Paris-Roubaix en direct: la victoire pour le Néerlandais Van Baarle, Van Aert et Kung sur le podium

Dylan van Baarle - @AFP
La première réaction de Van Baarle, le vainqueur
"C'est incroyable. Je n'y croyais pas quand je suis entré dans le Vélodrome. J'ai regardé de l'autre côté pour voir s'il y avait d'autres gars, mais il n'y avait que moi, c'est là que j'ai commencé à y croire. C'est un Monument. Terminer deuxième des Flandres, gagner Roubaix... C'était une journée incroyable. C'était pas prévu d'avoir l'équipe à l'avant mais a s'est passé comme ça. On a couru juste, c'est ce que nous voulions. A partir de là, j'ai senti qu'on avait de bonnes chances. On n'a pas toujours été chanceux mais le résultat est incroyable. On voulait rendre la course très difficile après le deuxième ravitaillement. Je me sentais très bien. Je ne peux pas remercier assez l'équipe pour ce qu'elle a fait aujourd'hui."
Adrien Petit, 6e et premier Français de Paris-Roubaix, sur France 3
"Je suis vraiment content de ma course. Je suis arrivé ici sans savoir où je me situais. Je n'étais pas dans une bonne spirale après avoir eu la grippe. J'ai fait l'impasse sur l'Amstel et aujourd'hui j'ai donné le meilleur. On a vraiment fait une grosse course. On s'est dit qu'il fallait qu'on s'entende pour ne pas se faire reprendre (avec Laurnt Pichon, 8e). J'ai fait le max sur les pavés, il m'a relayé sur la route. Sur le vélodrome j'ai rarement été battu sur le sprint. J'étais assez confiant. Une belle sixième place, je suis content. Tous les ans je ne suis pas très loin, c'st cool de pouvoir se rapprocher encore un peu plus du podium."
Le top 5 de la course
1. Dylan van Baarle
2. Wout van Aert
3. Stefan Küng
4. Tom Devriendt
5. Matej Mohoric
Van Aert et Kung complètent le podium
Sprint particulier sur une piste entre les quatre poursuivants. Stefan Kung tente de surprendre tout le monde mais Van Aert le devance sur le fil. Adrien Petit termine sixième, et Laurent Pichon huitième.
La victoire pour Van Baarle !!
L'équipe Ineos s'impose pour la première fois dans Paris-Roubaix. Deuxième du Tour des Flandres cette année, le Néerlandais reçoit l'ovation du Vélodrome de Roubaix et peut lever les bras après un dernier tour de piste. Il n'en croit pas ses yeux, mais c'est pourtant bien réel, Dylan Van Baarle s'impose !
1'20 d'avance pour Van Baarle
Le Néerlandais a fait le ménage dans le final et va s'imposer dans la reine des Classiques. Kung, Van Aert Mohoric et Devriendt se partageront les places d'honneur.
Lampaert s'est fait peur
Très grosse chute de Lampaert qui accroche un spectateur et perd le contrôle de son vélo
Van Baarle va remporter ce Paris-Roubaix
Dylan Van Baarle possède désormais près d'une minute d'avance, il creuse un énorme écart dans le final. Ce sera son premier Monument. Il n'avait jamais fait mieux que 16e en huit participations à l'"Enfer du Nord".
Van der Poel est sorti de sa réserve un peu tard
Le coureur d'Alpecin a réagi a retardement, il a repris Stuyven et tente d'aller chercher Van Aert et Küng...
Van Baarle prend tous les risques en tête
Le leader de la formation Ineos, grand favori de la course, està à bloc à l'entame des 15 derniers kilomètres. Matej Mohoric n'est pas si loin mais aura-t-il les ressources pour revenir dans un premiers temps puis prendre le meilleur par la suite, sachant qu'il a déjà beaucoup donné à l'avant aujourd'hui ? Le suspense reste entier. Van Aert et Kung sont pointés à 45 secondes désormais.
Van Baarle le mieux armé pour la victoire finale
Van Aert accompagné de Stefan Kung fait le forcing et donne tout pour revenir sur la tête de course, ils ont 29 secondes à boucher. C'est beaucoup. Surtout que Van Baarle s'est échappé devant.
C'est parti pour la grande explication !
Stefan Kung dans la roue de Wout Van Aert a faussé compagnie à Van der Poel, qui ne parait pas en mesure de rivaliser. Les deux ont rejoint Stuyven. 30 secondes séparent ce trio du quatuor de tête.
Quatre hommes en tête
Encore huit kilomètres de pavés à avaler, et quelques gros morceaux restants, sur les 54 bornes consacrés à cet exercice. Dylan van Baarle a opéré la jonction avec le groupe de tête. Van Aert assume la poursuite.
Trois hommes à l'avant
Sacré numéro de Matej Mohoric, qui reprend Devriendt avec Lampaert, alors Van Baarle apparait dans les rétroviseurs de tout le monde.
Van Aert actif à l'avant
Van Aert mène le groupe de poursuite alors que les coureurs à l'avant abordent les 30 derniers kilomètres de ce Paris Roubaix. Devriendt ouvre toujours la route.
Van Aert voltige
Le leader des Jumbo-Visma n'a pas mis longtemps à combler l'écart qui le séparait des poursuivants. A peine revenu au contact, le champion de Belgique a placé une accélération dans le sillage de Stefan Kung, histoire de montrer qui est le patron. Mais Van der Poel semble cacher une partie de son jeu.
Mohoric repris par le groupe des favoris
Contraint à un changement de vélo, il reprend sa route dans le groupe Van der Poel, avec Mathieu van der Poel (Alpecin-Fenix), Stefan Küng (Groupama-FDJ), Dylan van Baarle, Ben Turner (Ineos Grenadiers), Laurent Pichon (Arkéa-Samsic), Yves Lampaert (Quick-Step Alpha Vinyl), Jasper Stuyven (Trek-Segafredo) et Adrien Petit (Intermarché-Wanty Gobert) et Wout Van Aert (Jumbo-Visma).
Devriendt se retrouve seul à l'avant
Mohoric, obligé de changer de vélo, abandonne le jeune coureur qui l'accompagnait. Le Belge semble désemparé, il ne sait plus quoi faire, alors que le groupe Van der Poel fond sur eux.
Crevaison pour Van Aert
Crevaison pour Wout Van Aert, heureusement pour lui la voiture d'équipe roulait juste derrière lui. Est-ce un nouveau tournant dans ce Paris Roubaix ? Cet incident intervient en tout cas juste avant l'apparition d'un nouveau secteur pavé. Le Belge devrait néanmoins revenir sur ses compagnons d'échappée, mais non sans devoir consentir un gros effort.
L'offensive de Van Aert couronnée de succès
L'accélération de Van Aert a permis de clarifier les choses concernant les favoris, seul Van der Poel a été capable de le suivre, suivi de près par Stefan Kung, très fort lui aussi. Van Baarle n'est pas loin. Mohoric et Devriendt ont maintenant 30'' d'avance sur Van Baarle, 35'' sur Van Aert, Van der Poel et Küng.
Van Aert est le premier à se mettre en action
Wout Van Aert piège tout le monde et creuse, énorme accélération du champion de Belgique.
Laurent Pichon est en train de céder à l'avant
Le secteur de Mons-en-Pévèle sonne le glas des ambitions du Français, admirable aujourd'hui. Laurent Pichon ne peut plus lutter avec Mohoric et Devriendt.
Van der Poel se montre enfin
Accélération de Matthieu van der Poel dans le secteur de Mons-en-Pévèle. Plus que 35 secondes de retard pour Van Baarle sur le trio de tête.
Le trio de tête dans le dur
Les trois hommes de tête ont entamé le secteur mythique de Mons-en-Pévèle, l'un des plus durs.
Van Baarle fausse compagnie aux favoris
Une chute vient de se produire au sein du peloton.
2e du Tour des Flandres, Dylan Van Baarle est parti seul à la poursuite du trio à 50 kilomètres de l'arrivée, il commence à temporiser. 45 secondes d'avance seulement pour les hommes de tête.
Un joli petit groupe s'est formé
L'accélération subite des Jumbo a fait des dégâts.
Il n'y a plus qu'une douzaine de coureurs avec Van Der Poel, Van Keirlsbulck, Van Aert, Küng, Van Baarle, Turner, Lampaert, Sénéchal, Stuyven, Petit, Ven der Hoorn et Trentin.
Ce groupe est pointé à 1'09 du trio de tête à 53 kilomètres de l'arrivée.
Un petit groupe de favoris se détache à l'avant du peloton
Wout Van Aert et Dylan Van Baarle à l'avant d'un petit groupe qui s'est détaché. Stefan Kung se distingue aux avants postes. Van der Poel reste bien au chaud et bouche le trou quand c'est nécessaire. On sent que ça commence à bouger, un gros coup se prépare.
Plus de poursuivants
Plus personne ne fait obstacle à la progression du peloton sur les kilomètres qui séparent le groupe des favoris de la tête de course. Ballerini, Swift, Pedersen et Bisseger ont été repris par le peloton, qui compte désormais 1'30 de retard sur l'avant de la course. Le réveil des Jumbo-Visma sonne-t-elle la fin de la récréation ?
Accélération à l'avant du peloton
Le peloton s'est scindé en deux, le premier groupe étant emmené par la formation Ineos, de retour à l'avant. L'équipe de Kwiatkowski ne reprend presque rien au trio de tête. Tout ce petit monde est engagé dans le secteur 14 de Beury-la-Forêt.
Un groupe de contre se forme
Plusieurs coureurs sont sortis et chassent les hommes de tête. Matteo Trentin accélère à son tour, son attaque étire encore un peu plus ce peloton éclaté en mille morceaux à 65 kilomètres de l'arrivée.
Laurent Pichon s'accroche face au matraquage de Mohoric
Le trio de tête s'est engouffré dans le secteur 15 de Tilloy-Sars-et-Rosières, Matej Mohoric fait toujours le plus gros du boulot et assume les plus gros relais pour préserver l'avance de son groupe. C'est dur pour le Français Laurent Pichon, qui pioche un peu.
2'25 à boucher pour revenir sur le trio de tête
Laurent Pichon s'accroche aux côtés de Matej Mohoric dans le groupe de tête. Intercalé depuis plusieurs kilomètres, Casper Pedersen a été repris par les poursuivants. Laporte avec son dossard n°23 est encore revenu dans le peloton, emmené par Dylan van Baarle.
Petits soucis mécaniques pour Stefan Kung
Stefan Kung victime lui aussi d'un incident mécanique, le coureur de la formation Groupama-FDJ prévoit un changement de vélo, il va se faire dépanner. Florian Sénéchal a rencontré le même problème à l'instant.
Van Aert de retour aux avants postes
Wout Van Aert s'est replacé en 9e position du peloton, juste derrière Matthieu van der Poel. Les coureurs ont encore 77km à parcourir. Les trois hommes de tête ne cèdent rien au peloton et possèdent toujours deux minutes d'avance.
Laporte se joue des coups du sort
Christophe Laporte fait son retour dans le groupe principal au prix d'un gros effort. La jonction s'est opérée à quelques hectomètres des premiers pavés du secteur emprunté par les coureurs. Vaillant le Français !
Van Aert recolle au groupe Van der Poel
Ça se reforme derrière. Van Aert a réglé son problème mécanique et figure désormais dans le groupe Van der Poel-Asgreen.
Devant, il reste un trio de tête, Casper Pedersen ayant été détaché.
Van der Poel s'active
Le Néerlandais a recollé au groupe Ganna, où figure aussi Jasper Stuyven. Van Aert est piégé, tout comme Christophe Laporte. Toujours deux minutes de retard sur le groupe de tête.
Le point à la sortie de la Trouée
Toujours un quatuor en tête: Mohoric, Casper Pedersen, Tom Devriendt et le Français Laurent Pichon.
Deux poursuivants sont en chasse: l'ancien échappé Ballerini, qui a crevé, et Connor Swift.
Derrière, le peloton a explosé: Kwiatkowski et Ganna ont attaqué avec Stefan Küng, mettant le feu aux poudres.
Le quatuor a tenu bon, Van Aert dans le dur
Les quatre coureurs de tête ressortent de la Trouée et n'ont rien concédé aux favoris.
Derrière, Van Aert dans les dernières positions du peloton et semble souffrir.
Ballerini a crevé
Ballerini crève dès l'entrée d'Arenberg et doit laisser filer ses compagnons d'échappée.
On rentre dans Arenberg
La Trouée devrait permettre d'y voir plus clair sur les dynamiques et forcément provoquer son lot d'incidents. Le groupe de cinq va y rentrer en tête, avec plus d'1'30'' sur le peloton.
La situation, en rentrant dans Haveluy
Cinq hommes sont en tête: Ballerini, Mohoric, Casper Pedersen, Tom Devriendt et Laurent Pichon.
Ils sont poursuivis par deux hommes partis en contre, Nils Politt et Connor Swift.
Le peloton derrière est à nouveau regroupé, avec près de cent coureurs.
Les favoris ont recollé !
Après 150 kilomètres à chasser le peloton, le groupe des favoris a recollé ! Van Aert et Van der Poel sont avec les meilleurs, à la poursuitte des cinq hommes de tête.
Ca se rapproche entre les deux pelotons
Plus que 30 secondes d'écart entre les deux groupes, grâce notamment à un énorme effort des Groupama-FDJ en tête des poursuivants. Le quintet de tête possède lui 30 secondes d'avance.
Un groupe de cinq en tête
Cinq coureurs ont anticipé les secteurs pavés et se sont portés seuls en tête. Parmi eux, Davide Ballerini et Matej Mohoric sont les plus gros poissons.
On approche de la Trouée d'Arenberg
Le mythique secteur pavé, qui lance d'ordinaire les hostilités pour la fin de course, sera emprunté d'ici moins de 20kilomètres. Avant cela, le secteur d'Haveluy devrait faire de dégâts.
Dans le groupe de tête, qui possède une minute d'avance, ça attaque.
Turgis a abandonné
Journée à oublier pour Anthony Turgis, qui a abandonné après sa grosse chute en début de course.
Les Quick Step emmènent fort
L'équipe belge, en surnombre en tête, veille à maintenir l'écart et sait qu'elle peut jouer sur plusieurs tableaux, avec Sénéchal et Lampaert. Ganna a lui recollé. 1' d'avance.
Crevaison pour Reynders
Le Belge, qui possédait 40 secondes d'avance en tête, vient de crever. Il va être rattrapé par le groupe de leaders.
Encore un souci mécanique pour Ganna
L'Italien a déraillé sur un secteur pavé. Il avait déjà eu à faire un gros effort pour recoller au groupe de tête tout à l'heure. Personne ne l'attend, il navigue désormais tout seul.
Reynders se fait la malle
Alors qu'on va aborder quelques uns des secteurs les plus compliqués, Jens Reyndes a pris quelques encablures d'avance sur le groupe de tête. Le coureur de la Sport Vlaanderen - Baloise navigue 15 secondes devant ses poursuivants.
Quasi deux minutes pour le groupe de tête
L'écart se creuse en tête, les 17 coureurs collaborent bien. Le premier groupe possède désormais 1'50'' d'avance, il va falloir s'activer derrière pour remonter.
Laporte est très loin
Le Français de la Jumbo-Visma nourrissait de grosses ambitions sur ce Paris-Roubaix, mais une crevaison a quasi condamné ses chances de victoire. Il point désormais à 2'30''.
Terpstra s'est relevé
La jonction va se faire avec le premier groupe, composé très exactement désormais de 17 coureurs. Les Quick-Step de Sénéchal sont en nombre, avec 4 représentants, tout comme les Ineos, 3 représentants.
Van Aert et Van der Poel toujours distancés
Les favoris figurent toujours dans un troisième groupe à 1'30'', loin de l'homme de tête. Dans le deuxième groupe, Mohoric, Ganna, Van Baarle ou Teunissen sont encore là, tout comme Sénéchal.
Le peloton ne s'est pas complètement reformé
La situation est désormais la suivante : un homme seul en tête, Niki Terpstra, poursuivi à une trentaine de seconde par le premier groupe, composé d'une vingtaine de personnes, auquel tous les favoris n'ont pas réussi à recoller. Un troisième groupe navigue à 1'20''.
Terpstra la joue solo
Niki Terpstra a attaqué au moment de la chute et s'esseule en tête. Ce secteur pavé a permis à tout lde monde de recoller.
Anthony Turgis, son céoquipier, a réussi à repartir. De son côté, Christophe Laporte est victime d'un premier souci mécanique.
Grosse chute à l'arrière, Turgis reste au sol
Enorme chute à l'arrière du premier groupe, qui a fait beaucoup de dégâts. Maillot déchiré au niveau de l'épaule, Anthony Turgis fait partie des piégés. Ca devrait permettre au deuxième groupe de recoller.
Le premier groupe temporise
Ganna a réussi à lui tout seul, au prix d'un énorme effort, à réintégrer le premier groupe. L'écart retrécit à vue d'oeil avec le deuxième groupe, qui est revenu à 45''.
Crevaison pour Ganna
Les chutes et les incidents mécaniques font un premier tri dans le premier groupe. Filippo Ganna, parmi les gros noms de ce premier échelon, a crevé et repart distancé.
Les chutes se multiplient
Les Trek-Segafredo sont malheureux sur ce début de course. Après Pedersen dans le second groupe, les deux coureurs qui leur restaient dans le premier groupe, Theuns et Kirsch, vont au sol à leur tour.
L'écart ne bouge pas
Encore 150kms à parcourir, mais pour l'instant l'écart se maintient à 1'15'', alors que l'on entame le deuxième secteur pavé.
Premier secteur pavé entamé
Les coureurs rentrent sur le secteur 30, le premier secteur pavé de la journée, Troivilles à Inchy.
Grosse chute dans le deuxième groupe !
Une chute fait des dégâts dans le deuxième groupe: Pedersen et Asgreen sont au sol, ça sent la journée noire pour les deux favoris.
TotalEnergies emmène
La team Team TotalEnergies emmène en tête du premier groupe. Bonne nouvelle côté Français, Anthony Turgis est là, comme Florian Sénéchal pour la Quick-Step.
Un groupe de 72 en tête
Dur d'identifier tout le monde dans le groupe de tête, puisqu'ils sont 72 devant. Au niveau des favoris, Michal Kwiatkowski, Dylan Van Baarle, Yves Lampaert, Mike Teunissen ou Matej Mohoric ont pris le bon wagon.
Toujours pointés à plus d'une minute, Van der Poel, Van Aert, Asgreen ou Pedersen mettent leurs coéquipiers à la planche.
L'écart autour de la minute
Le deuxième groupe reste distancé à plus d'une minute, après que les rouleurs d'Ineos aient imprimé un gros tempo en tête. Ils pourraient rester piégés jusqu'au bout à ce rythme, alors que les premiers secteurs pavés approchent. Les équipiers s'emploient pour revenir.
C'est parti très fort, avec une bordure !
Le vent a cassé en deux le peloton, à plus de 200kms encore de l'arrivée. Un premier groupe, emmené par les Ineos a pris quelques encablures d'avance. Beaucoup de favoris sont piégés, dont Van der Poel, Van Aert et Küng.
Les favoris du jour, avec un duel Van Aert-Van der Poel attendu
Comme toujours dans l'enfer du Nord, la course s'annonce ouverte. Mais un nom se dégage lorsqu'on cherche un favori: Mathieu van der Poel, brillant vainqueur du Tour des Flandres il y a deux semaines. Le coureur d'Alpecin-Fenix devra se méfier de son rival Wout van Aert, même si la préparation de ce dernier a été gênée par le coronavirus.
Auteurs d'un bon début de saison, Mads Pedersen, Stefan Küng font figure d'outsider, tout comme Kasper Asgreen et Dylan van Baarle.
Un Français vainqueur, 25 ans après?
25 ans ont passé depuis la victoire de Frédéric Guesdon, dernier Français à avoir levé les bras sur le Vélodrome. Cette année, les Tricolores nourissent des ambitions avec leurs têtes d'affiche: Florian Sénéchal, Valentin Madouas, Anthony Turgis et Christophe Laporte peuvent tous rêver d'inscrire leur nom au palmarès.
Bienvenue à tous !
Bonjour à tous et bienvenue dans ce live, où vous allez pouvoir suivre la 119e édition de Paris-Roubaix en direct commenté.
Ils sont 175 au départ à espérer pouvoir succéder à Sonny Colbrelli, vainqueur suprise l'an passé mais absent ce dimanche, après un grave malaise cardiaque en mars.