit. Je gagne contre Herbert chez lui, mais j'aurais pu mieux faire. Je l'ai trop respecté. À Paris ce sera différent, le public sera avec moi, même si je n'ai pas eu l'impression que le public ici était contre moi", conclut Farès Ziam.

ABr