"Parfois j'ai envie de pleurer": Dugarry se lâche sur l'OM avant le Classique contre le PSG

Dans "Rothen s'enflamme" ce vendredi, Christophe Dugarry fait part de ses doutes concernant les chances de l'OM face au PSG, dimanche. Le consultant RMC compare notamment l'écart technique "abyssal" entre les deux équipes, mis en exergue par les prestations marseillaises et parisiennes cette semaine en Ligue des champions.

Va-t-on assister, dimanche au Vélodrome, à un sixième récital d'affilé du PSG face à l'OM? A deux jours du Classique de la Ligue 1 (20h45, 5e journée), Christophe Dugarry ne donne pas cher de la peau des Marseillais face aux Parisiens, champions d'Europe en totale confiance.

"Est-ce que ça va être le déclic face au PSG? Je le souhaite, mais la différence est tellement abyssale entre les deux effectifs que je ne sais pas ce qu'il va se passer", souffle le consultant RMC et ancien joueur de l'OM, dans "Rothen s'enflamme".

Avant d'ajouter que Paris débarquera à Marseille avec un onze touché par plusieurs blessures. "Ce serait un signe catastrophique si Marseille devait prendre une raclée face à ce PSG. Ce serait un signal terrible pour notre Ligue 1 et notre football", prévient-il.

Christophe Dugarry : "La différence de niveau entre les deux équipes. J'attends enfin de voir une patte De Zerbi face au PSG." – 19/09

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"Ca manque de personnalité. De caractère. De tout"

Pour illustrer son propos, "Duga" compare également l'écart technique "abyssal" existant désormais entre les deux équipes. Un point mis en exergue par les dernières prestations marseillaises (défaite 2-1 sur le terrain du Real Madrid) et parisiennes (récital 4-0 contre l'Atalanta), cette semaine en Ligue des champions.

"Quand je vois le déchet technique face à Madrid... Parfois j’ai envie de pleurer. Mais comment peut-on être aussi faible techniquement? Comment peut-on autant trembler avec le ballon?", questionne-t-il. "J’ai été déçu par la performance de Marseille. Je ne m’attendais pas à ce qu’ils gagnent face à Madrid, mais je pensais qu’ils étaient capables d’avoir un peu plus de maîtrise."

Et Dugarry de conclure, songeur: "Madrid finit à dix. Là, je me dis: 'Ils vont quand même prendre le jeu à leur compte.' Et toujours pas! Je ne vois toujours pas de maîtrise. Les vingt dernières minutes à Madrid, ça manque de personnalité. De caractère. De tout."

Romain Daveau avec Rothen s'enflamme